Publié dans Politique

Rennes - France - Disparition mystérieuse et inquiétante d’une Malagasy

Publié le lundi, 16 janvier 2023


Depuis le soir du 12 janvier dernier, Laura Rabesandratana, cette jeune femme malagasy de 31 ans et domiciliée à Rennes, France, n’a plus donné signe de vie. Sa disparition soudaine du circuit, inquiète vivement ses proches mais aussi l’ambassade de Madagascar en France, aux alentours de 18h. Discrète, calme et travailleuse, Laura Rabesandratana mesure 1m60. Elle est de corpulence mince avec des cheveux mi-longs noirs et violets, et porte des lunettes. Elle serait vêtue d'une doudoune grise foncée et porte un petit sac à dos avec une tête de mort en motif.  Notre représentation diplomatique en Hexagone partage donc une alerte sur la nouvelle de cette disparition de la victime. 
Selon sa famille, Laura est partie à bord de sa voiture, une Skoda Fabia, de couleur gris bleu-bleu clair, immatriculé AG-612-QW. Et pourtant, tout semble à croire que Laura n’aurait posé aucun problème particulier dans la vie, du moins aux yeux de sa famille. Et les circonstances qui ont précédé sa disparition faisaient partie de ses occupations quotidiennes. Selon une source sur place, cette jeune femme aime bien les animaux. D’ailleurs, c’est une volontaire pour les bonnes actions concernant la protection des animaux. Preuve de son affection pour les animaux, elle a trois chats qu’elle chouchoute le plus au monde dans sa maison à Rennes, selon toujours notre source.
Mais que s’est-il passé donc le soir du 12 janvier dernier ? Laura a parlé aux siens comme quoi elle devrait aller au supermarché sis non loin de chez elle, justement pour acheter des croquettes pour ses chats. Il était alors 18h. Mais le temps passait sans qu’elle ne soit pas toujours rentrée. Ses proches ont alors commencé à s’alarmer pour elle. Pour en avoir le coeur net, ces derniers décident de s’informer auprès du personnel dudit grand magasin. Mais là, coup de théâtre ! Les vendeuses du supermarché auraient nié avoir vu Laura. Du coup, la famille est persuadée qu’elle n’était pas allée fait un tour au supermarché, ni acheter du tout les croquettes. C’est ici que le mystère donc repose entièrement. D’ailleurs, la Gendarmerie devra donc baser son enquête à partir de ce changement imprévu de l’emploi du temps annoncé au préalable par la victime, elle-même. Pour l’heure, les recherches doivent se poursuivre encore pour tenter de savoir où peut bien se trouver Laura en ce moment. En attendant, ceux qui l'ont aperçue sont priés de contacter la Gendarmerie de Pacé ou sa famille au 06 44 39 88 79-06 88 52 46 90.
Franck R. 
 

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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