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La scène de la culture et des médias est en deuil. Erick Rakotonirina, animateur et chanteur est décédé hier après-midi. Il a prêté sa voix ‘‘radiophonique’’ à travers de nombreuses chaînes privées de la Grande île à l’Instar de Viva d’Antananarivo et de Mahajanga. Il a également travaillé au sein des chaînes audiovisuelles M3FM/TV, Aceem Radio dans l’émission « Solaitra Gasy », et ainsi que Top Radio.

Une réunion d'urgence dirigée par le Président de la République, Andry Rajoelina, s'est tenue hier au Palais d'Etat d'Ambohitsorohitra en vue de mettre en place une stratégie face à la situation à Antananarivo notamment la montée des eaux. Le Premier ministre, le ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation, le ministre de la Santé, Le ministre de la Population, de la Protection sociale et de la Promotion de la femme, le ministre de l'Education nationale, mais également le maire de la Commune urbaine d'Antananarivo ainsi que différents autres responsables notamment ont participé à cette réunion. Un rencontre pour discuter de la riposte face à la montée des eaux, et au cours de laquelle un appel à la solidarité de tous a été lancé par le Chef de l'Etat en faveur des concitoyens sinistrés par les intempéries. 

Un mois après le drame maritime survenu à Soanierana-Ivongo le 20 décembre dernier, le propriétaire du navire M/S Francia III demeure introuvable. Officiant également comme commandant de bord, l'armateur dénommé Franc Antonio Norbert est frappé d'un avis de recherche depuis que ce drame ayant causé la mort de 85 personnes s'est produit. Mais jusqu'à ce jour, les recherches sont restées infructueuses, à preuve aucune information prouvant le contraire n'est émise par les autorités compétentes. 

LA UNE DU 20 JANVIER 2022

Publié le mercredi, 19 janvier 2022

La une du 19 janvier 2022

Publié le mardi, 18 janvier 2022

Vente-expo - Michel Randria, 20 ans de carrière

Publié le mardi, 18 janvier 2022


Pour ses 20 années de carrière, Michel Randria, un artiste-peintre à la fois talentueux, débordant d’ingéniosité et de savoir-faire, natif de la ville d’eaux, est de passage dans la Capitale. Actuellement, il expose une vingtaine de ses tableaux dans les locaux de la Galerie d'art R.R. Raparivo, au centre culturel Ivokolo sis à Analakely. D’ailleurs, une vente- exposition de ces œuvres s’y tient depuis lundi. A travers ces tableaux, Michel Randria illustre la scène de la vie quotidienne des malagasy. En effet, ses représentations reflètent la beauté du pays, notamment à travers les aspects culturels et ceux de la vie quotidienne des habitants. L’artiste arbore la vie coutumière des habitants de la Grande île, aussi bien pour ceux qui vivent en ville qu’à la campagne. Il a choisi de montrer des personnages typiques de Madagascar, à savoir des portraits de femmes et d’hommes absorbés dans leur cadre de vie - entre autres des tireurs de pousse-pousse, des paysans avec leurs charrettes à bœufs, des chanteurs de « Hira gasy » et tant d’autres. Notons que cette vente-exposition a lieu par le biais du ministère de la Communication et de la Culture qui poursuit son objectif de mettre en exergue le savoir-faire et le talent des artistes malagasy, tant au niveau national qu'à l'étranger.
Illustre
Michel Randria est un peintre de renommée nationale mais également international. Certes, l’amour de la peinture était inné en lui depuis son enfance. Cependant, il n'a jamais fréquenté une école des beaux-arts. Son talent artistique vient d’un travail de longue haleine et d’un don que la nature lui a donné. La plupart de ses œuvres sont vendues dans des galeries situées à Antananarivo, Antsirabe et dans d’autres Régions de l’île. D’autres sont mises en vente lors des expositions organisées à Madagascar ou à l’étranger. Ce métier lui a permis de voyager à travers le monde. A titre d’exemple, en 2019 où Michel Randria et ses toiles ont pu visiter des grandes villes de l’Hexagone, de nombreux pays d’Europe et des îles de l’océan Indien, à l’instar de  l’île Maurice, Mayotte, Lille et Strasbourg (France), la Suisse et l’Italie. Même avec ses vingt années d’expérience dans le milieu de la peinture sur toile, Michel Randria a encore l’intention d’emmener loin ses œuvres, puisque ces voyages lui ont permis d’approcher une nouvelle clientèle et de développer ses réseaux artistiques. Pour pouvoir contempler créations de cet illustre artiste-peintre, le public est donc invité à visiter la Galerie d'art R.R. Raparivo, situé au centre culturel malagasy Ivokolo, Analakely. L’entrée est gratuite. L’exposition est à découvrir jusqu’au 4 mars 2022.
Sitraka Rakotobe

