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Covid-19, autre maladie ou mort naturelle ? Qu’importe la cause, la République malagasy  perd, suite au décès hier du Général de corps d’armée Herilanto Raveloharison, un de ses grands serviteurs. De son titre de haut gradé de la Gendarmerie, le défunt a déjà rempli le critère d’un illustre fils du pays dans la mesure où ce titre n’est pas octroyé à qui que ce soit. A part, le fait d’avoir servi la Nation en tant que militaire, Herilanto Raveloharison a occupé des postes ministériels et d’autres hautes fonctions. 

En conférence de presse, hier au siège de son département à Faravohitra, Herilaza Imbiki, garde des Sceaux et ministre de la Justice, livre quelques pistes sur l’affaire pour laquelle il a mené une délégation aux Comores la semaine dernière. Une mission à l’issue de laquelle notamment deux ressortissants de nationalité malgache, arrêtés par les autorités de l’île sœur dans le cadre de l’affaire des 49,5 kilos d’or, ont été extradés ou rapatriés dans la Grande île. 

Message d’interpellation. Arrivé au terme de sa mission à Madagascar, l’actuel représentant résident du Fonds monétaire international (FMI), Marc Gérard, a fait ses adieux au cours d’une audience avec le Président Andry Rajoelina, hier, au palais d’Etat d’Iavoloha. A l’issue de 3 années de service passées dans la Grande île, il a, d’emblée, fait part de sa reconnaissance vis-à-vis du peuple malagasy et du Président pour l’hospitalité dont il a bénéficié pendant sa mission. Il n’a pas manqué d’adresser un petit message d’interpellation au Chef de l’Etat malagasy. En marge de la rencontre – qui fut aussi une occasion de mise au point sur l’état de la collaboration entre Madagascar et le FMI – le représentant résident sortant de cette institution financière a évoqué les grands points de leurs discussions.


Fosa Juniors Boeny a encore frappé fort, hier, à l’issue de la 5ème journée du Championnat de Madagascar, Orange Pro League. Une journée marquée par beaucoup de matchs nuls. Néanmoins, Fosa Juniors Boeny a surpris les militaires du Cosfa sur un score large de 4 buts à 2 à Vontovorona. Les Majungais continuent leurs parcours sans faute, et cela à l’issue de ces cinq journées. La formation de Boeny reste invaincue après un parcours sans faute dans la conférence Nord composée de huit équipes. Il s’agit de la seule équipe qui n’a encore encaissé aucune défaite après 5 journées. Fosa Juniors reste en tête de compétition après quatre victoires et un match nul face à l’AS Fanalamanga lors de la quatrième journée. Toujours sur sa lancée, Fosa Juniors Boeny annonce ses couleurs dans la course au titre.
Après deux saisons au ralenti, le club porte-fanion de la Ligue de Boeny annonce ses intentions d’aller reconquérir le titre. Passés en vitesse supérieure, les hommes de Salvatore Nobile alias « Toto » restent sur le bon pied dans leur ambition dans cette compétition.
Dans les autres résultats, son dauphin au classement, l’Ajesaia de Bongolava a arraché la victoire sur 2 buts à 1 face au Five FC. Toujours dans la conférence Nord, l’AS Fanalamanga, Alaotra-Mangoro et « Tia Kitra Toamasina » se sont tenu en échec sur des scores vierges (0-0), tandis que Jet Kintana s’est incliné face à l’Uscafoot (0-2).
Dans la conférence Sud, seule équipe victorieuse de cette cinquième journée, le CFFA Andoharanofotsy prend les commandes en tête du classement après s’être imposé (2-0) face au Zanakala FC à Fianarantsoa. Le JFC et 3FB Toliara se sont neutralisés sur le score nul et vierge (0-0) dans la cité du soleil, au Kianja Maître Kira. Même score pour le match Dato FC vs Disciple FC ainsi que la rencontre Elgeco Plus vs Mama FC.
Elias Fanomezantsoa

