Publié dans Sport

Football-Cosafa 2022 - La Namibie élimine Madagascar

Publié le mardi, 12 juillet 2022

Un petit tour et puis s'en va. En quarts de finale, une défaite est synonyme d'une élimination directe. C'est le sort des Barea de Madagascar à l'édition 2022 du Cosafa Cup dont le coup d'envoi des quarts de finale a été donné hier à Durban en Afrique du Sud. 

Qualifiée directement à ce stade de la compétition, l'équipe nationale malagasy a été battue par son homologue de la Namibie sur un score de deux buts à zéro. La première réalisation namibienne a été marquée à la 50e minute sur penalty suite à une faute de Naurah sur l'attaquant namibien qui a bien joué le coup. Bien que le gardien de but malagasy, Chrétien, soit parti du bon côté, il n'a pu qu'effleurer la balle tirée en force qui a terminé sa course au fond des filets des Barea de Madagascar. Avant ce premier but, les Malagasy maitrisaient parfaitement le jeu et plus entreprenant à la reprise de la seconde période. Mais cette faute, sur l'unique attaque des Namibiens en début de deuxième mi-temps a changé la donne. Un quart d'heure plus tard, ils corsaient l'addition suite à une erreur manifeste de Chrétien. Celui-ci croyait que la balle allait sortir mais d'un geste désespéré, l'attaquant namibien a pu la redresser pour ajuster un tir croisé au premier poteau.

Menés deux buts à rien, les Barea de Madagascar tentaient de remonter l'handicap mais l'expulsion du défenseur Rojo à la 71e minute a rendu la mission presqu'impossible. A part le fait de jouer en infériorité numérique, la fatigue semble avoir pris le dessus sur les joueurs malagasy dont la majorité n'est arrivée à Durban que quelques heures du début de la rencontre…

Fin de parcours pour les Barea de Madagascar au Cosafa Cup, prochaine sortie pour ces joueurs locaux à la double confrontation avec les Seychelles dans le cadre des éliminatoires du Championnat d'Afrique des Nations (CHAN). Etant donné que cette compétition est réservée aux joueurs disputant le championnat national, il est plus que certain que la formation sera identique à celle retenue au Cosafa. 

Rata

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Editorial

  • L’ordre public
    Un précieux bien public à protéger, un trésor national à haute valeur ajoutée en somme, un patrimoine immatériel à sauvegarder, l’ordre public caracole en tête des priorités qu’il faille avoir sous contrôle en premier lieu. Dans un pays où l’ordre public est absent en ce sens qu’il glisse vers l’anarchie, il ne peut pas y avoir une chance d’aboutir à la réussite. Dans un pays où le trouble dans tous ses états prédomine, la sérénité part en fumée et la confiance disparait. L’ordre public, la sérénité et la confiance, trois en un, garantit le développement. Comme tout trésor, l’ordre public en abrégé OR car il s’agit réellement de l’or, se cherche et se préserve précieusement.

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