Publié dans Politique

Investissements - Mamy Ravatomanga répond à ses détracteurs

Publié le mardi, 15 juillet 2025

Certains pseudo-influenceurs continuent à franchir la ligne rouge de la désinformation. Parmi les cibles préférées de ces gens- là, Mamy Ravatomanga, entrepreneur de renom et acteur économique engagé, a récemment été accusé à tort par ceux-là d’avoir érigé une milice privée sous couvert d’un centre de formation. 

Une théorie fumeuse que l’homme d’affaires a choisi de ne pas alimenter par des débats stériles. Il a choisi d’y répondre par la transparence, en ouvrant en grand les portes de Madagascar Security Academy (MSA),  dernier-né de ses investissements structurants. 

Située en périphérie de la Capitale, la nouvelle infrastructure a accueilli pendant trois jours, visiteurs, journalistes, professionnels et curieux. L’objectif de cette démarche est de montrer, preuves à l’appui, que cette académie n’est ni un camp paramilitaire, comme certains s’acharnent à le suggérer, mais bel et bien un établissement de formation professionnelle digne des standards internationaux. 

Ceux qui sont venus sur le site ont ainsi pu voir que la MSA forme à des métiers concrets, légaux dans les secteurs de la sécurité privée, la sûreté aéroportuaire et l’hôtellerie de luxe.  Elle dispose aussi d’une clinique vétérinaire et d’un département cynophile. 

Loin des fantasmes complotistes agités par certains agitateurs du web, le site dévoile de surcroît des infrastructures spécialisées, des équipements de dernière génération, et un corps formateur qualifié. Faut-il également noter que l’académie n’est pas seulement ouverte aux jeunes Malgaches, mais accueille aussi des apprenants venus de l’étranger. 

Il faut signaler par ailleurs que les apprenants déboursent de leurs poches pour payer les frais de formation. Formation à l’issue de laquelle les apprenants peuvent obtenir un diplôme reconnu à l’international. 

En somme, il s’agit d’un projet d’envergure, à rebours total des accusations fallacieuses relayées sur ces pseudo-influenceurs sur les réseaux sociaux. Un acharnement que d’aucuns ne s’expliquent pas. Peut-être est-ce, parce que les retombées positives de cette initiative les dérangent ? Peut-être parce que, sans faits concrets à commenter, il leur faut inventer des scénarios catastrophes pour conserver l’attention d’un maigre auditoire ?  

Quoi qu’il en soit, les masques tombent.  Ceux qui agitent la peur n’apportent ni solution ni développement. Ils propagent, souvent sans preuve, des rumeurs toxiques qui nuisent à l’image du pays et sabotent des projets structurants. Mamy Ravatomanga, lui, poursuit son chemin. Sans bruit, sans posture victimaire, mais avec des réalisations palpables. 

L.A. 

 

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Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

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