Publié dans Société

Santé publique - La Commune urbaine d’Antananarivo dotée de clinique mobile

Publié le jeudi, 17 juin 2021

L’accès à la santé publique est une priorité pour le maire de la Capitale, Naina Andriantsitohaina. Outre un droit fondamental pour la population, elle figure dans le Veliranon’Iarivo. Afin de soutenir la Commune urbaine d’Antananarivo dans son programme « Santé de proximité », au niveau des Fokontany, elle a reçu une clinique mobile.

Ce matériel a été fourni par un projet conjoint de la CUA et de l'Association internationale des maires francophones (AIMF). La clinique mobile sera gérée par l'équipe de santé de la ville d'Antananarivo, dans le cadre de la réalisation du programme « Santé de proximité ». La collaboration entre l'AIMF et la CUA est axée sur la pratique de la planification familiale et l’utilisation des méthodes de contraception tandis que la CUA étend son action à la médecine générale, à travers l'utilisation de ce matériel. Le véhicule ne devra pas être utilisé pour les urgences médicales mais sera utilisé aux besoins de la population dans les Fokontany avec divers services de santé.

La clinique mobile sera utilisée dès lundi afin de renforcer les actions menées dans le programme « santé de proximité », au niveau du Fokontany d’Ambohipotsy.  Ainsi, la CUA encourage déjà tous les résidents locaux pour en profiter. « Tous les services de santé, fournis par la CUA sont toujours gratuits », soutient le directeur de la santé publique au sein de la Commune urbaine d'Antananarivo, Raharinandrasana Hajatiana.  L’opération santé de proximité pour la population se tient 2 fois par mois dans les six Arrondissements de la Capitale. Outre la consultation oculaire et générale, il y a le dépistage du   diabète et de la tension artérielle ainsi que le pesage des enfants et des nourrissons. Tous les patients ont bénéficié des médicaments gratuits, selon leur besoin.

La clinique mobile a été présentée par le maire Naina Andriantsitohaina, hier, à la Mairie d'Analakely.

 Anatra R.

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Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

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