Publié dans Politique

Concrétisation des « Velirano » - Une volonté présidentielle intacte à toute épreuve !

Publié le lundi, 23 novembre 2020


L’heure du bilan va bientôt sonner. Dans un peu plus de deux mois, le Président Andry Rajoelina fêtera ses deux années à la tête du pays. Deux années, certes éprouvantes, mais révélatrices de la volonté et de la détermination de ce jeune Président à mener le bateau du développement à bon port. L’année 2020 a été une période charnière pour la concrétisation des « Velirano » du Président de la République. Malgré la crise sanitaire liée à la Covid-19 qui a plongé le pays dans de nombreuses difficultés sociales et économiques, cette année a surtout été marquée par le coup d’envoi ou encore l’inauguration de plusieurs projets présidentiels.
L’on peut notamment citer le « Rovan’i Madagasikara » qui, un an et demi après le début des ouvrages, a déjà pu renaître de ses cendres. A cela s’ajoutent les routes nationales ou encore les stades « manara – penitra » qui sont déjà en cours de construction dans les quatre coins de l’île. Le stade de Barikadimy à Toamasina a même déjà été réceptionné pour accueillir le match retour qui a opposé les Barea aux éléphants de la Côte d’Ivoire le 17 novembre dernier. Le légendaire stade de Mahamasina qui sera baptisé « stade Barea » commence déjà à montrer son nouveau visage. De multiples infrastructures aux normes internationales viennent s’ajouter à cette longue liste de réalisations à savoir, les hôpitaux « manara – penitra », les prisons, etc.
De « Miami » à « Tanamasoandro »
Récemment, le couple présidentiel a procédé au lancement officiel des travaux dans le cadre du projet « Miami » à Toamasina. Ledit projet « Miami » vise à faire de la ville de Toamasina une destination touristique phare.  D’ailleurs, la référence à Miami, un endroit paradisiaque aux Etats – Unis n’est pas fortuite. Bien que le chantier ne soit encore qu’à ses débuts, la population s’est déjà approprié l’appellation de Miami. C’est dire à quel point les Malagasy, et particulièrement les habitants de Toamasina attendent avec impatience que le projet prenne vie. Celui – ci comprend, entre autres, l’aménagement et l’équipement d’un Beach Games ainsi que de diverses aires de sports et de loisirs (terrain de foot synthétique, terrain de basket, de beach volley, etc.). L’endroit comptera aussi des bâtiments, une allée piétonne arborée, des espaces verts et des jardins. Au cours de sa dernière visite dans le Grand Port, le Chef de l’Etat a révélé d’autres détails alléchants comme l’aménagement d’une piscine naturelle grâce à la désalinisation et le traitement de l’eau de mer. La Capitale ne sera pas en reste puisque le démarrage du projet « Tanamasoandro », qui sera finalement implanté à Imerintsiatosika, est déjà imminent.
Le meilleur est donc à venir car les trois prochaines années du mandat présidentiel seront le moment pour les Malagasy d’apprécier et de jouir des différentes réalisations entreprises jusqu’ici. La concrétisation des réformes dans les secteurs clés de la vie sociale comme la santé, l’éducation, l’industrie est d’ores et déjà attendue pour améliorer le bien – être de la population.
La Rédaction

Fil infos

  • Animaux sauvages saisis en Thaïlande - Œuvre des réseaux de trafiquants à Madagascar
  • ACTU-BREVES
  • JIRAMA - Ron Weiss, nouveau directeur général
  • Production d’énergies renouvelables - L’Etat encourage les investissements privés
  • Actu-brèves
  • Coopération Madagascar-Maroc - Une seconde visite du Roi Mohamed VI se précise
  • ACTU-BREVES
  • Lutte contre la famine et les fléaux climatiques - Le Président Rajoelina plaide pour une hausse des financements
  • Actu-brèves
  • Energie renouvelable - Le premier parc éolien de Madagascar opérationnel début 2025
Pub droite 1

Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

A bout portant

AutoDiff