Publié dans Politique

Présence confirmée de Mohamed Alabbar, le créateur de Dubaï-city

Publié le jeudi, 17 janvier 2019

Ses déplacements dans le monde entier sont très suivis. C'est rare qu'il se déplace à une cérémonie officielle mais il sera présent demain au stade de Mahamasina et au Palais d'Iavoloha pour honorer l'investiture du Président élu Andry Rajoelina. C'est pour répondre à l'invitation de ce dernier que Mohamed Alabbar, puisqu'il s'agit de lui, foulera le sol malagasy.

Cet invité de marque n'est autre que le créateur de Dubai-city. Excusez du peu. Mohamed Alabbar est le fondateur d'Emaar Properties,  l'une des plus grandes sociétés de développement immobilier au monde. Son chiffre d'affaires annuel s'élève à 5,83 milliards de dollars Us et une capitalisation boursière de plus de 9,7 milliards Usd. La société est connue pour avoir développé l'immeuble le plus haut du monde, Burj Khalifa, et le plus grand centre commercial du monde, The DubaiMall , qui font partie du méga-développement phare d'Emaar, DowntownDubai , ainsi que de Dubai Creek Tower à Le port de Dubai Creek, qui devrait atteindre plus de 500 mètres de haut à l'achèvement en 2020, le Dubai Opera , Dubai Marina , la plus grande marina artificielle au monde, Emirates Hills , considérée comme le « Beverly Hills de Dubaï », et le roi Abdullah Economic City , établie avec le roi Abdullah d'Arabie saoudite comme l'un des plus grands projets privés de la région couvrant une superficie de 64 miles carrés.

La venue de cet homme d'affaires émirati s'avère un signe à l'endroit des investisseurs étrangers et nationaux pour investir dans la Grande île.

La rédaction

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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