Une urgence nationale !

Publié le mardi, 18 janvier 2022

Alors que l’urgence sanitaire ne quitte pas le pays d’une semelle, voilà qu’une autre urgence encore plus grave nous pèse dessus : la reforestation. Bien que l’Etat n’ait pas encore décrété « l’état d’urgence sanitaire national », il nous faut se débarrasser de ce maudit virus. Troisième vague ou Omicron, qu’importe l’appellation, il va falloir terrasser l’ennemi et briser la chaine de contamination.
En plein combat contre cette maladie, un ennemi dont les attaques n’ont pas de frontière, un autre problème d’envergure nationale, muéau fil du temps enurgence nationale, guette dangereusement le pays à savoir la déforestation. Les tenants du pouvoir, écartelés entre les impacts négatifs sur l’économie nationale des mesures dictées par l’« état de nécessité sanitaire national » et le besoin urgent de juguler l’épidémie, réfléchissent mûrement et sérieusement sur les dispositions à privilégier.
Compte tenu de la vitesse inquiétante de la déforestation à travers le pays, on n’a pas le choix, il faudra attaquer sur deux fronts : maîtriser au plus vite la troisième vague de la Covid-19et en simultané stopper la déforestation et démarrer à la vitesse supérieure le reboisement. Ce sera un travail de longue haleine ! L’essentiel consiste à commencer dès… maintenant et ne plus s’arrêter en cours de route.
Lors du dernier remaniement du 15 août, le régime Orange de Rajoelina érige la « Direction de la  reforestation » en département ministériel dirigé par un vice-ministre en osmose avec celui de l’Environnement et du Développement durable. Justifiant ainsi l’importance et la nécessité particulière accordée aux actions urgentes de reboisement sur toute l’étendue du territoire national.
La journée d’aujourd’hui, 19 janvier 2022, est à marquer d’une pierre blanche ! Le Président de la République Rajoelina Andry Nirina souffle ce jour les trois bougies de l’anniversaire de son investiture à la magistrature suprême du pays. En effet, le 19 janvier 2019 Rajoelina a solennellement prêté serment à Mahamasina et donc investi officiellement en sa qualité de Président de la République malagasy.En ce jour mémorable, pour fêter ce notable anniversaire, le Président Rajoelina va démarrer officiellement la campagne nationale de reboisement, cette fois-ci la vraie, à travers le pays. Le site de reboisement d’Amparafana dans le District de Mahanoro, Région d’Atsinanana, a été choisi pour le lancement. Le Chef de l’Etat, en personne, se déplace sur le lieu. En 2020, Ankazobe (Analamanga) abrita le lancement de la campagne et en 2021, Taolagnaro (Anosy). Organismes rattachés des Nations unies (UNESCO, WWF Madagasikara), ONG locale et société civile tirent la sonnette d’alarme pour qu’on agisse sans tarder. C’est une urgence nationale à laquelle l’engagement de tous est recommandé !
L’objectif fixé cette année vise à couvrir 150 000 ha. Un défi et un enjeu de taille qui exigent la solidarité nationale. Le traditionnel clivage politique complique la bataille. Tout le monde doit se mobiliser devant cette urgence nationale : la reforestation. On ne perd pas de vue la lutte contre la Covid-19. On lève la tête et on s’arme de courage, de la volonté et de la ténacité.
Ndrianaivo



