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L'ONU, en appui

Publié le lundi, 26 septembre 2022

Antonio  Guterres marche avec ! L'Organisation des Nations Unies soutient et accompagne Madagasikara. Reçu en audience par le Secrétaire général de l'ONU, tout juste au lendemain de son intervention à la tribune des Nations Unies à l'occasion de la 77 ème Assemblée Générale, le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry obtient de la part du patron de l'Organisation sise à New-York, l'accord formel pour jouir la faveur du « Fonds vert pour le climat ».

Lalaina Ravelomanana a eu la vocation d’exercer le métier de chef cuisinier. La gastronomie malagasy et l’art culinaire en général n’ont plus de secret pour lui. En marge de l’événement baptisé Forum mondial « Normandie pour la paix », les produits et plats du terroir ont eu l’honneur d’être représentés. En effet, connu pour son savoir-faire et ses succès, notre chef cuisinier était l’invité de la 5ème édition de cette grande rencontre qui s’est tenue le week-end dernier à Abbaye aux Dames, dans la ville de Caen (France).

Le Président de la République annonçait son intention de vouloir rencontrer les employés au sein de la JIRAMA et de la Compagnie Air Madagascar, il y a de cela quelques mois. Bien que programmées à l'agenda du numéro un du pays, ces rencontres ont été reportées sine die, selon une source. Ces rencontres n'ont pas été déprogrammées officiellement. Les employés ne désespèrent pas. Ceux au sein de la Compagnie Air Madagascar, en particulier, attendent et espèrent toujours avoir ce tête-à-tête avec le Chef de l'Etat. 

Laissées-pour-compte, les localités rurales isolées ressentent toujours des difficultés pour ce qui est l'accès à l'énergie. C'est dans ce contexte que Le Gouvernement coréen vient d'officialiser son soutien au plan stratégique de l'Etat malagasy en finançant la construction de deux sous-stations Tana Nord 2 et Ambohibary, dans le cadre du Projet de renforcement et d'interconnexion des réseaux de transport d'énergie électrique à Madagascar (PRIRTEM I).

La une du 26 septembre 2022

Publié le dimanche, 25 septembre 2022

Les actus en bref

Publié le dimanche, 25 septembre 2022


L’avocat d’un suspect dans l’affaire de “carburant frelaté” indigné. Il remet en cause la participation de ses clients dans cette affaire et affirme que les personnes placées en détention dans le cadre de cette affaire ne sont que des « simples gens ». L’avocat Tody Arnaud s’interroge où sont les personnes qui sont concernées et qui opèrent réellement dans ce secteur de carburant frelaté. Pour lui, ces personnes sont celles qui empoisonnent tout un pays. Il cite nommément le nom du propriétaire du site où ont été retrouvées des preuves de la contrebande, la semaine dernière, mais également de hauts responsables et élus du pays. Il suspecte une volonté d’étouffer l’affaire derrière le traitement infligé aux personnes placées en détention dans cette affaire.

Un sénateur fait le buzz sur les réseaux sociaux en fin de semaine dernière. Sur Facebook, le parlementaire est pris en photos inaugurant un pont et sur une autre, être soulevé par la foule alors qu’il est assis sur une chaise. La question est de savoir si les images publiées reflètent la réalité sur place. Autrement, des explications sont attendues. D’un côté, le pont inauguré est un pont rudimentaire fait de rondins et de planches de bois, indigne d’être inauguré selon les commentateurs. De l’autre, le fait qu’il soit soulevé sur la chaise. Cette scène rappelle les chaises à porteurs, portées à bras d’hommes, dans l’ancien temps. Beaucoup se sont indignés de ce geste indigne et un manque d’humilité.

