mardi, 30 janvier 2024

La une du 31 janvier 2024

Publié dans La Une
mardi, 30 janvier 2024

De l’industrialisation

Deuxième des trois « Andry » (piliers) de la Politique générale de l’Etat (PGE), septième des treize points du Velirano et un des axes focaux de l’Initiative pour l’émergence de Madagasikara (IEM), l’industrialisation occupe une place cruciale dans la mise en œuvre de la PGE aux fins de reconstruire  la Grande île. Un des objectifs phares du régime Orange sous la houlette du jeune visionnaire, le Président Rajoelina.
L’industrie fait partie du secteur « secondaire » au sein du cadrage global des activités économiques d’un pays. Le secteur « primaire » englobe toutes les activités de production des matières premières (produits agricoles, miniers, …). Le secteur « secondaire » transforme les produits des matières premières. Et le secteur « tertiaire » s’occupe de la commercialisation en général. Bref, le « primaire » produit. Le « secondaire » transforme. Et le « tertiaire » commercialise. Il s’agit là d’un schéma élémentaire mais il résume en gros toutes les activités économiques d’un pays.
Dans les pays à économie développée, cas des nations européennes et américaines, la prospérité fut le fruit de la révolution industrielle des XVIII ème et XIX ème siècles boostée par la découverte de nouvelles sources d’énergie à base de pétrole. L’époque où l’industrialisation, l’élément catalyseur principal du développement économique rapide, connut un essor sans précédent. Evidemment, la politique des extensions coloniales venait à accompagner les vagues de naissance des industries modernes. L’Afrique, le théâtre d’expansion coloniale, servait de réserve en ressources naturelles des matières premières. Parfois, des exploitations injustes des richesses naturelles, du sous-sol, des faunes et flores du continent noir au service de l’industrialisation de l’Occident contribuaient largement au surdéveloppement des anciennes puissances coloniales. Il ne fallait pas donner tort aux dirigeants de certains pays d’Afrique s’ils réclament des indemnisations ou des récompensations aux pays colonisateurs. Un siècle plus tard, l’Afrique cherche difficilement les voies et moyens pour maîtriser le processus d’industrialisation. Madagasikara en fait partie !
Le Chef de l’Etat, lors de son discours d’investiture, annonçait solennellement les trois Andry du programme de mise en œuvre de la Politique générale de l’Etat dont le renforcement du volet social, la dynamisation du développement de l’industrie et la consolidation de la bonne gouvernance. Trois « Piliers » que Rajoelina compte, en personne, diriger et veiller à leur implémentation. Durant le premier quinquennat, le Gouvernement a jeté les bases de l’industrialisation. Le ministère de l’Industrialisation et du commerce (MIC), le fer de lance des engagements, mit en place à travers les Districts les bases du grand projet ODOF (One district, one factory). De petites unités de transformation des produits locaux ont été installées dans certains Districts pilotes. En tout cas, aucun District ne sera oublié ! Sur le plan national, le MIC s’active à la mise sur rail des cadres de travail pour accompagner les efforts entrepris. Entre autres, l’adoption d’une nouvelle loi sur les investissements privés favorisant les entreprises locales et les capitaux étrangers désirant s’installer à Madagasikara. En outre, la mise en œuvre d’un pacte sur l’industrialisation liant le secteur privé et l’Etat et cela dans une programmation industrielle visant à accroitre le poids de l’industrie malagasy à 30 % du Produit intérieur brut d’ici 2040.
Partie de bon pied, l’industrialisation de la Grande île se trouve en de bonnes mains.
Ndrianaivo


