Publié dans Culture

Evénement - Rwikordz Production intègre la grande famille de Yas

Publié le lundi, 09 décembre 2024
Une nouvelle toile au service des talents artistiques malagasy rejoint la famille de Yas Une nouvelle toile au service des talents artistiques malagasy rejoint la famille de Yas

Dans un élan prometteur pour la scène artistique malagasy, Rwikordz Production vient d'annoncer son intégration dans la grande famille de Yas, une entreprise de télécommunications reconnue pour son soutien indéfectible dans le domaine culturel de Madagascar. Cette collaboration s'inscrit dans une dynamique visant à promouvoir et accompagner les artistes locaux, tout en ouvrant de nouvelles perspectives de développement et de visibilité. Parmi les figures emblématiques soutenues par Yas, Tence Mena se distingue comme une étoile montante de la scène musicale malagasy.

Cette alliance ne se limite pas à la production musicale, mais englobe également un accompagnement approfondi, axé sur la formation des artistes, la valorisation de leur potentiel et l'initiation aux valeurs fondamentales de la culture et de l’art. Rwikordz Production souhaite ainsi mettre en lumière le rôle transformateur de l’art, qui va au-delà du simple divertissement pour contribuer au développement personnel et au renforcement de l’identité culturelle. En s'engageant à soutenir des talents issus des différentes régions de Madagascar, Rwikordz Production participe activement à une décentralisation culturelle, favorisant la découverte d’un Madagascar artistique authentique et diversifié. Cette démarche offre également aux jeunes artistes l'opportunité de s’épanouir sur la scène nationale et internationale.

Depuis sa création il y a quatre ans, la maison de production Rwikordz s'est affirmée comme une actrice incontournable dans le paysage artistique malagasy. Avec une trentaine de talents évoluant sous son aile, elle agit comme une véritable institution artistique. Parmi ces artistes en pleine ascension, on retrouve Mopcaan, Jacquis Randria et Patrich, qui explorent des genres variés allant du folk au RnB, ainsi que Jeddy VM, Misther Gang et Mpameno, qui se spécialisent dans le « salegy ». Pharaon, maître du ragga dance soul, Jam Jued et Jhaless, évoluant dans l’afropop, complètent cette constellation de talents. Maman’i Tsôlolo, quant à elle, se considère comme la gardienne du patrimoine musical sakalava.

Pour Rwikordz Production, l’art est bien plus qu’un simple divertissement. C'est un outil puissant de développement socio-économique et culturel. En soutenant ces jeunes artistes, la maison de production contribue à la valorisation du patrimoine culturel malagasy et à la création d’un écosystème artistique durable. Grâce à ses initiatives et son partenariat avec  l’entreprise de télécommunications Yas, Rwikordz Production s'affirme comme une plateforme clé pour propulser les artistes malagasy vers de nouveaux horizons, enrichissant ainsi le paysage culturel national.

Si.R

Fil infos

  • « Noelin’ny fitia » - Le Président Rajoelina inaugure les illuminations à Ambohijatovo
  • Elections municipales - Harilala Ramanantsoa en tête des résultats provisoires à Tanà
  • Production d'électricité - Quadruplée en deux mandats de Rajoelina
  • Prix « Prince Albert II de Monaco » - La médaille d’argent au journaliste Rivonala Razafison
  • Corruption - Des biens mal acquis d’une valeur de 7,6 milliards d’ariary saisis par le BIANCO
  • Élections municipales et communales à Antananarivo - Publication des résultats provisoires ce vendredi 
  • Région d’Analamanga - Hery Rasoamaromaka veut mettre les bouchées doubles pour 2025
  • Actu-brèves
  • Primes aux athlètes - Les détracteurs jamais satisfaits!
  • Président Andry Rajoelina à Andekaleka - « Les critiques sont un engrais pour avancer »

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

A bout portant

AutoDiff