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Le Président de la République Andry Rajoelina a fixé le cap à suivre pour les derniers mois de son actuel mandat. « Je donne des instructions aux ministres d’arrêter toutes les constructions d’infrastructures. Allons effectuer des descentes à travers le pays et allons aider la population et apporter les solutions d’urgence », indique le Chef de l’Etat dans son allocution lors du lancement officiel de la campagne de reboisement, samedi dernier à Vatomandry dans l’Est du pays. Il annonce que désormais le slogan pour le pouvoir est « Ici et maintenant ».

Vers 14h30 hier, la ville de Toamasina a été marquée par une noyade qui a endeuillé une famille de vacanciers provenant de la Capitale. Il s’agit du père de famille, la cinquantaine ainsi que son fils de 14 ans. Une autre personne qui était en leur compagnie au cours de cette baignade fatale a survécu et serait encore sous contrôle médical à l’hôpital de Toamasina. Ce drame déchirant est survenu sur la plage du dépôt d’Analakininina.

La une du 28 janvier 2022

Publié le vendredi, 27 janvier 2023


L'Exécutif reste focalisé sur ses responsabilités. C'est en substance la réponse du Premier ministre, Ntsay Christian aux agitations de ces politiciens rassemblés en milieu de semaine du côté d'Andoharanofotsy et réunis au sein de la plateforme "Lera". "Nous sommes actuellement en pleine saison des pluies. La priorité pour l'Etat est l'aide à la population et de répondre à ses besoins primaires. Il faut se poser des questions sur les politiciens qui ne font pas de cela une priorité", a ainsi rétorqué le chef du Gouvernement, en marge de l'inauguration du centre des opérations anti-armées, hier durant la matinée. Des informations rapportent des réunions d'actuels parlementaires, d'anciens députés et autres personnalités ces derniers temps. Des réunions en catimini suivies d'une autre plus formelle qui s'est tenue du côté d'Andoharanofotsy, jeudi, au cours de laquelle ces politiciens se sont permis de formuler des revendications exigeant entre autres l’intégration de représentants de divers partis politiques au sein de la CENI, le renforcement de l’observation des élections ainsi que la limitation du budget des formations politiques pendant la pré – campagne ainsi que pendant la campagne électorale...Des demandes utopiques basées sur rien. En tout cas, pour le numéro deux de l'Exécutif, la tenue de réunions des têtes pensantes de cette opposition  dernièrement tend à désavouer l'affirmation selon laquelle l'expression n'est pas libre à Madagascar. "Nombreux sont ceux qui affirment qu'il n'y a pas de liberté d'expression dans la Grande île. Au contraire, l'expression est vraiment libre. Les politiciens, les groupements de politiciens ou les partis politiques sont libres de parler. Cela prouve que l'expression politique est libre à Madagascar. Et cela est l'expression d'une démocratie", affirme de manière laconique le Premier ministre.


La Saint-Valentin approche à grand pas. Dans le cadre de la célébration de la fête des amoureux dans le monde entier, le 14 février de chaque année, le chanteur Njakatiana s'apprête à faire un joli cadeau à ses fans.  En effet, le chanteur a annoncé depuis le  début du mois de janvier qu’il sera à Antananarivo pour célébrer cette fameuse fête avec son public.
Sauf, que cette année, la date du 14 février tombera à la deuxième journée de la semaine, autrement dit le mardi. A cet effet, les organisateurs, le chanteur et son équipe ont décidé de célébrer l’événement le vendredi 10 février à l’espace Athana Royal Event, sis à Ivato. Le show débutera à 20h. Les amoureux pourront ainsi fêter la Saint-Valentin lors d’un vendredi joli, bien animé en musique. Et pour bien occuper les fans ou les amoureux qui assisteront à ce concert, les organisateurs ont sorti les grands plats et ont tout mis en œuvre pour que les invités soient bien servis et rassasiés durant ce moment féerique. Ainsi, le chef Luc Ratsimbazafy concoctera un repas gastronomique lors de la soirée. Il y aura également des cadeaux offerts pour les 25 premiers couples qui achèteront des billets ou réservations.
Côté expérience en matière d’animation musicale, c’est depuis plus de 30 ans que Njakatiana s’est baigné dans ce domaine. Avec son charme, sa voix ainsi que ses compositions romantiques, Njakatiana est resté le chanteur attendu et acclamé par ses inconditionnels. A chaque invitation, le crooner livre une prestation intense du début jusqu’à la fin du show. Certes, trois décennies sont passées. Mais entre lui et son public, le courant passe toujours. Comme à l’accoutumée, un show de Njakatiana ne pourrait être qu’un moment musical surprenant, inattendu et envoûtant. Pour cette soirée de la Saint-Valentin, Njakatiana promet une soirée à la hauteur des attentes du public et de sa réputation en tant que star de la chanson malagasy.  Alors, cœurs tendres, âmes sensibles, à vos marques, prêts pour la Saint-Valentin ? Rendez-vous avec Njakatiana, le chanteur de charme, avec ses tubes comme « Hiangavy farany », « Izao re no izy », « Avelao aho hitia anao », à l’espace  Athana Royal Event, Ivato, le vendredi 10 février à 20h.  
Sitraka Rakotobe