Publié dans Editorial


Janvier 2024 s'achève finalement ce jour ! Mais quelle fin ! On peut dire que l'année commençante débute très mal car elle a été marquée par une succession de drames, qui l'ont endeuillée avec des faits qui se sont déroulés souvent dans le sang : décapitations et crime, viols mais surtout également des accidents meurtriers. A commencer par ces derniers faits. En effet, 2024 a démarré avec ce triste accident mortel associé à un délit de fuite survenu à Anosy, à 6h du matin, le 1er janvier dernier.
Mais la mort tragique de Mickaël, ce jeune scootériste de 18 ans qu'un conducteur de taxi-be avait renversé puis volontairement trainé sous son véhicule, sur une distance de 600 mètres avec sa moto avant que le chauffard ne s'était finalement immobilisé sur injonction de la Police, et la colère des passants, fut sans doute l'un des plus spectaculaires. Quelques jours à peine après cela, un autre jeune de 17 ans s'est tué également de façon effroyable au guidon de son scooter sur la voie rapide de Tsarasaotra. Cette fois-ci, la victime s'est encastrée sous un camion lors d'une course poursuite que le jeune motard s'est livré avec un autre.
Mais la liste des terribles et accidents de moto survenus durant janvier 2024, n'a pas été exhaustive. On n'en parle plus de ceux qui ont été provoqués par les taxis-brousse et les camions sur nos routes nationales. Andranomanelatra sur la Rn7 et Mandraka sur la Rn2 ont défrayé la chronique.
Mais 2024 s'ouvrait surtout aussi par cette série de meurtres barbares, notamment dans la Capitale. Celui de la petite Lalie (2ans) par son beau-père est le plus récent, le plus choquant, enfin le plus triste. La victime a vécu un véritable enfer avec une mère ivrogne, toujours absente et un beau-père violent sinon criminel, qui la battait souvent et sans raison.
Est-il nécessaire de rappeler encore la décapitation par meurtre rituel de la jeune Nathalie (14 ans), cette ancienne habitante d'Antsalovana, fait incriminé à un fou dangereux surnommé Tonton ou Johnny de Mangarivotra -Faravohitra. Cette triste affaire s'est soldée par l'incarcération provisoire pour complicité de deux gardiennes du sanctuaire pour le bain rituel d'Andranoro, le présumé meurtrier voulant y faire les restes de la victime une offrande.
Parallèlement à cela, une mère de famille d'Ambohidratrimo a subi également le triste et même sort que Nathalie. Malheureusement, on n'a toujours pas réussi à identifier son assassin, encore moins savoir le mobile de son acte.
Dans le Sud spécialement, ç'est bien pire. Des victimes, tout âge et tout sexe confondus, avaient été assassinées de cette même manière, toujours en lien avec le besoin de rites barbares et superstitieux.
Pour clore la liste des faits morbides de l'année commençante, signalons particulièrement l'explosion du nombre de viols enregistrés. Preuve que l'affaire est grave, 18 cas de viols ont été répertoriés. Généralement, les victimes sont des filles mineures. Et pourtant, plus le chef de l'Etat a annoncé une série de mesures draconiennes dont la castration à l'encontre des violeurs de mineures, plus il semble que le démon s'empare de ces derniers pour continuer leurs mefaits.


Franck R.


Publié dans Politique



A la recherche des meilleurs profils ! Comme annoncé par le Président Andry Rajoelina lors de la nomination des membres du Gouvernement, le 14 janvier dernier, une dizaine de secrétaires d’Etat auprès de la Présidence seront nommés incessamment. Ces hauts responsables seront en charge de plusieurs secteurs comme l’électrification rurale et des ménages, la lutte contre la pauvreté et la réinsertion sociale, la souveraineté alimentaire, le planning familial, l’économie et le plan, la coopération économique, la jeunesse et la lutte contre les stupéfiants, la digitalisation des services publics, le commerce et la consommation, ou encore l’artisanat et les métiers.
A l’instar de la sélection de l’équipe gouvernementale, le choix des secrétaires d’Etat combine à la fois rigueur et intransigeance. Un mode de sélection qui prend donc un peu plus de temps que prévu dans le but de trouver les bons profils. En effet, l’installation de ces responsables permettra de renforcer le pouvoir exécutif tant en termes d’efficacité que de rapidité dans la réalisation des programmes de développement. D’où la nécessité de placer les bonnes personnes aux postes adéquats. Des personnes qui seront opérationnelles dès leur nomination officielle, et qui seront dotées aussi bien des expériences que des compétences étroitement liées à la vision du Président de la République qui ambitionne un développement effectif pour Madagascar.
Les secrétaires d’Etat seront ainsi jugés en fonction de leur compréhension des priorités nationales qui garantit une mise au diapason dans la mise en œuvre des politiques gouvernementales. Chacun de ces hauts fonctionnaires devra d’ores et déjà avoir une grande faculté d’adaptation qui lui permettra de s’atteler aux différentes missions qui lui incombent : mettre en œuvre des solutions concrètes conformément aux différents secteurs d’intervention qui lui sont confiés. En attendant l’annonce officielle des nommés, la patience est de mise.
La Rédaction

