Ainsi, le directeur général du BNGRC a avancé que la Grande île est un pays vulnérable aux catastrophes naturelles. Ce ne sont pas seulement les cyclones, mais aussi la sécheresse, la famine, les éboulements, la tempête de sable. Sur ce, il est important de connaître toutes ces phénomènes afin de mettre en place une stratégie de prévention et de relèvement post-catastrophe.
Récemment, une délégation de l'Union africaine était dans nos murs pour évaluer le cas de Madagascar sur la gestion des risques et des catastrophes naturelles, notamment après le passage du cyclone Freddy. L'Union africaine est consciente que notre pays a beaucoup évolué et dispose de beaucoup expériences en matière de GRC.
Pour Madagascar, la Journée internationale pour la réduction des risques et des catastrophes a été célébrée hier. L’évènement a été marqué par une exposition et un atelier qui se sont tenus à l’hôtel Le Pavé, Antaninarenina. Plusieurs entités, entreprises partenaires ainsi que des organisations nationales ou internationales ont participé à cet évènement, à savoir le BNGRC, l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), les sapeurs-pompiers, la Direction de la météorologie de Madagascar, la Banque mondiale.
Le thème de cette année est « Combattre les inégalités pour un avenir résilient ».
Anatra R.