Publié dans Sport

Côte d’Ivoire – Madagascar - Le match à huis clos

Publié le vendredi, 06 novembre 2020

La décision définitive tant attendue de la Confédération africaine de football vient de tomber. L’instance africaine du ballon rond souhaite que le match entre Ivoiriens et Malagasy se joue à huis clos à cause de la pandémie de Covid-19. Et ce suite à un courrier que la Fédération ivoirienne de football (FIF) a envoyé  à la CAF pour laisser les supporters assister à cette fête du football pour marquer l’inauguration du Stade Olympique Alassane Ouattara d'Ebimpe-Anyama dont l’entrée a été même annoncée gratuite pour tous les spectateurs arrivant avec un ticket.

 

La Confédération africaine de football (CAF) a réuni, le mercredi 4 novembre 2020, en webinaire, les Officiers nationaux de sécurité et sûreté (ONSS) des associations membres. Durant la visioconférence, les ONSS de chaque Fédération ont été informés et formés sur le nouveau protocole de sûreté et de sécurité imposé en vue de lutter contre l’expansion de la pandémie de Covid-19 et visant à encadrer la reprise des matches des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations Total Cameroun 2021.

« Au total, une soixantaine d’Officiers nationaux de sécurité et d’officiers de sécurité de la CAF ont pris part aux travaux, soucieux de savoir comment sera respecté le protocole sécuritaire dans le cadre de ces matches internationaux. La Confédération africaine de football recommande que les matches de la 3ème et 4ème journées des éliminatoires de la CAN se jouent "à huis clos sans spectateurs". Cette mesure intervient dans une volonté de "renforcer les dispositifs de sécurité », explique-t-on dans un communiqué de presse de la CAF.

 Les ONSS recevront un protocole détaillé, spécifique à chaque match, qui les guidera durant les différentes étapes de l’organisation des rencontres prévues du 9 au 17 novembre 2020.

A rappeler que la double confrontation entre Madagascar et la Côte d'Ivoire est prévue le jeudi 13 novembre à Abidjan et le mardi 17 novembre à Toamasina.

Recueillis par E.F.

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Editorial

  • Sous-pression !
    Soixante jours ! Telle est la durée de la consigne (militaire) donnée au Gouvernement nouvellement installé par le Chef de l’Etat, le colonel Michaël Randrianirina, assurément avec le consentement des quatre officiers supérieurs avec rang de Président, Hauts conseillers de la République, le colonel Lucien Rabearimanana, le médecin – colonel Manantenasoa Marcellin Zafitasondry Manuelson, le colonel Solofoniaina Rampanarivo et le lieutenant - colonel Gervais Andriamiarisoa. Aujourd’hui, on entame les trente derniers jours. Dans l’Armée, « on obéit d’abord, on discute après ». Et Dieu seul le sait si on aura le temps de discuter après ! Sous la menace de l’épée de Damoclès, sur leur tête, les ministres risquent fort de travailler et d’agir sous pression. Pour un membre de Gouvernement nouvellement nommé, qu’est-ce qu’on peut réaliser en soixante jours ? La tradition républicaine universellement admise, du moins dans les pays ayant un solide ancrage de la démocratie, on se…

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