L'ambassadrice des Etats-Unis à Madagascar Claire A. Pierangelo a accueilli les 11 participants à la bourse YALI Mandela Washington 2022 qui ont terminé avec succès leur formation en leadership de six semaines aux Etats-Unis. Elle a également félicité les trois participants du YALI Alumni Enrichment Institute qui ont construit leurs compétences professionnelles lors d'un échange de trois semaines aux États-Unis. La diplomate a également décerné des certificats à 60 participants du YALI Regional Leadership Center (RLC) et a félicité les YALI-RLC Education Changemakers et les participants à l'African Civic Engagement Academy.  Lors de la cérémonie, elle a également reconnu Marie Christina Kolo pour sa sélection en tant que lauréate du YALI Leadership Impact Award 2022, qui reconnaît ses réalisations en tant que militante pour le climat et leader au service.

Le parti Hery Vaovao ho an’i Madagasikara a fait sa rentrée politique dans son quartier général samedi dernier, à Andraharo. Conférence-débat en panel, formations pour les jeunes et les femmes, séance de partage sur la vie du parti et accueil des nouveaux membres, étaient au programme.  Une rentrée marquée surtout par l’intervention par visioconférence de l'ancien Président de la République et leader du parti, Hery Rajaonarimampianina. L’opinion retiendra que l’ancien numéro un du pays, en quête d’une présence dans l’actualité, radote, rappelant notamment un programme, lequel a pourtant été rejeté massivement par l’électorat en 2018 lors de l’élection présidentielle.



Le Président Andry Rajoelina et son épouse Mialy Rajoelina étaient parmi les hôtes du Président américain, Joe Biden et son épouse, Dr Jill Biden, lors d’un dîner officiel organisé à l’American Museum of Natural History. Ce fut lors de la 77ème Assemblée Générale des Nations Unies, à New York, le 21 septembre dernier. Pour l’occasion, la Première dame malagasy était habillée aux couleurs de la Grande île. En effet, elle a arboré un « lamba » bien malagasy pour assister à ce rendez – vous historique avec le couple présidentiel américain.
Cette invitation historique est considérée comme un signal fort témoignant de la relation de confiance entre les deux pays, mais aussi la reconnaissance du Président Biden au Chef de l’État malagasy. Outre le caractère convivial de cette rencontre entre les deux couples présidentiels, le renforcement de la coopération entre Madagascar et les Etats – Unis qui demeurent un partenaire stratégique pour la Grande île.
L’aide américaine sur tous les fronts
L’aide du Gouvernement américain s’étend sur différents secteurs. Depuis 2019, les Etats – Unis ont fourni une aide alimentaire et des intrants agricoles dans le Sud de Madagascar, et soutenu plusieurs projets réalisés à travers le pays. Parmi ces projets, trois ont reçu l’appui du Gouvernement américain à hauteur de 100 millions de dollars, par le biais de l’USAID, en faveur des régions du Sud de Madagascar. Il s’agit notamment du Projet Firanga d’un montant de 10 millions de dollars qui vise à apporter une aide alimentaire à 222.000 personnes dans les régions durement touchées par la sècheresse, à savoir l’Atsimo-Andrefana et l’Androy. A cela s’ajoute le projet Maharo, d’une durée de 5 ans et dont le financement s’élève à 45 millions de dollars, qui répondra aux besoins nutritionnels à long terme au profit de plus de 279.000 personnes vulnérables dans l’Atsimo-Andrefana et l’Androy. Et enfin, le projet Fiovana, à hauteur de 45 millions de dollars sur une durée de 5 ans, qui réduira l’insécurité alimentaire chez plus de 428.000 personnes dans les Régions Vatovavy, Fitovinany et Atsimo-Atsinanana. 

En 2020, l’aide de l’USAID à Madagascar était conséquente dans le secteur de la santé avec 62 millions consacrés sur les 114 millions de dollars accordés par l’agence américaine. A travers ces activités, les États-Unis ont aidé plus de 4 millions de mères ainsi que 2 millions d’enfants à rester en bonne santé et ont fourni à 76.303 personnes d’avoir accès à l’eau potable. 
S.R.


