Publié dans Société

Réfection des routes - Reprise des travaux à Antananarivo

Publié le jeudi, 27 juin 2019

Suspendue durant deux jours, les 25 et 26 juin derniers à cause de la célébration de la fête de l'indépendance, la réfection des routes à Antananarivo a repris depuis hier. Sur ce, les axes concernés sont fermés à la circulation durant quelque temps. Il s'agit d'une portion de route à Androndra (passage à niveau), au marché d'Ambohimanarina jusqu'à la station Galana Ambohimanandray, la RN1 : Anosibe menant vers Anosizato, RN2 : Ankadindramamy jusqu'à Ampasampito,  RN7: Andoharanofotsy menant vers

 

Tanjombato. Par conséquent, les lignes 105, 112, 114, 194 devront, de nouveau, rejoindre les Digues. Pour la RN7 au PK 9 + 866 jusqu'à Anosy et Anosibe, seule une partie de la route est utilisable. Par ailleurs, la rue Andrianampoinimerina menant vers la RM1 Analakely et Soarano est déjà ouverte à la circulation.

Des avertissements ont été déjà faits avant le début de ces travaux, en plus d'une déviation pour chaque axe fermée. Afin de décongestionner la ville, le nombre des agents de la circulation qui travaillent dans les endroits stratégiques a été déjà multiplié depuis le commencement de ces travaux. Ils travaillent dès la matinée jusqu'à la nuit tombée.

Bien que ce projet engendre des chambardements dans la ville d'Antananarivo, les usagers sont du même avis, notamment les automobilistes. Outre l'amélioration de la circulation dans la ville, la lutte contre l'inondation, la réfection des routes est d'une importance majeure pour les automobilistes. D'après leurs explications, les dégâts occasionnés par la présence de nids-de-poule dans les rues sont majeurs. La perte de l'enjoliveur, le pneu crevé, la roue pliée ou brisée, le parallélisme des roues qui ne tient plus, des pièces de la suspension ou de la direction abîmée, des amortisseurs endommagés sont, entre autres, les dommages les plus fréquents.

Anatra R.

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Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

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