« Les cours devraient être suspendus pendant les prochains jours pour la Région d’Analamanga, avec les pluies abondantes qui entraînent de nombreux dégâts et des risques conséquents ». Telle est l’interpellation du Gal Elack Olivier Andriankaja, directeur général du Bureau national de gestion des risques et des catastrophes (BNGRC), hier. En fait, de nombreux établissements scolaires situés dans les quartiers bas d’Antananarivo se sont retrouvés sous les eaux depuis lundi soir. D’autres se trouvent dans la zone rouge quant aux risques d’éboulement. Ces situations n’ont pourtant pas empêché les élèves d’aller en classe, où les cours ont été maintenus hier.
Pour sa part, le ministère de l’Education nationale (MEN) sensibilise les directeurs d’établissement à mobiliser le comité de vigilance et à tenir une réunion d’urgence avec les parents d’élèves afin de prendre des décisions face à l’intempérie. Cette réunion d’urgence est indispensable notamment pour les établissements localisés dans La Haute ville, la colline de Manjakamiadana, III G Hangar Antohomadinika, Ankorondrano- Andranomahery, Ampefiloha- Ambodirano, Ilanivato, Ampasika, Andriantany, Tsiafahy, Androhibe, Antsahadinta, Bongatsara, Antanetikely, Ambohijoky, Alatsinaininambazaha, Soalandy, Ampahitrosy, Ampanefy, Soavina, Anosizato Est, Ampitatafika, Ambavahaditokana, Fenoarivo, Itaosy, Ambohitrimanjaka, Fiadanana et Ampangabe. La décision finale de maintenir ou de suspendre provisoirement les cours ou encore à prendre d’autres mesures de protection des élèves revient ainsi à chaque établissement, à l’issue de la réunion d’urgence. « La ligne verte 0203080786 reste opérationnelle pour toute partage d’information auprès des établissements scolaires. Aussi, le MEN contribue à la veille journalière aux côtés du BNGRC, de l’APIPA et de la Direction Météo », conclut le directeur régional de l’Education d’Analamanga.
Recueillis par Patricia R.


