Publié dans Sport

Aquathlon – Triathlon - Des élites mondiales attendues à Toamasina

Publié le vendredi, 29 octobre 2021

Toamasina vivra un évènement festif et sportif à la fois en fin de semaine. Sous le haut patronage de la Commune Urbaine de Toamasina, l’Association Triathlon Madagascar, qui renaît de ses cendres, organisera un Aquathlon-triathlon pour une levée de fonds destinés à la lutte contre la malnutrition infantile locale. Effectivement, la première édition de l’Aquathlon-Triathlon de Toamasina se déroulera les 30 et 31 octobre après des années d’absence dans le pays.

 

De renommée internationale, l’élite de la discipline triathlon, le Malagasy-Mauricien Marius Rabenarivo est l’invité de marque à Toamasina. Habitué aux compétitions internationales de triathlon, le surnommé « Marius Trésor » sera effectivement le grand favori de ce weekend.

Il sera l’adversaire direct de Toavina Ramampiandra, l’athlète d’Antsirabe, qui sera le favori du côté des locaux. Il s’est bien préparé aussi pour défendre son statut.

Du soleil et du monde dans la ville du Grand port ce week-end à l’édition 2021 du triathlon organisé par l’Association Triathlon Madagascar (ATM). Un rendez-vous majeur pour les sportifs professionnels ou amateurs adeptes de cette discipline qui mêle natation, vélo et course à pied. Une centaine d’inscrits, déjà enregistrés à cette première édition, seront sur la ligne de départ des courses programmées.

Pour rappel, il s’agit de faire 2 épreuves d’affilée pour l’aquathlon (natation et course à pied) et 3 épreuves pour le triathlon (natation, vélo et course à pied).

Toutes les catégories d’âge seront concernées. La partie natation se passera à la piscine du CRJS, et les parties vélo et course à pied devant l’Hôtel de ville.

S’agissant d’une reprise, les distances ont été choisies courtes mais l’ambition de l’ATM est d’organiser dans un délai de 2 ans, le 1er « Half Ironman » international de Madagascar. Les compétitions que l’ATM mettra en place auront pour objectif de préparer cette échéance du 1er Half Ironman de Madagascar (1.900 m de natation, 90km de vélo et un semi-marathon de 21 km pour terminer).

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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