Publié dans Politique

Découverte macabre à Mahajanga - Plus d’une vingtaine de personnes interrogées

Publié le jeudi, 05 mai 2022


Depuis la découverte du corps sans vie d’une étudiante en paramédical, en l’occurrence Elisabeth Rasoanirina (25 ans) dans un dépotoir du quartier de Mangarivotra à Mahajanga, l’enquête suit son cours. Bien que la Police semble ne pas chercher trop à ébruiter l’affaire, ses investigations ont fait bouger la situation. Selon récemment le procureur de Mahajanga, plus d’une vingtaine de personnes ont été interrogées par la Police, dans le cadre de l’enquête sur l’affaire, explique notre correspondante de la Cité des fleurs.
Malgré cela, aucune arrestation n’a été encore signalée, les Forces de l’ordre ne lésinent pas sur les moyens pour jeter la lumière sur ce meurtre, puisqu’il s’en est agi un. A cet objectif, la Police travaille étroitement avec la Justice pour mener l’enquête. Bref, les autorités concernées évitent de citer ou mentionner officiellement un ou des suspects dans l’affaire. Le corps de la victime avait été mis à l’intérieur d’un sac avant que les assassins ne le jetaient dans cette décharge d’Androva, il y a plus d’une semaine de cela.
F.Roland

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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