Coup de tonnerre pour les usagers, hier matin, en entendant la décision au niveau du service de délivrance de passeports, situé à Anosy.
En effet, il n’y aura plus de nouveau passeport à partir du 30 janvier prochain. Selon les informations partagées par la Police nationale, cette mesure entre dans une politique de réforme au sein de ce service. Il s’agit donc d’un souci technique et non d’un défaut de budget comme certaines rumeurs véhiculent.
Cependant, une partie d’individus bénéficieront de mesures d’exception. Ainsi, les personnes nécessitant une évacuation d’urgence sanitaire (EVASAN) à l’étranger et dont l’obtention d’un passeport est requise pourront quand même avoir leur passeport. Les sportifs et les étudiants qui doivent partir à l’étranger feront aussi partie des bénéficiaires de cette situation exceptionnelle. Ces derniers doivent fournir les pièces justificatives de leur demande avec des dossiers solides à l’appui, sous peine d’un rejet.
Selon le responsable au niveau de ce service, ce sont surtout les dossiers incomplets qui retardent la sortie d’un passeport. « A Madagascar, il ne faut que 72 heures pour avoir son passeport alors que dans certains pays étrangers, il faudrait compter 3 semaines, et même jusqu’à un mois et demi. Il n’y a pas d’inquiétude à avoir. Ceux qui ont une urgence peuvent se rassurer : ils devront tout simplement remplir dûment les conditions requises pour être dans la catégorie des exceptions », ajoute-t-il.
Sur place, de nombreux usagers commencent déjà à s’inquiéter de cette mesure dont la durée de suspension n’a pas été spécifiée. Au sujet de ce délai, on a répondu que les informations nécessaires sont déjà affichées sur le tableau et que d’autres suppléments ne sont pas disponibles jusqu’à présent. Le service a aussi affirmé qu’au moindre changement et de nouvelles directives, ce sera communiqué ultérieurement aux usagers.
« Le service "passeports", en plus des corruptions et les dessous-de-table qui y règnent, n’est pas vraiment un modèle de service public. Si tu n’as pas d’argent, tu auras des problèmes. Il y a toujours ceux qui parviendront à avoir un passeport malgré cette restriction, mais ce sont surtout les simples citoyens qui vont en pâtir de cette mesure » s’exaspère l’une des personnes qui est venue sur place hier.
Il est à rappeler que le droit de quittance pour obtenir un passeport dans la Grande île est de 190.000 ariary. Le paiement de cette vignette ne se fera qu’après l'acceptation du dossier.
Bien que la majorité de la population malagasy ne porte pas d’importance à la distribution ou non de passeport, c’est surtout le secteur professionnel et le milieu des affaires qui sont actuellement en panique. A l’instar du visa, ce document est primordial afin de circuler en toute liberté et en toute légalité dans les pays étrangers. Il est bien connu qu’à Madagascar, plus le document est difficile à obtenir, notamment les titres fonciers, la certification de diplômes, la mutation de véhicules, plus le degré de corruption au sein du service y afférent est élevé. Espérons seulement que la suspension de la production de nouveaux passeports ne soit pas une nouvelle source d’extorsion des usagers.
Nikki Razaf

Du déjà entendu !