La une du 17 janvier 2022

Publié le dimanche, 16 janvier 2022


En péril. Les paysans producteurs subissent de plein fouet les impacts du mauvais état de principales voies routières en période de récolte. « Ici, on vend une caisse de pêche d’environ 25 kg à seulement 1 000 ariary. Les collecteurs se font rares dès qu’ils ont constaté l’état de délabrement avancé de la route. La plupart du temps, nous sommes dans l’obligation de jeter une grande partie de notre production ou de les laisser sur le marché car les ramener chez nous coûterait encore plus en termes de frais de transport » déplore Ernest Randrianaivo, petit producteur fruitier de la Commune d’Antsampandrano- Antanifotsy. Non loin de là, sur la même nationale sept, à Manandona, des milliers de tonnes de pommes de terre s’entassent aussi faute de collecte. « Pour le moment, peu de collecteurs daignent descendre dans notre Région à cause de l’état de la route. On ne sait plus quoi faire des récoltes. Sans parler des pertes considérables que nous enregistrons tant pour le stockage que pour les frais divers » s’attriste Stanislas Rakotonindriana, producteur. Une façon pour cet agriculteur de la Région de Vakinankaratra d’alerter les autorités compétentes quant à la situation à risque des acteurs de cette filière dans le contexte actuel. Ce dernier rajoute que « Rares sont les collecteurs qui arrivent jusque chez nous. Ceux qui viennent imposent des prix d’achat dérisoires. Des prix qui sont loin de nous convenir dans la mesure où ils correspondent à peine aux deux tiers de nos investissements dans la production de ces pommes de terre ». Selon lui, ces collecteurs proposent un prix d’achat de 350 ariary le kilo de pommes de terre alors qu’en temps normal ce prix est fixé à environ 500 ariary pour que les producteurs puissent rentrer dans leur frais. Ce prix de 350 ariary correspond au produit de premier choix que les consommateurs finaux d’Analamanga achètent environ à 1 400 ariary le kilo. Les producteurs qui proposent aussi des produits de second et troisième choix sont ainsi obligés de vendre ces derniers à des prix infimes de moins de 200 ariary le kilo. « Pour ma part, j’investis un peu plus de 300 000 ariary en semence, engrais chimique et produits de traitement, sans compter la main d’œuvre. A raison de 1 500 ariary le kilo de la semence. Avec le prix d’achat qu’on nous impose en ce moment, la totalité de ma production revient à seulement un peu moins de 200 000 ariary alors qu’en temps normal cela me rapporte environ 500 000 ariary pour la récolte », rajoute Stanislas Rakotonindriana. Plus de 20 tonnes de pommes de terre par jour son récoltées à Manandona présentement. Des produits frais qui ne peuvent attendre longtemps avant d’être commercialisés. La production nationale de la pomme de terre est principalement concentrée dans la seule Région de Vakinankaratra. 90 à 95 % de la production nationale. Le rendement moyen de la Région est d’environ six tonnes à l’hectare mais ce rendement varie en fonction de la saison de culture et de la fertilisation. Les débouchés sont généralement Antananarivo dans les grands marchés de la ville, Toamasina, la Région du sud du pays, les marchés de ville d’Antsirabe où les consommateurs et collecteurs achètent directement le produit .Avec la situation des infrastructures routières, les collecteurs se font rares, la production reste pourtant stable.
Hary Rakoto


 
L'émotion était au rendez-vous jeudi dernier à l'EMTH Mangarivotra. L'association Tsiky a  rendu hommage à Gilles Tavernier, soignant référent à l'EPP d’Amborovy pour le compte de l'association depuis sa création il y a 10ans. Gilles Tavernier est un infirmier à la retraite établi à Amborovy et qui, chaque jour, s’engage à veiller à la santé des autres, de son entourage sans distinction de classe sociale, riches ou pauvres, enfants, personnes âgées, mais surtout au sein de l’association Tsiky, dans 6 EPP de Mahajanga, soit plus de 4 000 enfants.
Un  acte de bénévolat et de dévouement apprécié quotidiennement  par la population locale et récompensé à sa juste valeur par l’Etat malagasy jeudi dernier. Gilles Tavernier a été décoré chevalier de l’Ordre national malagasy par Bachir Sojay Adéhame, membre du conseil national et représentant à l’occasion du Président de la République Andry Rajoelina. La cérémonie amicale de jeudi s’est déroulée, Covid-19 oblige, devant une assistance assez réduite et a été honorée par des personnalités locales. Entre autres, le consul honoraire de France, Karim Hiridji, la présidente de l'association des Français de l'étranger, Raharimanana Annick, les présidents de l'association Tsiky de la Réunion et Mahajanga ainsi que des partenaires de l’association Tsiky Mahajanga. Les orateurs, lors de cette cérémonie ont, à l’unanimité, loué l'engagement passionné de Gilles Tavernier durant ces dix années. Le sens critique, l’expérience, l’engagement sans faille  de celui que l’association Tsiky considère comme un « Ray aman-dreny » ont été utiles  pour ajuster au mieux l’intervention à l'égard des enfants.
L’association Tsiky propose un système de santé de proximité gratuit par la prévention, l’éducation sanitaire des parents et des élèves, les soins au quotidien et de première urgence.


