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D’égal à égal !

Publié le vendredi, 10 mars 2023


D’après les informations officielles émises, Catherine Colonna ministre de l’Europe et des Affaires étrangères de la République française effectuera une visite officielle à Madagasikara dans le courant du mois d’avril. On veut bien ! Ne serait-ce que pour réchauffer une relation meurtrie et froissée entre les deux pays sinon entre les deux peuples.
Dès l’entame, qu’il soit clair que la venue d’un membre de Gouvernement français en terre malagasy ne s’inscrive pas dans la ligne droite d’un cours de morale, de bonne conduite.
Dire que les relations entre Madagasikara et la France sont au beau fixe, c’est mentir et occulter certaines frustrations qui n’ont jamais fait l’objet de réparation.
Les observateurs et analystes s’impatientent de voir ou d’être situés en quoi consiste cette « visite ». Du moins, en quel honneur ? La Grande île ne l’a jamais eu depuis des décennies. La seule fois qu’un membre de Gouvernement en charge des Relations extérieures a bien foulé le sol malagasy remontait en 2002, au moment fort de la crise, par un certain Dominique de Villepin. Une visite surprise qui se situait dans un contexte où la France fut en passe de perdre son  leadership à Madagasikara au profit des Etats-Unis et de l’Allemagne. Il fallait bien se rattraper !
Vingt ans après, la France débarque. Après un périple Afrique pour échapper un moment aux grognes des Français, le Président Macron  n’a pas jugé nécessaire de faire un petit crochet à Madagasikara  après une visite officielle en Angola, la porte à côté.
Ce ne sont pas les sujets brûlants voire fâcheux qui manquent. Qu’on se le dise ! Nous avons chacun un ou des sujets qui nous intéressent. Nous les Malagasy, on veut savoir clairement et nettement de la part de Mme Colonna quel sort est réservé aux Iles Eparses. On n’en veut pas des réponses-tiroirs du genre « les négociations se poursuivent … ».  Pas d’échappatoire ou d’une manœuvre dilatoire svp Madame ! Si la France  s’en tient à la déclaration incendiaire de Macron aux Iles Glorieuses, inutile de débattre la question. Que chacun campe sur sa position. De toutes les manières, les Iles Eparses appartiennent à la République malagasy et la Communauté internationale le reconnait ! L’histoire  jugera.
Ce qui intéresse la France, c’est la prochaine élection. Entendons-nous bien, il s’agit là d’une affaire interne des Malagasy. Aucune nation étrangère, même la France, n’a le droit de s’immiscer. Si elle veut contribuer financièrement, qu’elle le fasse sans contrepartie. Avec ou sans l’argent de l’ancienne puissance coloniale, l’élection présidentielle de novembre aura bel et bien lieu.
Partout où il va, Macron prêche que la France-Afrique est révolue. On veut bien y croire. En réalité, ce sont les termes qui changent. Entre autres, la « France n’est pas indifférente ! » C’est bonnet blanc et blanc bonnet.
La colonne présente affiche peut-être l’allure d’un réquisitoire. Il faut oser le … cracher sans peur ni reproches que la France a échoué en Afrique. La misère un peu partout en Afrique (francophone), les putschs militaires et la grogne des peuples et de l’opposition en témoignent. En fait, de par sa politique rétrograde, la France est indésirable auprès de l’ensemble de ses anciennes colonies.
Que cette visite officielle s’inscrive dans un cadre d’une rencontre d’égal à égal !
Ndrianaivo    
 


« Réaliser 19 000 branchements en trois mois, à partir du mois d’avril ». C’est l’objectif annoncé par Haingomampianina Rasoava, directeur général par intérim de la JIRAMA. Dans le cadre de l’accomplissement du Velirano no 2 du Président de la République, Andry Rajoelina, intitulé « Energie pour tous », la JIRAMA joue un rôle primordial. Dans ce contexte, la JIRAMA a mis en place la Jirama Shop. Un projet pour faciliter et accélérer l’accès à l’électricité pour la population malagasy et qui a pour but d’améliorer la qualité de service concernant l’approche clientèle et la facilitation de l’accès à tous les services proposés par la JIRAMA. Ce projet permet aussi l’amélioration totale du cadre et de l'environnement de travail pour les employés de la JIRAMA pour qu’ils puissent fournir un accueil et un service de qualité aux clients. La Jirama Shop n’est que la suite de ce qui a débuté à Antsirabe en 2021 : rénovation complète de l’agence, amélioration du service client et perfectionnement du travail pour les employés. « La différence entre Agence Jirama et Jirama Shop est que cette dernière contient le mot shop. Cela signifie qu’en plus des services concernant l’électricité, l’eau, la caisse, le service commercial et la déposition des auto-relevés, un catalogue de produits comme les compteurs, câbles, disjoncteurs, etc., sera présenté aux clients, ainsi que tous les matériels nécessaires pour des branchements et des kits solaires. Un standard de service sera mis en place dans les Jirama Shop. « Le défi est d’accélérer le branchement pour les clients qui en demandent. Des chargés de clientèle polyvalents et un guichet unique de branchement, dont les branchements Mora et les branchements standards, seront aussi présents » explique Tsitohery Francesca, directeur commercial de la JIRAMA. Ainsi, l’approvisionnement en matériel de branchement dans la Jirama Shop sera assuré pour qu’il n’y ait plus d’interruption dans la réalisation. Ainsi, à Antananarivo, la Jirama Shop ouvrira ses portes dans trois sites à Anosizato, Talatamaty-Ivato et Ankadievo- Alasora. Des nouvelles agences seront aussi mises en place à Itaosy, Manakambahiny, Mandroseza, Sabotsy- Namehana, Analamahitsy et Ampasampito. L’élargissement de ce projet dans les Régions est en cours d’étude.
La rédaction



