Publié dans Société

Circulation dans la Capitale - Les véhicules irréguliers sanctionnés

Publié le lundi, 04 février 2019

Le stationnement sur les trottoirs et d’autres endroits interdits est rigoureusement illégal et est passible d’une contravention dont l’objet est l’adaptation des règles de circulation routière en vue de sécuriser et favoriser le cheminement des piétons. Pour éviter les embouteillages monstres et régler la circulation dans la Capitale, le Département des transports et de la mobilité urbaine (DTMU) auprès de la Mairie d’Antananarivo a procédé depuis hier aux sanctions de tous les véhicules qui se garent dans les stationnements interdits, les trottoirs. Ces mesures ont été prises après une campagne de sensibilisation et des rappels pour les propriétaires irréguliers. Les Polices municipales et nationales ont immobilisé les vehicules en infraction avec des taquets et des chaînes d’arrêt, tandis que les conducteurs ont reçu une contravention. Hier, ces policiers ont procédé aux alentours d’Ambondrona et au boulevard de l’Europe. Face à la propagation des irrégularités constatées quant à l’utilisation des voies publiques dans la ville d’Antananarivo, le directeur de ce département, Raveloson Landy Harilala, sollicite tout un chacun au respect du Code de la route, ainsi qu’à la bonne utilisation des voies publiques. 

 

En rappel, au début de cette année, la Commune urbaine d’Antananarivo a déjà diffusé une note de service interdisant le stationnement sur les trottoirs et les bords de route à double sens. D’après un responsable au sein de la CUA, tous les trottoirs de la ville sont concernés par cette mesure. Il en sera de même pour quelques voies à double sens, à savoir la rue Gabriel Ramanantsoa, partant de la boutique Bio 33 jusqu’à Ambatonilita, le boulevard de l’Europe, l’avenue Lénine, la rue Docteur Ramahefy, la rue Ratsima James, la rue Andrianaivo Ravelona, la rue de Russie. De plus, la plupart de ces rues se trouvent à proximité des établissements scolaires. 

Recueillis par  Anatra R.

Fil infos

  • Autoroute Tana–Toamasina - Le projet en suspens
  • Actu-brèves
  • Gouvernement - Un mois après, des ministres encore méconnus
  • Futures élections - Mise en place d’un nouveau cadre juridique électoral inclusif et consensuel
  • Déstabilisation supposée de la Refondation de la République - Silence total !
  • Actu-brèves
  • Vie de la Nation - Le Cardinal Tsarahazana dénonce un « christianisme de façade »
  • Actu-brèves
  • « Perquisition » avec violence - Les parents d’une haute conseillère Constitutionnelle torturés
  • Enseignement supérieur - Tolérance zéro réaffirmée face aux abus sexuels

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Que d’un raccourci !
    On n’en finit … jamais d’épiloguer sur la galère que la Société nationale d’eau et électricité fait subir aux pauvres et impuissants abonnés. Il n’y a pas un jour ou une nuit sans que la JIRAMA fasse la sienne. D’après les constats quotidiens de tous, les délestages et les coupures se durcissent au fil du temps. Sur le Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA), c’est le gala ininterrompu des coupes et des arrêts des machines et appareils ménagers. Ampoules, frigos et autres machines délicates risquent fort d’être endommagées. Au beau milieu du souper, en pleine concentration d’une séance de film, en plein travail dans les ateliers de soudure, en pleine coupe de cheveux ou brushing dans les salons de coiffure, en pleine concentration d’un travail de connexion dans un cybercafé, etc. les coupures intempestives du courant gâchent tout ! La vie quotidienne, de jour comme de nuit, des usagers de la JIRAMA…

A bout portant

AutoDiff