Vanessa Zafimahova


Aval du rappel et du « boost ». L’Académie nationale de médecine de Madagascar (ANAMEM) recommande, enfin et à titre officiel,  aux personnes vaccinées une dose additionnelle ou une « dose boost ». Désormais, les personnes affichant un schéma vaccinal complet peuvent recevoir une autre dose de vaccin anti-Covid-19, notamment cinq mois après été inoculées de la première dose. Autrement dit, les personnes qui ont reçu les deux premières doses « d’AstraZeneca » ou « Covishield » pourront se faire vacciner d’une dose « boost » du vaccin « Pfizer ». Pour les individus ayant reçu le « Jensen » en primo vaccination, elles peuvent se faire vacciner avec le « Pfizer » en guise de dose de rappel. Et enfin, pour les primo-vaccinés en double doses de « Pfizer », le même vaccin est recommandé pour une troisième dose additionnelle.
Ces recommandations de l’ANAMEM, datant du 7 janvier dernier et qui ont été clairement validées par le Groupe technique de travail national (GTTN), le 12 janvier tant attendues, vont être appliquées dès cette semaine. Cependant, d’après un responsable auprès du ministère de la Santé, la mise en œuvre de cette nouvelle campagne ne débutera pas le même jour au niveau des Districts, et cela en raison de quelques détails à régler au niveau technique et logistique. « Le statut vaccinal des cibles doit être systématiquement vérifié afin d'identifier les doses de vaccin reçues lors de la primo-vaccination et de déterminer ainsi le vaccin recommandé pour la dose additionnelle », mentionne la Direction du programme élargi de vaccination (DPEV) au sein du ministère de la Santé publique, et ce à travers des directives sur les doses additionnelles.
Pour toutes ces raisons donc, il y aura deux circuits au niveau des vaccinodromes, à savoir le passage des individus qui viennent se faire vacciner pour la première fois et un autre pour la dose additionnelle.
Il faut savoir que depuis quelques temps, plusieurs membres du Corps médical et même des simples citoyens qui n'ont jamais remis en question de la nécessité ou non d’une dose de rappel du vaccin anti-covid-19, ont déjà renforcé leur immunité, entre autres grâce à l’injection d’une troisième dose de ce vaccin.
Recueillis par K.R.



90 000ha. Telle est la superficie de forêts que Madagascar perd chaque année d’après les statistiques du ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MEDD). Pire, un  rapport scientifique du WWF, publié en janvier 2021 et intitulé « Les fronts de la déforestation : moteurs et réponses dans un monde en mutation », révise ce chiffre à 100 000ha par an. En effet, la Grande île est en proie à une déforestation massive ces dix dernières années. A cela s’ajoutent, les nombreux points de feux constatés dans plusieurs réserves naturelles au cours de l’année dernière. Ce qui ne laisse plus qu’environ 8 millions d’hectares de forêts dans le pays. L’exploitation abusive des ressources forestières à des fins de production de bois d’énergie s’inscrit à la tête des causes de déforestation qui frappe surtout les forêts situées dans les parties Est et Ouest du pays. Ainsi, l’expression malagasy « Rahoviana vao ho lany ny ala atsinanana » ne serait plus, d’ici peu, qu’une ironie car les forêts de l’Est sont bel et bien en détresse.
Le reboisement apparait donc comme la solution adéquate au phénomène de déforestation qui prévaut actuellement. Pour la troisième fois successive, le Président Andry Rajoelina lancera la campagne nationale de reboisement pour cette année 2022. Après Taolagnaro, cap sur Mahanoro ! Cette fois – ci, le Chef de l’Etat fera le déplacement dans la Région d’Atsinanana, précisément à Mahanoro où il donnera le coup d’envoi officiel de cette campagne, ce mercredi 19 janvier. Comme pour l’année précédente, le défi est de taille puisque l’objectif est de recouvrir une superficie de 150 000 hectares pour cette année.
Pour une intensification des actions
Le choix de la date du 19 janvier n’est pas anodin car correspond à la date d’investiture du Président à la magistrature suprême du pays en 2019. Une nouvelle déclaration de l’homme fort du pays est donc attendue à cette occasion dans l’optique d’une intensification de la lutte contre la déforestation et la protection de l’environnement. Dans son Velirano n°10, le Président de la République s’est engagé à assurer une gestion durable des ressources naturelles incluant le défi du reboisement afin de lutter contre la destruction de l’environnement. Lors de la COP26 à Glasgow (Ecosse) le Chef de l’Etat a réitéré la grande place qu’occupe la biodiversité à Madagascar, dont les forêts en l’occurrence. Pour le cas de l’Atsinanana, en particulier, « ses forêts pluviales contribuent au maintien des processus écologiques nécessaires à la survie de la biodiversité unique de Madagascar », selon l’UNESCO.
A part Mahanoro, dans la Région d’Atsinanana, qui accueillera cette cérémonie de lancement officiel, la campagne démarrera au même moment dans les autres Régions du pays. Toutes les catégories de personnes et tous les corps de métier au sein de l’administration sont invités à y participer : fonctionnaires, enseignants, étudiants, politiciens, associations, ONG, etc.
Sandra R.

Intégrité et exemplarité au menu

Publié le dimanche, 16 janvier 2022

12 janvier, « journée des officiers ». Selon la tradition bien ancrée au sein de l’Armée, les officiers  consacrent la date de 12 janvier dite aussi « journée de la cohésion » pour afficher la solidarité.
Brève historique. L’Académie militaire d’Antsirabe a été créée le 12 janvier 1967 par le régime PSD du feu Philibert Tsiranana. Une école supérieure militaire qui n’a pas évidemment l’ambition de rivaliser l’école supérieure de Saint-Cyr  Coëtquidan (France) mais se donne la prétention de former des officiers dignes de la Nation. Elle rayonne tout de même dans tout le continent africain. Des pays frères du continent envoient des jeunes à Antsirabe. Le cas du célèbre et charismatique capitaine Thomas Sankara (Burkina Faso) en est un exemple probant. Etant entendu que l’Académie d’Antsirabe a la vocation de former des élèves officiers  pour l’Armée (la Gendarmerie y comprise), elle tient un rôle hautement stratégique pour le besoin de la défense et de la sécurité du pays.
Pour immortaliser et cristalliser l’importance de la date du 12 janvier, année de la naissance de l’Académie militaire d’Antsirabe, l’Armée le célèbre avec respect tous les ans en guise de rappel de l’unité, du besoin de la cohésion et surtout de la solidarité entre soldats officiers.
Traditionnellement, le Chef de l’Etat, chef suprême des Armées, honore de sa présence la célébration de la journée des officiers et profite de l’occasion pour transmettre un message fort à l’endroit de la Grande muette sinon de rappeler le rôle initial des hommes (ou des femmes) en treillis.
Ce 12 janvier 2022, le Président de la République Rajoelina Andry Nirina, chef suprême des Armées, tenait à honorer de sa présence la célébration de cette date historique et à participer en personne aux activités physiques pour la circonstance. Mais le numéro Un du pays voulait également rappeler aux soldats officiers la raison d’être de la mission d’un officier dans le processus de la sauvegarde de la souveraineté de la Nation. Le chef suprême des Armées remet la pendule à l’heure et hisse la barre tout haut en martelant que l’Armée, en particulier les officiers, doit entretenir en permanence l’état d’esprit intègre et faire montre d’une conduite exemplaire. L’intégrité et l’exemplarité s’imposent dans toutes les actions de l’Armée entre autres la défense et la sécurité du pays. Toute déviance à cet égard est à bannir.
A travers ce rappel à l’ordre, le Chef de l’Etat Rajoelina met en garde que la  récente tentative d’assassinat visant quelques dirigeants du pays ne se reproduise plus dont certains officiers supérieurs et Généraux en retraite et en activité ont été impliqués. Un acte indigne d’un soldat (officier surtout) !
L’intégrité et l’exemplarité, deux critères de comportement et d’attitude non négociables et indispensables à tout haut responsable dans l’exercice sa fonction, ne se discutent point ! La Nation exige à ce que tout dirigeant du pays, officier y compris, fasse preuve de bonne conduite dans la gestion des affaires nationales. Toute tentative de déviance et de déstabilisation ne se pardonne point quel qu’en soit le motif.
L’intégrité et l’exemplarité, tel que le Chef de l’Etat veuille bien inculquer aux officiers, lors de la journée  du 12 janvier, sonnent à propos au moment où le pays traverse une zone de turbulence.
Ndrianaivo

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Editorial

  • Au beau fixe !
     Le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry NIrina a reçu en audience au Palais d’Etat d’Iavoloha la ministre des Affaires étrangères du Japon Yoko Kamikawa. Une rencontre que certains observateurs qualifient d’historique sinon d’inédite.Le Japon faisait partie des pays ayant noué une relation diplomatique avec la jeune République malagasy. L’empire du Japon était ainsi présent dès les premières heures du retour de la Grande île à l’indépendance en 1960. Seulement voilà, en soixante ans de relation diplomatique, c’est la toute première fois qu’une haute personnalité japonaise du rang de chef de la diplomatie ait pu effectuer une visite officielle au pays. Une grande première que nous, Malagasy, nous ne voulions pas passer inaperçue traduisant ainsi une relation au beau fixe entre les deux Nations voire entre les deux peuples.Le pasteur Ravelojaona, 1879 – 1956, fasciné par le parcours fulgurant de l’économie japonaise à partir du début du siècle…

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