Les pluies intermittentes, qui s’abattent sur plusieurs Régions des hautes terres ces trois derniers jours, causent de graves inondations dans les plaines d’Antananarivo, entre autres. Celles-ci sont censées être à l’abri de ces fléaux. En 2017, le Gouvernement appuyé par son homologue français, par le biais de l’Agence française de développement (AFD), a investi près de 53,2 milliards d’ariary dans la première phase des travaux du programme intégré d’assainissement d’Antananarivo (PIAA).
Grand est maintenant l’étonnement de voir les parties basses de la grande ville et son agglomération à la merci des eaux. Selon un document disponible en ligne, le marché portant le numéro 22706-AG/T/AFD/17 a été signé le 7 décembre 2017 pour un montant de 53.102.232.504,85 ariary TTC et pour une durée de 24 mois avec l’entreprise SOGEA SATOM, une entreprise spécialisée en « travaux de curage de canaux, de canalisation, de réhabilitation de station de pompage et d’ouvrage vanné » suivant les informations lues dans un autre document officiel.
Dix tranches de travaux
Cinq avenants ont eu lieu durant l’exécution du projet attribué par l’ancien ministère de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics (MATP) par le biais de l’Agence d'exécution des travaux d'intérêt public et d'assainissement (AGETIPA).
Le projet a compris deux sous-volets à savoir les travaux de première phase dits « travaux prioritaires » pour un montant de 12 millions d’euros initialement et ramené à 15 millions d’euros et la deuxième phase de travaux identifiés à partir des résultats des études diagnostiques pour un montant de 4 millions d’euros.
Le marché initial et ses cinq avenants se sont décomposés en dix tranches de travaux. Les réceptions provisoires de ces travaux ont eu lieu en février 2020 si la réception définitive devait être effective un an plus tard.
Les détails sur les réalisations réceptionnées sont fournis dans un document téléchargeable en ligne. Parmi les tâches accomplies, l’on identifie la pose de canalisation de refoulement, la réhabilitation des stations de pompage, le curage du canal Andriantany, la réhabilitation du bassin d’Anatihazo -Isotry, la réhabilitation des ouvrages hydrauliques (Ambodimita, Tanjondroa, Vahilava amont et aval, Ampanindrona, Anosy), le verrou hydraulique de la vallée de l'Est (Mandroseza), la réhabilitation de caniveau et dessableur de Tsarafaritra et d’Ampefiloha, la reprise de l'ovoïde d’Analakely et les travaux divers touchant le déversoir d’Anosy, le caniveau Ampefiloha…).
Pour quelques jours encore
A voir l’envergure du projet et des travaux réalisés, l’on est tentés de penser que les plaines d’Antananarivo et les 36 autres Communes périphériques devraient être à l’abri de la montée des eaux. Pourtant, les faits sont là pour dire le contraire. La crue continue de monter alors que les pluies seraient au rendez-vous pour quelques jours encore à considérer les prévisions météorologiques.
Les rédacteurs du rapport d’Analyse des impacts des travaux du PIAA-Première Phase (février 2020) mentionnent que les grandes infrastructures d’assainissement, d’irrigation et d’équilibre hydraulique de l’agglomération se trouvent dans les zones les plus basses de la ville qui font partie de la plaine d’Antananarivo notamment les bassins tampons (le marais Masay, le lac Anosy, les casiers d’Anosibe et d’Andavamamba…) et les canaux principaux de drainage (le canal d’Andriantany, le Canal C3).
Ils disent que les stations de pompage existantes ont un très faible débit (9m3/s) voire négligeable par rapport au débit d’eaux pluviales à évacuer. Les zones basses sont chaque année vulnérables à l’inondation. En revanche, les services d’assainissement sont insuffisants et n’arrivent pas à entretenir régulièrement les réseaux et canaux existants. De plus, les réseaux d’eaux pluviales et d’eaux usées sont vétustes, sous dimensionnés, en nombre insuffisant et mal entretenus.
Obstacles
Parallèlement, le taux de raccordement de la population à ces réseaux est de l’ordre de 20 %. Les habitants des zones à forte densité et installés dans les zones basses vivent ainsi dans des conditions insalubres, foyers de maladies infectieuses, hydriques et épidémiques, où règnent également l’insécurité.
Les mêmes rapporteurs reconnaissent que l’assainissement à Antananarivo est confronté à un certain nombre d’obstacles dont la forte croissance urbaine (2,6 millions d’habitants en 2013 contre 5 millions en 2030 avec un taux de croissance de 4%, un système hydrographique imbriqué dans la ville (des plaines entourées de cinq rivières qui se rejoignent dans l’Ikopa), des réseaux d’assainissement très dégradés et aucun traitement des eaux usées (environ 200 km sans aucun traitement), un cadre sectoriel défaillant pour l’investissement, l’entretien et la maintenance des réseaux, des inondations récurrentes et sévères, une conscience du risque inondation forte…
A souligner au passage que le système d’intervention d’urgence contre l’inondation à Antananarivo date de 1920. La dernière mise à jour des données météorologiques a été effectuée en 1970. C’est dans ce contexte que le PIAA a été élaboré et exécuté en vue d’améliorer la situation. Mais le résultat obtenu, à observer les complications entrainées par la présente crue, laisse à penser que l’argent public investi en 2017-2020 aurait été un coup d’épée dans l’eau.
M.R.



