Société

Un défi relevé. 164 personnes en situation de précarité viennent de décrocher leurs attestations après avoir suivi quelques jours de formation professionnelle. Ceci dans le cadre de l’initiative « Fijery hafa », traduit littéralement « un autre regard », du ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle (METFP). Issus de « bas-quartiers » d’Antananarivo, bon nombre d’entre ces bénéficiaires sont au chômage. Ils se composent majoritairement de jeunes et de femmes. Plusieurs formateurs provenant des centres de formation professionnelle de la Capitale se sont donné la main pour réaliser le challenge, selon les informations recueillies.
Le procès du présumé entrepreneur répondant au nom de F.R., s'est déroulé à la salle no2 du Tribunal d’Anosy, hier. A la barre, l'accusé, avec sa barbe de trois jours, avait à répondre de ses actes sur sa double accusation d'abus de confiance et d'escroquerie devant le juge. Dans le fond, la société dénommée AKM, la plaignante dans l'affaire, lui reproche de la non- exécution d'importants travaux de terrassement qu'elle lui a confiés à Mahajanga, alors que F.R. aurait déjà empoché 400 millions d'ariary à cet objectif. Des accusations que le concerné, avec l'appui de son avocate, a évidemment nié…
Une situation alarmante. Les forêts tropicales sont les principales victimes des feux de brousse. Pire encore, les incendies s’étendent peu à peu dans la Capitale. Selon la statistique des sapeurs-pompiers de la Commune urbaine d'Antananarivo, six incendies ont recensés été en l’espace de deux jours, les samedi 2 et dimanche 3 novembre derniers. Une surface de 5 hectares a été incendiée à Masinandriana, Commune d’Ankadikely-Ilafy. La principale cause de ces incendies sont les feux de brousse dans le but de régénérer les forêts ou encore de nourrir les bovins. Viennent ensuite les feux de camp non maîtrisés. Le danger causé…
Ça y est ! Leur sort est ficelé ! Les 12 personnes arrêtées dans le cadre de l'enquête sur cette affaire, car soupçonnées du vol de vingt tortues du Parc botanique et zoologique de Tsimbazaza (PBZT) dans la nuit du mardi 24 au mercredi 25 octobre derniers, ont été alors placées sous mandat de dépôt dont deux femmes à Antanimora, et les 10 hommes à Tsiafahy. Et ces suspects sont des employés du PBZT, hormis une femme, qui est la fille d'une salariée du Parc, également dans le coup. Ces employés en cause du Parc sont des gardiens tandis que …

Projet « Efaho » - Les travaux vont bon train

Publié le mardi, 05 novembre 2024
Le ministre de l'Eau, de l'Assainissement et de l'Hygiène, Lalaina Andrianamelasoa, a récemment effectué une visite dans le Sud de Madagascar pour évaluer l’avancement des travaux liés aux projets gouvernementaux, en particulier les travaux du pipeline de Mandrare-Sampona ». Lors de cette visite, il a été accompagné par le gouverneur de la Région d’Anosy, Voahary Rakotovelomanantsoa qui s'investit pleinement dans la réalisation de ce projet présidentiel, essentiel pour le bien-être de la population locale.
La saison cyclonique approche à grands pas. L’accueil des sinistrés représente encore un grand problème à gérer pour les autorités malagasy. En cas d’inondation, les cours sont suspendus jusqu'à ce que les gens sinistrés puissent rentrer chez eux. Afin d’y remédier, des sites d’hébergement seront construits dans les zones vulnérables aux catastrophes naturelles. Après la ville de Mananjary, une autre infrastructure est en cours de construction à Manakara. La semaine dernière, la ministre de la Population et de la Solidarité nationale, Razafinjato Aurélie, a assisté à la cérémonie de pose de première pierre de l’Abri communautaire à usages multiples (ACUM).…
Plus de 500.000 personnes ont été relogées dans des villages dignes. L’association humanitaire « Akamasoa », fondée par le père Pedro Opeka, a pu faire cet exploit en 35 années d’existence. Plusieurs milliers de personnes se trouvant dans une situation de précarité ont pu se redresser grâce au soutien de ce père visionnaire. Ces derniers temps, Akamasoa réorientent ses habitants dans le monde rural, à travers la promotion de l’agriculture et de l’élevage. « Le village Akamasoa, près d’Ankazobe, dispose de 600 hectares de terres cultivables. Une partie a été donnée par l’Etat, et nous avons acheté une autre. Les…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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