Publié dans Société

Fête de fin d’année - Les journalistes font preuve de solidarité

Publié le dimanche, 20 décembre 2020

Plus de 200 journalistes réunis ! Ils sont issus de divers organes de presse, associations et clubs issus des Régions d’Analamanga, Itasy, Bongolava et Vakinankaratra. Ils se sont donné rendez-vous à l’espace Ankona, à Ambohidrazaka Alasora dans l’Avaradrano, samedi dernier pour une journée récréative. Celle-ci résulte de l’initiative de Fetra Rakotondrasoa, journaliste et député à la tête de la commission communication auprès de l’Assemblée nationale, avec l’appui de Soava Andriamarotafika et autres agents de la presse. L’objectif étant de renforcer le lien et la solidarité entre les journalistes, tout en fêtant comme il se doit la fin de l’année 2020. D’ailleurs, les occasions de rencontre et de fête étaient rares cette année, avec la crise sanitaire liée au coronavirus.

 

Au programme de la journée, les invités ont pu faire du zumba, danser et chanter ainsi que profiter de la piscine à leur disposition. Diverses animations étaient également au rendez-vous, sans oublier les rafraichissements et les repas de solidarité. Leur transport aller-retour était aussi assuré. « Cela fait longtemps que je n’ai pas assisté à ce genre de rencontre, avec une ambiance festive. J’ai pu faire connaissance et prendre contact avec d’autres journalistes d’Antananarivo et d’autres Régions, ce qui élargit mon réseau. De plus, j’ai pu me défouler au max », nous confie Jacky R., de la presse d’Antsirabe. « De telle journée récréative entre journalistes devrait se faire régulièrement, histoire de renforcer la solidarité et déterminer des actions concrètes pour mettre en valeur la profession et pour satisfaire les besoins en informations du public », ajoute M.R., journaliste d’Antananarivo. Notons que de nombreuses activités sont prévues pour la presse en 2021.

P.R.

Fil infos

  • Groupe Sodiat - Tous les comptes bancaires de ses sociétés bloqués ! 
  • Coopération bilatérale - D’Antananarivo au Grand Sud, Paris lance des projets inclusifs à Madagascar
  • APMF - Le personnel lance un ultimatum
  • Assises des partis politiques - Une transition de trois ans et un partage de sièges
  • Antananarivo sous les eaux - L’héritage de nos choix collectifs
  • Perquisitions abusives et musclées - Les Forces de l’ordre invoquent la sûreté de l’Etat
  • RN7 en chantier  - Le calvaire jusqu’à la fin des pluies
  • A défaut d’armes et d’argent cachés - Pillage et vandalisme à Mantasoa
  • Lutte contre la corruption - L’ENMG plaide pour une transmission rapide des preuves
  • Groupe Sodiat - Des comptes réduits à zéro

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff