Publié dans Société

Soavimasoandro - Une petite fille de 9 ans kidnappée

Publié le mardi, 12 novembre 2019

Vers 11h du matin lundi, une écolière prénommée Tania (9 ans), avait été enlevée à sa sortie des classes. Les faits se sont déroulés à 200 mètres à peine de son domicile, dans le quartier d’Avarabohitra à Soavimasoandro. La victime porte une c h e m i s e   b e i g e ,   une r o b e   m a r r o n ,  et un  c o m p e n sé   f u s h i a .   D’après une information, l’enlèvement se déroulait presque  sous les yeux d’autres fillettes, les amies de la victime. A l’index, trois adultes, des femmes et dont l’une a porté un enfant sur les bras et qui ont croisé le chemin aux écolières. Les amies de Tania ont déclaré avoir vu ces femmes l’emmener avec elles vers une destination inconnue

 

Hier, il n’y avait toujours aucun indice susceptible d’identifier au moins les ravisseuses. De même, ces dernières semblent ne pas vouloir s’empresser à se manifester, ni à déclarer quoi que ce soit encore. Ce qui fait que les parents de la petite, qui sont désemparés n’auraient toujours pas reçu aucune demande de rançon, ni une quelconque menace de la part des kidnappeurs.

Pour revenir brièvement dans les faits, la petite Tania et ses camarades ont quitté l’école aux environs de 11h, lundi. Normalement, elle aurait rejoint son foyer aux environs de midi. C’était sur le chemin qui devait la conduire chez elle que Tania et ses amies ont rencontré les trois inconnues. C’était à partir de ce moment là que le floue persiste dans les versions des autres fillettes. Selon une source d’information, l’une des inconnues aurait abordé Tania. Et on ignore ce que l’adulte a pu dire à l’enfant car cette dernière, d’après toujours ses amies, leur aurait dit qu’elle va les quitter car elle ira avec sa mère !   Depuis, personne n’a plus revu Tania.

Vers 13h, ses proches ont commencé à s’inquiéter en ne la voyant toujours pas rentrer. Ses parents ont pensé que, comme aux habitudes de Tania, cette dernière aurait pu se rendre chez l’une de ses copines. Or, après l’avoir cherchée chez des personnes de la connaissance de la petite, celle-ci n’y était nulle part. Idem à l’école où les responsables nient l’avoir vue depuis l’heure de sortie des classes.

Franck R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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