Publié dans Société

Réfection des routes à Antananarivo - Travaux en cours pour quelques axes

Publié le mardi, 29 décembre 2020


10 axes se trouvant dans la Commune urbaine d’Antananarivo sont concernés par le projet de réfection de routes. Outre l’amélioration de l’image de la ville, ces travaux sont réalisés pour lutter contre les embouteillages monstres dans la Capitale, chaque jour. En effet, à cause des nids-de-poule qui ne cessent de s’agrandir, les automobilistes sont obligés de rouler lentement, gênant ainsi la circulation. Depuis le 24 décembre dernier, les entreprises ayant obtenu le marché ont déjà commencé les travaux qui, selon le directeur des bâtiments et travaux publics au sein de la CUA, Bodosoa Razafimandimby, devraient être réalisés dans les plus brefs délais. Outre les 67ha, la réfection concerne le tronçon de route reliant Antaninandro menant vers Ambondrona, Ambohijatovo Arrêt de bus n°182 jusqu’au tunnel d’Ambohidahy, le boulevard de l’Europe, Namontana vers Ambodifilao, la rue Rabezavana, Behoririka, la rue Ramisaray, la rue Naka Rabemanantsoa et la rue Pierre Callet. Afin que la transparence règne dans la gestion de la ville, un appel d’offres a déjà eu lieu auparavant. Jusqu’à ce jour, cinq entreprises ont déjà finalisé le contrat et commencé les travaux dont ASAFI, INTER.PRO.TECH, ARINA, ETRAD, MAMORISOA, tandis que la CUA supervise les travaux. Le fonds routier a aussi investi dans la réalisation des travaux. Pour gérer en même temps les embouteillages et les travaux de réfection des routes, une organisation est déjà mise en place par la Municipalité de la ville, comme le changement d’itinéraire des taxis-be, la suppression de quelques arrêts de bus, la mobilisation des agents de police municipale dans tous les points stratégiques, afin de surveiller les irrégularités.
A part la réfection des routes, la CUA mise actuellement sur le nettoyage et curage des canaux d’évacuation d’eaux usées et dalles lesquels sont les principales causes de la destruction immédiate des infrastructures. Ils ne fonctionnent plus normalement, l’eau stagne dans les rues et procréent des nids-de-poule, partout.

Anatra R.

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Editorial

  • Souvenir douloureux
    Trois longues décennies après, le poids de la douleur pèse encore sur le cœur ! Le 6 novembre 1995, un implacable incendie réduit en cendres le Palais de Manjakamiadana. Trente ans plus tard, le 6 novembre 2025, la douleur reste vive et brise le cœur des gens notamment ceux ou celles étant originaires de l’Imerina. Une telle précision sert à survoler la susceptibilité des uns et à prendre soin de la frustration des autres. Le « Rovan’ny Manjakamiadana » que le feu a détruit sans pitié servait de domaine royal de l’Imerina. Les rois et reines des Hova, comme aimaient bien les étrangers et surtout les colons l’appeler ainsi, en guise de raillerie, vivaient dans ce Palais et ce depuis Andrianjaka. Certes, avant ce fils de Ralambo qui a investi la colline d’Analamanga qui sera le « Tananan’Iarivo », il y a le Rova d’Ambohimanga, le Rova d’Ambohidrabiby, etc. Le…

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