D'après notre source (alors haut responsable au sein du ministère de la Santé qui, pour avoir refusé de mouiller dans les combines maffieuses, a été par la suite limogé), les malversations portaient sur des livraisons de matériels fictives et/ou non conformes, mais qui ont été tout de même payées avec la complicité des personnes actuellement inquiétées par le PAC. La même source avait même avancé que les magouilles en question auraient été perpétrées sous l'impulsion du ministre de la Santé de l'époque, dont le frère aurait figuré parmi les adjudicataires des marchés du PEV en question.