Une grande solidarité entre femmes. Le Groupe SODIAT, créé il y a 33 ans de cela, a organisé une célébration du 8 mars avec ses employées. Une belle ambiance et beaucoup d’émotions étaient au rendez-vous, hier, au PK 00 Soarano. Pour le bien-être des employées et de leur famille, les médecins spécialistes au sein de la Polyclinique d’Ilafy ont effectué des exposés sur le cancer du sein et celui du col de l’utérus, ainsi que le diabète. « Les femmes doivent prendre soin d’elles-mêmes puisqu’elles jouent des rôles importants dans le développement du Groupe, de leur famille et de la Nation », ont-ils déclaré.
Ainsi, les employées du Groupe présentes à ce rendez-vous ont été guidées sur les manières de prévenir ces maladies ainsi qu’un mode de vie que tout un chacun devrait adopter pour être en bonne santé. Il s’agit de la pratique du sport, une alimentation équilibrée ou encore le dépistage du cancer à temps. D’ailleurs, ces médecins ont annoncé que ces trois maladies mortelles pourront être guéries si elles sont dépistées et traitées à temps.
Par ailleurs, cet après-midi récréatif a été animé par des séances de danse et de chant. Les employées ont fredonné « Mama », un titre phare de Bodo pour témoigner leur reconnaissance envers l’épouse du président-directeur général du groupe, Haingo Ravatomanga. Cette dernière, en contrepartie, a chanté « Ny itiavako anao », un morceau de Bessa et Lola.
Des cadeaux ont été distribués pour toutes les femmes qui sont venues très nombreuses à cet évènement. A travers leurs tenues traditionnelles, elles ont montré la beauté de chaque Région de Madagascar.
En rappel, le groupe SODIAT organise un dépistage complet et gratuit du cancer du col de l’utérus et celui du sein. Ce dépistage de cancer est ouvert à toutes les employées du Groupe SODIAT qui veulent connaître leur état de santé. En cas de diagnostic positif, un traitement sera assuré par la Polyclinique d’Ilafy.
Anatra R.


La directrice d’une Ecole primaire publique ainsi que sa fille de 7 ans avaient été sauvagement assassinées dans la nuit du mardi à Antanimena, Commune de Manakambahiny- Ouest, dans le District d’Ambatondrazaka. Hier, l’affaire a connu un rebondissement. C’est que les membres du fokonolona ont appréhendé deux suspects, vers la fin de la matinée. De source officieuse, un problème de litige foncier serait le mobile de ce double meurtre barbare. Et que les deux inconnus récemment arrêtés seraient des proches même des victimes. Les riverains les ont remis entre les mains de la Gendarmerie, depuis.
Il y eut un partage de parcelles entre les membres de la famille héritière en cause. Et que la défunte directrice devrait avoir également sa part. En réalité, elle devait hériter sa parcelle de son défunt mari. Cependant, certains proches, après la mort de son mari, se seraient montrés défavorables à partager le terrain litigieux en question, avec la directrice de cette Epp. Et pourtant, le dossier sur ce litige foncier familial serait déjà en instance, pour ne pas dire en cours, au niveau du Tribunal de première instance d’Ambatondrazaka.
Pour obtenir le bien fondé sur l’information, une source auprès de la Brigade de gendarmerie d’Ambatondrazaka semble ne pas s’empresser à confirmer, ni infirmer. « Je ne peux pas vous dire encore qu’on arrive à ces arrestations. C’est parce que nous sommes encore sur le point de rechercher les personnes soupçonnées d’avoir perpétré ce crime »,  s’est contenté de dire cette source auprès de ladite Brigade de gendarmerie.
Retraçons brièvement les faits. Les corps des victimes avaient été retrouvés dans la cuisine. L’on parle d’un crime sadique et démentiel car le ou les auteurs de l’acte ont poignardé la maîtresse de maison dans la région du coeur, s’ils ne l’aient pas aussi éventrée tandis que sa fillette avait été égorgée.
Les assassins ont ensuite caché les cadavres sous des sacs de haricot. Les premiers éléments de l’enquête avancent que ces atrocités se seraient produites dans la nuit du mardi à mercredi dernier. Les enquêteurs tentent encore de déterminer le mobile. Ce n’était seulement que jeudi matin dernier que les collègues de la mère de famille ont fait la horrible découverte macabre, en allant la rechercher à son domicile. Les premiers sont allés informer les Forces de l’ordre sur le drame. Affaire à suivre.
F.R.