Clap de fin pour la 17ème  édition de l’« Angaredona Mozika Festival », riche en événements musicaux et culturels. Les festivaliers peuvent être satisfaits de l’organisation de Rajery Valiha, l’association Takalo Tsara et ses partenaires qui ont réussi un tour de force pour offrir une très grande fête après deux années de pandémie. Le village d’Ambohimanga Rova et ses alentours étaient en effervescence pendant sept jours non-stop.  Le festival « Angaredona » est un événement conçu pour dévoiler au grand public la diversité culturelle ainsi que les différents types de chants et de rythmes musicaux qui font la richesse de Madagascar. Cet événement solennel, marqué par sept jours en musique, a vu la participation de plusieurs artistes venus de la Capitale et des autres Régions.
Dès le lancement des festivités, tous les ingrédients étaient déjà réunis pour que les 7 jours d’ « Angaredona » soient une grande fête. Nombreux musiciens, chanteurs ou encore danseurs ont été présents pour animer les lieux. Le public est également venu en masse avec une réelle ferveur et  enthousiasme. Il est évident qu’après quelques années d’absence dans la Capitale, le retour de l’un des plus gros festivaliers de musique du terroir était très attendu et les organisateurs n’ont pas failli à leur tâche. En plus des interventions et mouvements musicaux qui se sont succédé sur les lieux, les différents établissements scolaires privés d’Ambohimanga et ses alentours ont pu bénéficier des éducations culturelles et environnementales. Parallèlement à cela, conscients du développement de la technologie, les organisateurs tenaient à faire perdurer les jeux traditionnels malagasy. A cet effet, Rajery et compagnie ont régalé les petits avec l’« Animation Kilonga ». Une activité ayant pour but de faire connaitre aux enfants d’aujourd’hui les différents jeux éducatifs traditionnels tels que la course de pneus, « Kalesy », « tongotra hazo », « fanorona », « kinarinarina », « vitsilihy »,…
Brochettes d’artistes
Durant cet « Angaredona Mozika Festival », le site d’Ambohimanga Rova est devenu pendant une semaine le temple du partage et de la découverte du patrimoine culturel malagasy. Cependant, l’événement serait muet sans la participation des artistes. La magie opère toujours grâce aux chanteurs et groupes venus des quatre coins de l’île. Citons entre autres Rajery, le fondateur du festival, Bagzana, Princio, Lôla ou encore les Zaza Kanto. Ce qui a marqué le plus le public était l'un des fils laissés par la regrettée Sahondrafine. Il s’agit de Donah Sahondrafine. Ce dernier a régalé l’assistance avec les sons émis par son accordéon et son violon. Il ne faut pas non plus oublier le guitariste Mbola Talenta, le groupe Manan’ara et Angie Ambavilanitra qui ont maîtrisé joyeusement le rythme « Bà Gasy » lors des festivités. En outre, l’assistance était aussi éblouie et émerveillée par la prestation du groupe « Apongavato ». Cette bande, selon son histoire, est une génération issue des fameux « Vazimba » (premiers habitants de l'intérieur de l'île de Madagascar), originaire du village appelé Mahatamoana à Betafo. La particularité  de ce groupe est qu’il utilise des pierres comme instruments de musique. Bref, des ingéniosités musicales surprenantes dans une bonne humeur communicative, teintée d’une ambiance intense. Outre l'aspect musical, ce festival est aussi un événement qui va marquer le monde du tourisme. Ainsi, avec la collaboration avec Zà Tours, une visite du Rova à pied, à moto, à vélo ou encore en charrette a également été organisée pour les férus de l’Histoire. D’ailleurs, le festival « Angaredona » a comme objectifs initiaux de revitaliser, préserver et valoriser la diversité et la richesse du patrimoine culturel malagasy.
Sitraka Rakotobe


