Publié dans Société

Fête de l'indépendance - 1 025 agents de police mobilisés dans la Capitale

Publié le mercredi, 19 juin 2019

La fête de l'indépendance approche à grand pas. A cette occasion, bon nombre de familles, collègues et amis se donneront rendez-vous pour assister aux podiums et sortir la nuit du 25 juin pour admirer le feu d'artifice. D'après le ministre de la Sécurité publique, le contrôleur général de Police, Rafanomezantsoa Roger, la population pourra célébrer la fête dans la tranquillité. Plus de 1 000 éléments des Forces de l'ordre, composés de la Police urbaine, la Force d'intervention de police (FIP), l'Unité spécialisée de la Police nationale (USPN), ainsi que des policiers en tenue civile sont mobilisés chaque jour dans la Capitale.

A partir du 21 juin, ils œuvreront dans différents domaines et seront donc répartis en 412 agents de circulation, 257 agents de sécurisation, 190 policiers de visibilité - pédestres et motorisés et 90 policiers en tenue civile. Dans la soirée du 25 juin durant laquelle se tiendra le feu d'artifice, une nouvelle organisation sera appliquée aux alentours du lac Anosy, et cela afin de décongestionner les rues menant vers le centre-ville. Ainsi, les usagers pourront circuler en toute liberté.

Durant la fête du 26 juin, deux quartiers généraux seront ouverts au public. Le premier sera installé au Commissariat du 1er Arrondissement sis à Analakely et la seconde au Commissariat du 5ème Arrondissement situé à Mahamasina. Ils seront joignables, respectivement aux numéros 034 05 517 31 et 034 05 517 16. Sur ce, le ministre de la Sécurité publique sollicite la collaboration avec tous les citoyens. « En cas de doute ou d'un cas suspect, ou bien la disposition d'un renseignement qui pourrait être utile, nous prions aux citoyens de contacter ces numéros », avance-t-il dans sa déclaration, hier à Anosy.

Anatra R.

Fil infos

  • Parlement - Clap de fin pour le Sénat
  • Face-à-face entre un fourgon et un camion - Un survivant dans un état critique
  • PLFI 2026 - Un budget insuffisant et opaque selon le Collectif des citoyens
  • Famille Ravatomanga - Domicile et bureau « visités » à une heure du matin…
  • Fausses et illégales perquisitions - Des auteurs toujours en circulation
  • Groupe Sodiat - Tous les comptes bancaires de ses sociétés bloqués ! 
  • Coopération bilatérale - D’Antananarivo au Grand Sud, Paris lance des projets inclusifs à Madagascar
  • APMF - Le personnel lance un ultimatum
  • Assises des partis politiques - Une transition de trois ans et un partage de sièges
  • Antananarivo sous les eaux - L’héritage de nos choix collectifs

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff