Publié dans Sport

20ème Anniversaire GTCF - Promouvoir la gent féminine dans le développement communautaire

Publié le vendredi, 04 juin 2021

Promotion de la participation des femmes et des jeunes filles aux activités de jeunesse et de sport. Etant membre à part entière de la CONFEJES, Madagascar, à travers le ministère de le Jeunesse et des Sports, contribue à la promotion de l’équité et du genre dans sa programmation.
Effectivement, les points focaux nationaux de la GTCF Madagascar, par le biais du directeur CNSE/ GTCF Sport et le directeur Santé et protection de la Jeunesse / GTCF Jeunesse, ont marqué d’une pierre blanche la célébration du 20ème anniversaire, hier, au gymnase de l’Académie nationale des sports Ampefiloha.
Jumelé avec le slogan du cinquantenaire de la CONFEJES « Impactons davantage », les délégués GTCF Madagascar ont mené une action de mobilisation des jeunes filles et femmes issues de différentes  associations sportives et de jeunesse pour véhiculer deux messages clés visant respectivement les jeunes cibles et les décideurs.
« Les jeunes filles, acteurs des changements de la communauté », et « Promouvoir l’autonomisation des jeunes filles et des femmes.»
Dans cette optique, l’objectif est de promouvoir la gent féminine à participer à toutes les activités socio-économique, culturelle et sportive dans le pays.
Spécifiquement, cette célébration a pour but de mobiliser celle-ci à jouir pleinement de ses droits pour véhiculer ses valeurs à travers le sport et la jeunesse.
« Cette commémoration nationale a pour but d’inciter aussi les décideurs au respect des droits des femmes et jeunes filles au niveau communautaire. Mais également de les promouvoir à travers le sport», explique Noro Haingo Rakotoseheno, déléguée nationale GTCF Jeunesse. Dans cette activité, les autres ministères seront aussi mobilisés avec le MJS dans le cadre de cette promotion des droits de la gent féminine.
Le bureau du Groupe de travail CONFEJES pour la promotion de la participation des femmes et des jeunes filles aux activités de jeunesse, de sport et de loisirs (GTCF) a fait des réflexions à l’issue de cette rencontre :
« L’idée est d’accroître le nombre de femmes et de filles participant aux activités de jeunesse, de sport et de loisirs ; développer des synergies avec d’autres groupes de travail et comités œuvrant pour la promotion des femmes dans les activités de jeunesse notamment inciter les jeunes filles et femmes à faire  du sport. Nous allons solliciter les différentes instances pour que les femmes contribuent dans le développement de notre communauté. Pour le ministère de la Jeunesse et des Sports, cela commence par la sensibilisation de la grande masse à pratiquer du sport face au contexte pandémique dont la devise est  « Bougez pour rester en bonne santé et menez une vie saine et équilibrée », explique Zarinah Adeline Harinandrianina, déléguée GTCF Sport auprès du MJS.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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