Clap de fin pour la quatrième édition de la Foire internationale de l’agriculture (FIA). L’évènement, devenu un incontournable pour les acteurs du secteur, a pu recevoir un peu plus de 20.000 visiteurs en seulement quatre jours d’exposition. L’édition de cette année a vu la présence massive des concessionnaires agricoles témoignant l’intérêt des acteurs à professionnaliser ce secteur clé.  D’ailleurs, près de 550 stands ont été érigés afin que les exposants puissent présenter au grand public leurs offres de services et de biens, sans oublier les produits agricoles bios et transformés, faisant la particularité de chaque Région.
Durant ces quelques jours d’exposition, les concepts d’« émergence agricole » et « autosuffisance alimentaire » étaient sur toutes les lèvres. En parlant de l’atteinte de l’autosuffisance, le riz est toujours en première ligne avec une prévision de production additionnelle de paddy de l’ordre de 500.000 tonnes par an, ainsi que la création de fermes agro-pastorales. Pour le ministère de l’Agriculture et de l’Elevage, partenaire public de l’évènement, une stratégie sur l’agrégation agricole a été mise en place avec la création de huit Zones d’émergence agricole dont quatre zones pour l’agriculture et le reste pour l’élevage. Cette agrégation agricole consiste à mettre en relation des entreprises de transformation avec les coopératives de producteurs. Toujours au niveau du secteur de l’agriculture, une nouvelle superficie de 100.000 ha sera aménagée, tout en renforçant l’adoption de la technique de production SRI, et en effectuant une extension des superficies de riziculture intensive pluviale.
Ces dispositifs permettent ainsi de faciliter l’implantation des investisseurs nationaux et étrangers dans ces Zones d’émergence agricole. Pour rappel, environ 80 % de la population malagasy, soit plus de 20 millions d’habitants vivent en milieu rural, et la Grande île dispose d’énormes potentiels de développement rural. Sur 36 millions d’hectares de superficie cultivable, seulement 8 % sont cultivés. Au-delà de 100.000 ha en cours dont 50.000 ha dans le Bas Mangoky, le régime vise dans l’immédiat 270.000 ha de terres à cultiver, et une production additionnelle d’au moins 500.000 tonnes de riz par an. La nécessité de trouver d’autres méthodes pour une meilleure production agricole s’impose afin de viser l’objectif du Plan émergence (PEM) qui entre dans le cadre de la vision de promotion du secteur arboré par la FIA.
Quoiqu’il en soit, les objectifs de l’évènement rejoignent l’esprit des plus hautes autorités qui avaient déjà organisé récemment une conférence nationale pour l’autosuffisance alimentaire, dans la mesure où le Chef de l’Etat reste convaincu que le monde connaît aujourd’hui une période de récession importante à la suite des deux années de pandémie de Covid-19, mais aussi de la crise inflationniste due au conflit en Ukraine. Il est donc primordial pour chaque Etat d’être indépendant en termes d’approvisionnement alimentaire. C’est d’ailleurs l’objet de notre « Velirano » numéro 9 qui consiste à assurer l’autosuffisance alimentaire et l’amélioration de la productivité agricole. Ainsi, pour améliorer les conditions de vie des paysans, l'Etat malagasy entend mener des négociations auprès des institutions de microfinance afin que les paysans agripreneurs puissent bénéficier d'une baisse des taux d'intérêt.






