Publié dans Sport

Décès de Zaka be - Le président Ahmad consterné

Publié le vendredi, 10 septembre 2021


Le milieu français du 7e art pleurait la mort de l’acteur Jean Paul Belmondo, celui du football malagasy rendait hommage à l’un des siens, Ratsarazaka Marcel dit Zaka Be. L’ancien président de la Fédération nationale de football et non moins ancien président de la Confédération africaine (CAF), Ahmad, s’est dit consterné par cette mauvaise nouvelle sur le décès de Zaka be survenu dans la nuit de jeudi. « Il figurait parmi les grands entraîneurs de Madagascar et  avait  beaucoup donné pour le football local, notamment pour la ligue Analamanga. Zaka Be connait du bout de ses ongles la situation de notre football du temps où j’ai dirigé la Fédération. A la place des critiques destructives, il venait souvent nous voir pour discuter et apporter ses solutions », témoigne Ahmad qui n’a su cette disparition de Zaka be que dans la matinée d’hier. « Je présente mes sincères condoléances à sa femme, ses trois enfants ainsi qu’aux dirigeants de la ligue d’Analamanga », ajoute l’ex-président de l’association nationale qui reconnait que le décès de Zaka Be laissera un grand vide dans le milieu des techniciens de la Grande île.
Entraîneur de plusieurs clubs de la Capitale dont le Stade Olympique de l’Emyrne (SOE), Zaka Be, fait partie de la première promotion des techniciens malagasy ayant obtenu la fameuse licence A de la CAF. C’est avec cette équipe de quartier, que lui et la grande famille Ratsarazaka aimaient tant, que Zaka be est entré dans le cercle restreint des grands entraîneurs de Madagascar. Homme de dialogue et un bon vivant, le défunt laisse de bons souvenirs à tous ceux qui l’ont côtoyé.
La Rédaction

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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