Certains parlent de la convergence intertropicale, littéralement « ilay fito », selon un jargon national. Il s’agit de ces pluies diluviennes et incessantes, qui s’abattaient sur la Capitale et ses environs, lundi soir dernier. Les conséquences de ce mauvais temps, à la fois sur le plan humain et matériel, furent assez lourdes. D’après un récent bilan du Bureau national de gestion des risques et catastrophes (BNGRC), ces grosses pluies ont fait 10 morts et 2 blessés. La moitié des victimes est constituée d’enfants. Quant aux circonstances des drames qui les ont emportées, elles sont assez similaires. Un glissement de terrain ou surtout un écroulement de mur de soutènement qui surplombe les domiciles des victimes. C’était le cas à Bemasoandro-Manantenasoa où trois jeunes membres d’une fratrie ont péri dans des conditions dramatiques. Vers 2h du matin hier, un haut mur s’écroulait sur la maison où les malheureux dormaient. Même tragédie à Nanisana où deux enfants de 3 et de 7 ans ont été surpris par la mort lorsqu’un autre mur s’effondrait brutalement sur leur abri de fortune, constitué de sachet en plastique. Idem à Manjakaray avec la perte de deux petits et à Ambohimangakely où deux autres enfants d’une fratrie ont péri dans des circonstances semblables, sans oublier la mort de cet adulte à Soavinimerina. Par ailleurs, à Ambohimanandray-Ambohimanarina, une fillette a eu la vie sauve grâce aux efforts du « fokonolona » et des pompiers pour la dégager des décombres de sa maison. Mais le mauvais temps a occasionné aussi d’importants dégâts sur les infrastructures, entre autres à Ankaditapaka et également à Ambohimitsimbina où le trafic est interrompu sur une portion de rue après un glissement de terrain.

500 personnes déplacées

Tous les bas-quartiers ont été presque submergés par l’eau, tels que Manarintsoa-Isotry, Antohomadinika, Anjezika, Andavamamba, Ampefiloha-Ambodirano et même plus proche comme Ampefiloha, Anosy ou encore Antanimena, etc. A Anjezika, ces inondations étaient telles que des riverains ont dû sortir hors de chez eux vers 4h du matin, hier. Car dans ces quartiers bas qui sont caractérisés par l’inexistence d’un plan d’urbanisme, l’eau de ruissellement et de canalisation submerge les zones d’habitation précaire et les voies de servitude. Le dernier bilan émanant du BNGRC, datant d’hier, a annoncé 500 personnes déplacées.
 
En collaboration avec la Commune urbaine d’Antananarivo et quelques départements ministériels, des sites d’hébergement mis en place dans 5 endroits de la Capitale. Ces sites sont déjà prêts à accueillir les sans-abri, notamment dans la Zone Floréal Andraharo, sur la Digue d’Ambodimita, au gymnase de Besarety, Mahamasina et celui d’Ankorondrano. Deux lignes vertes sont ainsi à la disposition de la population en cas de danger immminent ou d’une menace, comme les glissements de terrain, l’écroulement des habitations, murs de soutènement ou arbres… Il s’agit du 034 34 670 08 pour la Police municipale et le 034 34 670 09 pour les sapeurs-pompiers en cas d’appels d’urgence. Tout au long de cette nuit terrible, les sapeurs-pompiers de Tsaralalàna ont reçu au moins 30 appels de secours et leurs équipes d’intervention et de secours ont effectué une dizaine de sorties, même jusque tout au long de l’après-midi, hier.

Franck R. et Anatra R.



 

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Editorial

  • Au beau fixe !
     Le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry NIrina a reçu en audience au Palais d’Etat d’Iavoloha la ministre des Affaires étrangères du Japon Yoko Kamikawa. Une rencontre que certains observateurs qualifient d’historique sinon d’inédite.Le Japon faisait partie des pays ayant noué une relation diplomatique avec la jeune République malagasy. L’empire du Japon était ainsi présent dès les premières heures du retour de la Grande île à l’indépendance en 1960. Seulement voilà, en soixante ans de relation diplomatique, c’est la toute première fois qu’une haute personnalité japonaise du rang de chef de la diplomatie ait pu effectuer une visite officielle au pays. Une grande première que nous, Malagasy, nous ne voulions pas passer inaperçue traduisant ainsi une relation au beau fixe entre les deux Nations voire entre les deux peuples.Le pasteur Ravelojaona, 1879 – 1956, fasciné par le parcours fulgurant de l’économie japonaise à partir du début du siècle…

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