Pénurie d’eau - Le pire est à craindre

Publié le dimanche, 25 septembre 2022


Dernièrement, s’est tenue aux îles Seychelles la 11ème session du Forum régional sur les prévisions saisonnières de la région sud-ouest de l'océan Indien (SWIOCOF-11). Neuf pays participaient à ce forum à savoir Comores, Réunion - département français d'outre-mer - Madagascar, Malawi, Maurice, Mozambique, Tanzanie, Seychelles et Afrique du Sud. Chacun des experts de ces pays se sont succédé pour partager leurs analyses en évoquant le phénomène la Niña qui pourraient éventuellement provoquer un important déficit hydrique dans ces quelques pays. La Niña est un phénomène climatique. Il est assez mal connu, mais dans l'ensemble, il se traduit par une diminution de la température à la surface des eaux de l'est de l'océan Pacifique, autour de l'équateur. Les zones qui seront touchées par la baisse des précipitations connaîtront des difficultés en termes de ressources en eau et d'irrigation à des fins agricoles. Les Seychelles, la Tanzanie, le nord du Mozambique et Madagascar seront touchés selon ces quelques spécialistes du climat. Les périodes d’étiage sont d’usage dans la Grande île mais à en croire ces spécialistes, la prochaine sera un peu plus difficile à passer. « La pluie ne tombe presque jamais dans notre village. La terre est sèche et nous n’avons pas d’eau à utiliser dans la vie quotidienne. On n’obtient qu’un bidon en un mois. On l’utilise pour cuire le manioc et le reste sera pour nous doucher ou laver notre visage et le linge », indique une mère de famille vivant dans le sud du pays. Le manque d’eau fait partie du train-train quotidien des habitants, qui sont contraints de s’adapter coûte que coûte.  En plus d’être rares, les bidons de 20 litres reviennent chers puisqu’ils sont vendus à des prix exorbitants quelquefois. D’ailleurs, en 2018, le mouvement des bidons jaunes a été lancé par les habitants d’un quartier de la Capitale qui ont exprimé leur mécontentement face à la pénurie récurrente d’eau. Et ce, malgré le ravitaillement en eau par des citernes de la JIRAMA à cause de la faible pression qui arrive à la pompe des usagers. « L’eau ne coule que la nuit et nous sommes obligés d’attendre que les bidons soient pleins pour aller dormir, sinon il n’y aura pas d’eau pour cuisiner, se doucher ou faire la lessive. Mais, il y a des moments où l’eau ne coule que deux heures de temps seulement la nuit », explique un habitant de cette périphérie sud de la Capitale. La faible production et distribution d’eau à cause du manque de matériels et d’infrastructures nécessaires ne permet pas à la JIRAMA de résoudre les problèmes d’eau à Antananarivo. Mais pour cette compagnie d’eau et d’électricité, les actions se focalisent dans la résolution des problèmes urgents, destinés à alléger le quotidien des habitants.  Le mouvement risque de s’étendre partout à Madagascar si jamais les prévisions des scientifiques sont avérées. Mais selon la JIRAMA, une diminution de 20% de l'eau est prévue en cette saison de sécheresse. D’ailleurs, la situation en septembre est meilleure qu'avant grâce aux actions qui ont été entreprises en préparation de la période d’étiage à ne mentionner que l’extension de la station Mandroseza II Bis (40 000 m3), les installations d'Unité de Traitement d'Eau Conteneurisées (UTC) 100m3/h x 8, le remplacement des anciennes canalisations, l’entretien de l'infrastructure de l'eau à partir de sa prise, en passant par le calcul de la station d'épuration, la production et l'amélioration de la distribution. Par ailleurs, des citernes points d’eau seront installées dans les zones fréquemment endommagée.

La Rédaction




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Editorial

  • Au beau fixe !
     Le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry NIrina a reçu en audience au Palais d’Etat d’Iavoloha la ministre des Affaires étrangères du Japon Yoko Kamikawa. Une rencontre que certains observateurs qualifient d’historique sinon d’inédite.Le Japon faisait partie des pays ayant noué une relation diplomatique avec la jeune République malagasy. L’empire du Japon était ainsi présent dès les premières heures du retour de la Grande île à l’indépendance en 1960. Seulement voilà, en soixante ans de relation diplomatique, c’est la toute première fois qu’une haute personnalité japonaise du rang de chef de la diplomatie ait pu effectuer une visite officielle au pays. Une grande première que nous, Malagasy, nous ne voulions pas passer inaperçue traduisant ainsi une relation au beau fixe entre les deux Nations voire entre les deux peuples.Le pasteur Ravelojaona, 1879 – 1956, fasciné par le parcours fulgurant de l’économie japonaise à partir du début du siècle…

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