Publié le vendredi, 27 janvier 2023

Redite. Ibidem. Récidive. La communauté internationale revient à la charge avec quelques nuances près. Une subtile note qui sonne après tout en litanie ou refrain du déjà entendu et qui, passez-nous les termes, frise à certains égards l’arnaque !
SEM Arnaud Guillois, l’ambassadeur de France, en résidence à Antananarivo, au cours d’une conférence de presse tenue ce lundi 23 janvier à la Résidence de France, devait s’étaler au moins sur deux sujets essentiels relatifs aux défis et enjeux de l’année en cours. En fait, sur les deux thèmes majeurs évoqués à savoir l’élection (présidentielle) et les îles Eparses, Arnaud Guillois annonçait la couleur concernant la position officielle affichée par le Quai d’Orsay.
De l’élection, notamment présidentielle, qui se tiendra normalement au cours du dernier trimestre de l’année 2023, l’ambassadeur Arnaud Guillois a bien voulu émettre son avis qui devait, soulignons-le encore une fois, légitimement refléter la position officielle de la France dont on peut résumer en ces termes « ni ingérence, ni indifférence ».
Effectivement, cette approche qui se voulait être nouvelle n’a pas laissé … indifférent certains observateurs avertis. Dans les faits, la France n’a rien changé et ne ... changera pas. Elle joue sur les subtilités des mots qui, au final, font redire sinon récidiver les positions anciennes.
Etant l’ancienne puissance coloniale, la France croit « avoir le devoir » de donner des consignes aux anciennes colonies. Un vieux réflexe sinon une vieille habitude ancrée chez une « mère-poule » qui ne lâche jamais son fils. Elle veut toujours l’accompagner ou le diriger à même jusqu’à son âge largement adulte, à plus de 60 ans. 
Durant la 1ère République, la France tenait les rênes. A partir de 1975, le régime socialiste de Ratsiraka l’écarta. Après quelque temps de retrait, elle parvenait à revenir à la barre. Et selon des avis des gens bien informés, rien ne se fait ici-bas, dans le pays, sans le consentement exprès de l’ancienne mère-patrie. Il n’y a que des mots et des mots.
SEM l’ambassadeur fit savoir que dans le cadre de la gestion des affaires nationales, en général, et du processus électoral, en particulier, à Madagasikara, la France compte désormais jouer la carte de « ni ingérence, ni indifférence ». Quelque part, c’est du déjà entendu avec quelque subtilité des mots.
En 2018, lors de l’élection présidentielle, la communauté internationale avec en tête la France brandit l’implacable ordre « ni Ravalomanana Marc, ni Rajoelina Andry ». Une consigne indiscutable voire impérative à laquelle les deux supposés protagonistes durent se plier. Maintenant en 2023, on reprend l’usage de la double négation mais d’une résonnance bien calculée. On aimerait entendre uniquement « zéro ingérence » point ! Les limites entre « non-ingérence » et « pas d’indifférence » sont trop invisibles et risquent de se confondre.  Au final, bonnet blanc, blanc bonnet ! Evidemment, la France met en avant l’éventualité de financement de l’élection. Politique du bâton et de la carotte !
Arnaud Guillois, par la même occasion, annonçait la tenue de la seconde phase de la négociation sur les îles Eparses cette année, sans aucune précision ni date bien définie. Là encore, c’est une déclaration déjà entendue, sans suite ! De qui se moque-t-on !
Que le jeu soit clair s’il vous plaît !




Fianarantsoa est l’une des villes les plus commerçantes du pays. Le commerce est d’ailleurs son activité principale. Par ailleurs, l’agriculture joue un rôle important dans l’économie de cette ville. Raison pour laquelle, une unité de transformation de miel y sera implantée. Celle-ci vient d’être acheminée sur les lieux par le ministère de l’Industrie et agrémenté d’un appel d’offres pour l’exploitation des infrastructures. Cette initiative entre dans le processus de développement industriel pour optimiser les potentiels de la capitale de Haute-Matsiatra. En effet, Fianarantsoa possède des industries agroalimentaires qui gèrent le traitement du riz ou le conditionnement de la viande de bœuf. On y trouve également des usines spécialisées dans la fabrication de savon, d’huile ou de vin. La ville dispose aussi d’une industrie pharmaceutique située à la sortie nord de la ville. On y trouve également une entreprise de montage automobile, la seule à Madagascar. « Les petites unités industrielles qui seront mises en place ne seront pas des unités gouvernementales ou sous la gestion de l’Etat, mais destinées à la population locale. Ces petites industries ne seront pas conçues au profit de quelques individus seulement mais feront partie du développement inclusif au niveau de la population locale. C’est d’ailleurs cette refondation et cet état d’esprit qui font l’existence même des Zones pépinières industrielles », explique Edgard Razafindravahy, ministre de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation.
Potentiels
La promotion de l’industrialisation est importante sur le continent africain et particulièrement à Madagascar, compte tenu le retard de la Grande île dans ce domaine.  En effet, le pays ne produit pas assez et importe trop, a-t-on constaté. Ainsi, l’objectif est contribuer l’industrie au produit intérieur brut (PIB) à raison de 15 à 25 % en 5 ans, ce qui représente 1,5 milliard de dollars de richesse à créer. « 75 unités de transformation sont bien arrivées à Antananarivo et seront déployées au niveau de toutes les régions. Fianarantsoa est réputée pour ses potentiels agricoles et notamment pour la qualité de son miel avec près de 16.000 tonnes de production enregistrée à chaque saison de récolte, d’où la mise en place de cette unité sur les lieux. Des unités identiques de transformation de miel seront instaurées au niveau de 16 autres Districts. En outre, parmi les unités industrielles à mettre en place, figurent encore d’autres filières, à savoir l’huilerie, la transformation de tomates, de cannes à sucre, de grains secs et d’autres produits encore », rajoute le ministre. L’achat des matériels destinés pour ces 75 unités industrielles relève de la trésorerie propre à l’Etat malagasy. Ainsi, la gestion et la mise en place de ces industries devront se faire dans le professionnalisme absolu. Raison pour laquelle un appel à projet a été lancé à destination de ceux qui seront prêts à apporter un développement durable pour l’économie de notre pays.
Hary Rakoto



