Publié dans Société

Réhabilitation des routes - Les travaux prévus prendre fin en février

Publié le vendredi, 08 janvier 2021

Les travaux de réhabilitation de quelques axes routiers dans la Commune urbaine d’Antananarivo continuent. Pour cette première étape concernant quelques rues comme celle de Behoririka, Ambondrona, Ambodifilao, Namontana, 67 Ha et Ambohijatovo, les travaux sont prévus prendre fin en mi-février prochain. D’après une étude menée par la Direction des travaux publics au sein de la CUA, outre l’obstruction des canaux d’évacuation d’eau, la défaillance technique et la vétusté des infrastructures, l’incivisme des usagers sont les principales causes de la destruction des chaussés dans la Capitale. « Une part de responsabilité revient à tout un chacun afin de prolonger la longévité des infrastructures chez nous », avance un responsable.

 

La CUA ne se concentre pas seulement sur la réhabilitation des routes, mais aussi sur l’assainissement des canaux d’évacuation d’eaux usées dans le cadre du projet « Dioviko Iarivo ». Une opération qui va de pair avec l’entretien des infrastructures. Des travaux sont ainsi entamés depuis mercredi dernier au niveau d’un canal long de 400 mètres et d’une décharge de 150 mètres au sein du Fokontany de Manjakaray.

 L’objectif est de redorer l’image de la ville, assurer sa propreté ainsi que le bien-être de la population. En plus, le pays est actuellement en pleine saison des pluies et cette action entre dans le cadre de la lutte contre l’inondation qui mine la Capitale chaque année.

Parallèlement à cela, depuis jeudi, le ministère de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics procède à la réhabilitation d’un tronçon de route reliant Ankadimbahoaka, Fasan’ny Karàna et Anosizato. Les travaux durent un mois et les agents travaillent jour comme de nuit. Cet axe, rappellons-le, se trouve actuellement dans un état critique, engendrant ainsi des embouteillages monstres dans cette partie.

Anatra R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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