Publié dans Société

Etudes en France - Accompagnement par les parents non autorisé pour cette année

Publié le lundi, 11 janvier 2021


Covid-19 oblige. Désormais, les parents ne pourront plus accompagner leur progéniture en France à cause de la propagation de la pandémie de coronavirus dans le monde entier. En conséquence, les élèves devront se débrouiller seuls pour pouvoir s’installer dans leur site d’hébergement, même pour les mineurs. C’était lors d’une conférence qui s’est tenue samedi dernier à l’Institut français de Madagascar (IFM), dans le cadre du Salon des études en France, que le représentant du service des visas auprès du Consulat général de France à Madagascar, Pierre Niocel, a annoncé cette nouvelle. Par ailleurs, le visa de court séjour pour une visite privée n’est pas encore autorisé en France. Sur ce, les parents qui voudraient accompagner leurs enfants, même pour préparer leur rentrée, ne peuvent pas s’y rendre.

Jusqu’à ce jour, seuls quelques groupes de personnes peuvent obtenir des visas pour la France dont les étudiants, les conjoints ou enfants de Français. A cause de cette pandémie, même les étudiants sont confrontés à de grandes difficultés, en commençant par la préparation des dossiers jusqu’à la préparation de la rentrée.

En rappel, le nombre des étudiants malagasy voulant poursuivre leurs études dans les universités françaises a augmenté, et cela malgré la pandémie de coronavirus. Par rapport aux années précédentes, ce chiffre a augmenté de 8,16 %. Ainsi, plus de 700 étudiants ont quitté Madagascar contre 600 auparavant. Ainsi, pour cette année 2021, l’ouverture des frontières aériennes déterminera la date de départ des étudiants.
Recueillis par Anatra R.



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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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