Publié dans Société

Hystérie collective au Saint-Michel Itaosy
 - Les victimes choquées et déshydratées

Publié le mercredi, 02 octobre 2024
Hystérie collective au Saint-Michel Itaosy
 - Les victimes choquées et déshydratées Photo d’illustration

Hier, l'information comme quoi des élèves du lycée Saint-Michel à Itaosy auraient fait une présumée crise de possession par l'‘‘ambalavelona’’, a fait le tour des réseaux sociaux. D'après une source, la perte de connaissance d'un élève de seconde après des cris, serait le déclencheur de crise similaire chez au moins 15 autres dans une même classe. Les faits se sont produits en classe et après la gymnastique. Il a alors fallu les transporter d'urgence à l'infirmerie du lycée. Or, un recoupement fait de notre côté réfute totalement la thèse d'une quelconque crise d'‘‘ambalavelona’’.
"Un élève a d'abord perdu connaissance non sans que la victime n'ait émis un cri. Ce qui aurait provoqué une vive émotion chez certains camarades de classe de celle-ci. A preuve, leurs émotions étaient telles qu’en voyant leur premier s'évanouir,  étaient tombées aussi dans les pommes, les uns après les autres", relate le commandant de brigade de Gendarmerie d'Itaosy à ce propos. Et de poursuivre : "D'autant plus que, d'après une source au niveau de l'infirmerie de l'établissement, ces adolescents ont souffert d'une déshydratation. De plus, ils n'auraient dû pas supporter la chaleur post activité physique, dans une salle surchauffée, et qui manquerait d'une aération convenable", a ajouté le commandant.
Plus tard, le parent de l'un des patients a avancé que son enfant s'est plaint de voir une voile noire avant de perdre brusquement connaissance.
Peu après qu'ils ont reçu un soin à l'infirmerie, ces jeunes sont hors de danger, et purent rentrer respectivement chez eux, selon toujours l'information.


Franck R.

Fil infos

  • Retour des embouteillages entre Ankadimbahoaka et Anosy - Nécessité d’actions rapides
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Détournement de drogue saisie - Les individus déférés tous en prison
  • Affaire Rasazy Narindra - Des SMS accablants pour les suspects
  • Président Rajoelina - « Que les distinctions honorifiques soient attribuées aux méritants ! »
  • ACTU-BREVES
  • ACTU-BREVES
  • Détournement de drogue saisie - 2 colis retrouvés chez l’officier supérieur
  • Actu-brèves

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Complémentarité ou égalité !
    Le rideau est tombé sur la célébration de la Journée internationale des droits de la Femme. Presque dans tout Madagasikara, le pouvoir public et l’ensemble des mouvements associatifs en lien de près ou de loin avec la lutte pour les droits des femmes ont organisé des manifestations publiques et officielles durant la Journée du 8 mars. Dans la Grande île, sur toute l’étendue du territoire de la République Malagasy, depuis que l’Assemblée Générale a adopté la date du 8 mars comme Journée internationale des droits de la Femme en 1977, des cérémonies officielles pour célébrer la « Journée » ont été organisées.

A bout portant

AutoDiff