Publié dans Sport

Election à la CAF - 2 candidatures validées, 2 en attente, le président Ahmad recalé !

Publié le vendredi, 08 janvier 2021

La Commission de gouvernance de la Confédération africaine de football (CAF) s’est réunie au Caire les 5 et 6 janvier 2021, sur convocation de son président Me Michel Kizito Brizoua-Bi, pour effectuer les contrôles d’éligibilité des candidats pour les postes de président et membre du comité exécutif de la CAF. Cette instance a indiqué avoir reçu et étudié 5 candidatures pour le poste de président de l’instance dont l’élection aura lieu le 12 mars prochain à Rabat au Maroc.

Jeudi dernier, la CAF a annoncé avoir officiellement validé deux de ces candidatures : celle d’Augustin Senghor, président de la Fédération sénégalaise de football et membre du comité exécutif de la CAF, et celle de l’Ivoirien Jacques Anouma, ancien membre du comité exécutif de la FIFA et ancien président de la Fédération ivoirienne de football.

En revanche, la candidature du président sortant Ahmad a été déclarée inéligible à la présidence et nécessitant des vérifications complémentaires.

Et ce, en raison de la suspension de 5 ans prononcée par la FIFA le concernant, malgré son appel déposé auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS).

La CAF a par ailleurs donné son feu vert provisoire à Ahmed Yahya, président de la Fédération mauritanienne de football et membre du comité exécutif de la CAF, et au milliardaire sud-africain Patrice Motsepe, président du club de Mamelodi Sundowns. « Leurs candidatures ont été jugées recevables. Cependant, la commission a estimé que des vérifications complémentaires sont nécessaires avant une décision finale. A cet effet, une audition de ces candidats sera organisée au Caire le 28 janvier 2021 », a précisé l’instance.

Patricia Rajeriarison se trouve parmi les candidats autorisés à figurer sur la liste de ceux éligibles à l’élection des membres du comité exécutif.

Recueillis par E.F.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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