Publié dans Politique

En ce début d’année, le premier rendez-vous consacré au cinéma est donné à l’Alliance française d’Antananarivo, située à Andavamamba. Cet évènement cinématographique en est à sa huitième projection depuis son retour après 4 années d’absence. Si auparavant, il portait le nom de « Ciné Junior », depuis le mois d’avril 2023 - date de son retour, sa nouvelle appellation est le « Ciném’Alliance ». Depuis dix mois, c’est devenu l’un des programmes que les jeunes cinéphiles ne manquent pas de noter dans leur agenda. Les responsables donnent rendez-vous aux cinéphiles pour une autre projection gratuite, cet après-midi à partir de 14h. Comme à l’accoutumée, l’Alliance française concocte une belle programmation cinématographique.
Pour la première fois depuis le retour de « Ciném’Alliance », les responsables ont décidé de mettre à l’honneur une fiction malagasy. Il s’agit d’un court-métrage d’une durée de 25 minutes, intitulé « Petit bonhomme de riz », réalisé par Rianando Ludovic Randriamanantsoa, avec comme acteurs principaux Gégé Rasamoely et Dominique Savio. Cette séance de projection mettra ainsi à l’honneur un film qui relate la vie d’un homme résidant dans le bas-fond d’Antananarivo. Ce dernier se fait tout le temps voler son demi-sac de riz. Le petit voleur paie ainsi son loyer et peut dormir avec un groupe de nécessiteux dans une maison faite de sachets en plastique. Un jour, le petit garçon suit l’homme au demi sac de riz jusqu’à chez lui…
Notons que ce court-métrage a été projeté durant les 8èmes Rencontres du film court de Madagascar en 2013. Il était en compétition officielle au Festival international du film d’Afrique et des îles (Le Port, La Réunion) en 2013. Par la suite, il a été sélectionné lors du Festival international de Clermont-Ferrand en 2014, et également au Festival international du film de Fribourg - toujours en 2014.
Avec cette affiche, les plus jeunes ne risquent pas de s’ennuyer en ce mercredi après-midi, une demi-journée de pause à passer dans une salle de cinéma. Ce sera une nouvelle occasion de partager et découvrir des films ensemble, avec l’expérience inégalable du grand écran. Et pour le plus grand plaisir du public, l’accès à la projection est toujours libre. Dans une salle semi-éclairée (pas de noir complet), avec un niveau sonore adapté aux jeunes téléspectateurs, petits et grands pourront découvrir des films à l’affiche, des reprises de programmation ou des moyens-métrages.
Si.R

Publié dans Culture



Leur proche, une directrice au sein d'un ministère, croupit déjà en prison au côté de leurs 6 co-accusés à la suite de l’affaire d’accaparement de terrain à Isahafa, Commune d’Anosiavaratra, en décembre dernier.
Mais l'enquête sur cette affaire n'est pas pour autant terminée. 7 autres individus font actuellement l’objet d’un avis de recherche. Parmi ces derniers, Julie Annick Rahantanirina, opérateur de son état et Niorella Chania Rakotoarimana. Elles seraient soupçonnées de faux et usage de faux dont l'acte de vente dans cette affaire, selon une source.
Ces deux femmes à retrouver encore ne sont autres que des membres de la famille de la directrice au sein dudit ministère. A cela s’ajoutent également des topographes.
A l'époque, l'ex- Seg, le Général Serge Gellé était sorti de ses gongs pour annoncer une tolérance zéro à l'encontre des membres de réseaux de voleurs de terrain. L'homme a été mandaté par le Chef de l'Etat afin de rencontrer les victimes, et faire état de la situation.


F.R.

