Publié dans Sport

Qualification Mondial 2026 zone Afrique - Le suspens reste entier dans le groupe I

Publié le dimanche, 07 septembre 2025

La lutte pour la qualification à la Coupe du monde 2026 est totalement relancée dans le groupe I. Ce dernier reste donc l’un des plus indécis de la zone Afrique. Entre le Ghana qui voit son avance se réduire, les Comores qui s’affirment, Madagascar qui rêve encore et le Mali qui refuse d’abandonner, les trois dernières journées s’annoncent explosives.

Si le Ghana conserve la tête avec 16 points, les Comores, vainqueurs 2 à 0 de la République centrafricaine, s’installent désormais à la 2e place avec 15 points. Madagascar suit de près avec 13 unités, tandis que le Mali reste en embuscade à 12 points.

Avec seulement trois matchs à disputer, tout reste possible. Neuf points sont encore en jeu, et chaque faux pas pourrait coûter cher.

Le Ghana sous pression. Longtemps intouchables, les Black Stars ont laissé filer des points précieux face au Tchad (1-1). Leur statut de favoris est fragilisé : un nouvel accroc face au Mali, lundi 8 septembre à Kumasi, pourrait redistribuer totalement les cartes.

Les Comores, nouveaux dauphins

Le succès des Cœlacanthes face aux Fauves du Bas-Oubangui change la donne. Avec 15 points, la sélection de Stefano Cusin est désormais seule deuxième. Elle garde son destin en main, à condition de confirmer face à Madagascar le 6 octobre et surtout de résister au Ghana lors de l’ultime journée.

Madagascar n’a plus le droit à l’erreur

Les Barea, solides vainqueurs de la Centrafrique (2-0), sont troisièmes avec 13 points. Pour espérer doubler leurs rivaux, ils devront battre le Tchad ce lundi 8 septembre à 19h, puis enchaîner face aux Comores et au Mali en octobre. Corentin Martins et ses hommes savent qu’un sans-faute est impératif, tout en espérant un faux pas ghanéen.

Le Mali en outsider. Avec sa large victoire contre les Comores (3-0), le Mali reste en vie dans cette course haletante. Les Aigles (12 pts) doivent frapper un grand coup au Ghana pour redevenir candidats crédibles à la qualification directe.

Elias Fanomezantsoa 

 

 

 

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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