Publié dans Politique

La République Coopérative de Guyana retire sa reconnaissance de la pseudo “rasd”

Publié le mercredi, 18 novembre 2020

La République Coopérative de Guyana a annoncé, samedi, sa décision de retirer sa reconnaissance de la pseudo “rasd”, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.

Dans une lettre adressée au ministre des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, M. Nasser Bourita, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de Guyana, M. Hugh Hilton Todd, déclare que “le Gouvernement de Guyana ne va plus reconnaître” la pseudo “rasd”, ajoute le communiqué, soulignant que Guyana “apportera son soutien entier aux efforts des Nations Unies en vue d’une solution pacifique et mutuellement acceptable”.

Grâce à l’impulsion donnée par  le Roi Mohammed VI la dynamique internationale d’appui à la marocanité du Sahara se poursuit, à la mesure de l’érosion des reconnaissances à de la fantomatique “république”, souligne le communiqué, relevant que 164 pays dans le monde ne reconnaissent pas la pseudo “rasd”.

La République Coopérative de Guyana, qui avait reconnu l’entité fantomatique le 1er septembre 1979 et dont la décision coïncide avec la commémoration par le peuple marocain du 45ème anniversaire de la Marche Verte, est le 14ème pays d’Amérique Latine et des Caraïbes à avoir retiré sa reconnaissance de l’entité chimérique depuis 2010.

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Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

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