Publié dans Société



Des embouteillages qui durent plus d’une heure pour un trajet de quelques mètres seulement, outre la frustration et l’étouffement. La situation s’est dégénérée au niveau de la route digue reliant Anosizato et Anosipatrana. En effet, la rue se rétrécit de jour en jour à cause des tonnes d’ordures qui s'y entassent, sans parler des dangers qui attendent les usagers durant la nuit ou lors d'un croisement entre deux véhicules. « Il est difficile d'emprunter cette portion de route durant la nuit. Avec le vol des panneaux, la rue sombre dans le noir et ne permet pas de voir ce qui se passe devant ou derrière », se plaint un chauffeur de taxi travaillant sur cet axe. Ainsi, des odeurs nauséabondes engendrées par les fumées et la pluie étouffent les passants et les riverains. En effet, cet endroit est devenu un dépotoir pour la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA). Selon l’explication de la Société municipale d’assainissement (SMA), la route menant vers de dépotoir d'Andralanitra est inaccessible durant la saison des pluies. Par conséquent, elle est contrainte d'en trouver une autre.
Afin d’en remédier, la Région d’Analamanga, dirigée par le gouverneur Hery Rasoamaromaka, a effectué une descente hier à Anosipatrana afin de résoudre ce problème. 4 engins ont été mobilisés pour enlever les montagnes d'ordures qui bloquent la circulation. La route a été coupée depuis l'après-midi d’hier jusqu' à l'achèvement des travaux d'urgence qui pourraient perdurer jusqu'à 24 heures.
« Les agents travaillent jour et nuit pour libérer le passage et transporter les déchets ménagers vers Andralanitra », dixit le gouverneur. Lui de poursuivre que ce lieu de décharge n'est que temporaire. La route vers le dépotoir d'Andralanitra est inaccessible aux camions-poubelles. C’est la première cause du retard dans le ramassage des ordures dans la Capitale. A chaque période de pluies, l’accès à la décharge d’Andralanitra est plus difficile pour les camions à benne.
Afin de faire face aux montagnes d'ordures qui envahissent plusieurs quartiers de la Capitale, ainsi que le débordement de la décharge d’Andralanitra, beaucoup misent sur le recyclage des déchets pour chaque Fokontany ou encore le déplacement des dépotoirs dans un endroit bien isolé. D’ailleurs, tôt ou tard, cette décharge d’Andralanitra sera hors d’usage et la CUA devra trouver d'autres endroits.
Anatra R.

Publié dans Société

Renforcement des relations. Dans une récente rencontre historique des Chambres de commerce, Béatrice Alperte, cheffe de service économique au sein de l'ambassade de France à Madagascar, a partagé des prévisions économiques  pour l'année en cours. L'anticipation d'une croissance du PIB dépassant les 4,8% souligne l'importance des investissements, mettant en lumière la collaboration  avec la France, le deuxième client clé de Madagascar. Les indicateurs économiques pointent vers un ralentissement de l'inflation, estimée à 8,8%, comparée aux 10,5% de l'année précédente. Malgré une diminution des recettes fiscales, la résorption du déficit public est envisagée, passant de -3,9% en 2023 à -3,4% en 2024. Selon elle,  la France, en tant que deuxième client et influent partenaire, représente 15,7% des exportations de Madagascar, consolidant sa position dans le secteur textile. Cette relation économique privilégiée, où la France est également le cinquième fournisseur et quatrième investisseur, exerce une influence significative sur le développement de l'île. La récente rencontre entre la Chambre de commerce et d'industrie France-Madagascar (CCIFM) et la Chambre de commerce et d'industrie France-Maurice (CCIFrance-Maurice) ouvre de nouvelles perspectives de croissance en 2024. La collaboration renforcée promet d'activer des opportunités d'investissement et de partenariat.
Partenariats
La réunion stratégique orchestrée par la CCIFM avec la CCIFrance-Maurice vise à stimuler les échanges d'affaires et à favoriser des partenariats entre les entreprises de l'île Maurice et de Madagascar. Alain Razafindrabe, vice-président de la CCIFrance-Madagascar, souligne l'importance de cette démarche pour le développement économique des deux îles. Dans un contexte de mondialisation, Madagascar cherche à intensifier ses relations internationales, et l'île Maurice manifeste un intérêt marqué pour divers secteurs, dont le capital humain, la production, le secteur minier, l'agroalimentaire, le textile, l'énergie et le tourisme. La rencontre met particulièrement l'accent sur le partage technique, envisageant des circuits d'échange touristiques entre les deux îles. Josielle Rafidy, directeur général de l'EDBM, qualifie le climat des affaires à Madagascar de satisfaisant, renforçant ainsi l'attrait de l'île Maurice pour le pays. John Benatouil, président de la CCIFrance-Maurice, souligne que l'objectif de la rencontre était de faciliter les échanges, simplifier la création d'entreprises et favoriser le transfert de savoir-faire. La délégation mauricienne, représentant potentiellement 230 entreprises, exprime un vif intérêt pour les opportunités offertes par Madagascar, préparant le terrain pour une collaboration mutuellement bénéfique.
Carinah Mamilalaina

Publié dans Economie

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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