Le quart de finale opposant Madagascar et le Mozambique est programmé à 19 h (heure locale) ce jour au stade Mohamed Hamlaoui d'Oran, en Algérie. Les équipes de Mozambique et Madagascar ont accédé à l’étape des quarts de finale pour la première fois depuis la création de la compétition. L’une des deux équipes aura la chance d’entrer davantage dans l’histoire, puisqu’elle croisera au prochain tour le vainqueur entre le Sénégal et la Mauritanie.
Ce derby entre voisins s’annonce passionnant. « Ce ne sera pas facile. », reconnaît Rakotondrabe.
« Le Mozambique a terminé deuxième derrière l’Algérie. C’est un groupe très difficile avec la Libye et l’Ethiopie. Nous sommes préparés et avons l’avantage de rester ici à Constantine. Ce ne sera pas facile. Tout est possible. Ce sera du 50-50 », renchérit l’entraîneur des Barea. Mais celui-ci veut bien compter sur le soutien des supporters pour s’en sortir.
Pour la première fois, les deux pays s’affronteront dans une phase finale du CHAN. Par contre, les deux équipes nationales se sont déjà rencontrées huit fois toutes compétitions confondues avec quatre victoires malagasy, deux victoires mozambicains et deux matchs nuls.
Lors des matches de qualification pour le CHAN, Madagascar a déjà fait face au Mozambique (en aller et retour) quatre fois, (2017 et 2019), gagnant deux fois et une défaite et un nul. Mais également deux fois en Cosafa Cup (2017 et 2018) avec une victoire et un match nul.  Deux fois en qualification de la Coupe du monde (2008) pour une victoire et un nul.
E.F.



« Aucune baisse du salaire n’est permise ». Les responsables au sein du ministère du Travail, de l’Emploi, de la Fonction publique et des Lois sociales (MTEFPLS) l’ont souligné hier, lors d’une rencontre avec la presse au 67 Ha. « Le salaire minimum d’embauche (SME) est fixé à 250.000 ariary depuis le 1er mai 2022, suite à un dialogue tripartite entre l’Etat, représenté par le Président de la République, les représentants du patronat ainsi que ceux des employés. Cette hausse a été officialisée par un décret d’application promulgué au mois de juillet de l’année dernière. Toutefois, les consultations se poursuivent actuellement entre les 3 parties pour maintenir le salaire minimum », a avancé Jerson Razafimanantsoa, secrétaire général du MTEFPLS. « Le groupement du patronat a exprimé sa volonté de se concerter avec les syndicats des travailleurs, ce qui est encourageant et fait bon signe pour le maintien du salaire. Dans tous les cas, un nouveau décret ministériel devrait sortir cette année pour confirmer cela », a ajouté Hanitra Razakaboana, directeur général du Travail (DGT) et des Lois sociales auprès du ministère de tutelle. « Pour le secteur informel, il nous est difficile d’imposer le salaire à appliquer, d’où la poursuite des sensibilisations afin d’intégrer le formel », a-t-elle précisé.
Avec la cherté de la vie actuelle, comprenant l’augmentation des prix des produits de première nécessité, la hausse du salaire est une nécessité pour les travailleurs. Ceci d’autant plus qu’aucune révision n’a été adoptée durant les deux années de crise sanitaire liée à la Covid-19. Les employeurs ont exprimé leur difficulté à appliquer la hausse, avec les crises au niveau mondial, d’où le soutien proposé par l’Etat. Le MTEFPLS s’engage en tant que médiateur, quoi que le ministère de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation entre également en scène en tant que département ministériel de tutelle du secteur privé. Quoi qu’il en soit, les consultations bipartites et tripartites s’enchaînent, en tenant compte des droits des travailleurs et ceux des employeurs.
Patricia R.


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Editorial

  • Fidèle engagement
    La lutte continue ! Mialy Rajoelina, la Première dame, ne lâche point. Fidèle à son engagement dans la lutte pour le bien-être de la famille, l’épouse du Président accepte volontiers d’être la marraine de la campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite, première vague, qui s’est tenue du 14 au 17 mai dans tout Madagasikara.

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