La première édition du magazine intitulé « Hetsika MSK », produit par le ministère de la Communication et de la Culture, a été officiellement lancée jeudi dernier au centre culturel Ivokolo sis à Analakely. « Il existe plusieurs programmes du ministère qui devront être développés. Par ailleurs, il n'y a pas assez de sensibilisation aux activités culturelles. C'est exactement ce qui a poussé le ministère à publier ce petit livre », a déclaré le ministre de la  Communication et de la Culture, Lalatiana Andriatongarivo, lors de la cérémonie de la présentation du premier numéro. 
Dans ce livre sont inclus les programmes d'un mois, relatant les évènements culturels dans la Capitale et les autres Régions. Le résumé des événements et activités du dernier mois est également inclus dans ce magazine. Ce petit livre permettra également d’établir une communication avec tous les médias privés en collaboration avec le MCC. Pour qu’un maximum de gens puisse y avoir accès, le magazine « Hetsika MSK » sera distribué gratuitement aux citoyens, notamment dans les centres culturels, les grandes surfaces, les lieux à fort trafic, les restaurants,... Pour cette première parution, plus 2.000 exemplaires seront édités, 10.000 dans quelques mois et 20.000 exemplaires d'ici la fin de l'année. 
De nombreux sujets sont abordés dans ce nouveau magazine. En particulier, ce premier numéro invite les lecteurs à tout savoir sur les événements « Tagnamaro » qui ont contribué à de nombreux changements au niveau des biens communs et à la construction de nouvelles infrastructures. On y trouvera également des événements liés à la mode comme le « Mihamy Mada Fashion » qui offre une tribune aux créations malagasy. Côté littérature, il y aura en exclusivité l’activité « Volana iray mpanoratra iray ». Les lecteurs y trouveront aussi des détails concernant la cellule de lutte contre la cybercriminalité, une exposition de films, une mémoire sur la lutte pour la libération, les activités de l'Office National des Arts et de la Culture (OFNAC), la sensibilisation liée aux activités du Brigade anti-piratage (BAP), un sujet consacré au mois du patrimoine, des pages spéciales consacrées à l'Académie Nationale des Arts et de la Culture (ANAC), l'Office malagasy des droits d’auteur (OMDA), les activités des Maisons de la communication et de la culture régionale, ainsi que la diffusion des informations publiées par la dépêche informative « Taratra » et  le centre d'information administrative et d'orientation « Ivotoro ».
Si.R




La fédération internationale de basketball vient d’annoncer la poule du championnat du monde de basketball qui se tiendra dans la capitale historique de l’Autriche, Vienne du 30 mai au 4 juin.
Madagascar tombe dans une poule difficile avec les puissances européennes. La Grande île figure dans la poule A, avec la Serbie 5 fois championne en titre, la France et l’Allemagne ainsi que le Brésil vainqueur de l’AmeriCup 2022. Tous des adversaires qui s’avèrent redoutables pour les champions d’Afrique. Rappelons que la FIBA a annoncé les poules sans tirage au sort. Chaque groupe a été réparti selon le classement mondial de chaque pays. Il y aura quatre poules de cinq équipes pour les catégories masculine et féminine.
En ce qui concerne les Dames, il faut deux victoires durant les barrages pour la qualification qui se déroulera à Israël.  Christiane et ses « squad» se trouvent dans le groupe A. Une autre paire de manche pour les Ankoay Dames car elles évolueront avec la République tchèque et l’Australie. Six équipes réparties en deux poules devront se confronter pour les trois places disponibles pour le mondial d’Autriche.
Pour les Ankoay Hommes, le défi sera de taille dès la préparation. Ils sont maintenant six à suivre le regroupement. Quatre prendront le départ pour l’Autriche et il n’y a pas de place réservée. Tout le monde doit donner le maximum pour mériter le voyage. Rick Ley Loubacky et Anthony Rasolomanana complètent les Ankoay 3x3 pour la préparation à ce rendez- vous planétaire. Anthony faisait déjà partie du groupe lors du championnat d’Afrique mais forfait à cause de sa blessure, il a cédé sa place à Fiary.
Elias Fanomezantsoa

Comme attendu par bon nombre d’observateurs, la Haute Cour constitutionnelle déclare irrecevable la demande du président du Haut conseil pour la défense de la démocratie et de l’Etat de droit (HCDDED) de constater la violation de l’article 49 alinéa 1er de la Constitution et en application de l’alinéa 2 dudit article tendant à l’empêchement définitif du Président de la République. La décision y afférente a été publiée hier dans la journée sur le site web de la haute juridiction d’Ambohidahy qui, dans ses considérants, indique que l’empêchement définitif constitue une sanction politique en cas de manquement par le Président de la République à  ses obligations.
 Et de poursuivre en soulignant que le constituant a  confié aux représentants du peuple élus au suffrage universel direct ou indirect le droit de déclencher les mécanismes constitutionnels garantissant l’équilibre des pouvoirs. Ainsi, « l’empêchement définitif, s’agissant d’une sanction contre le Président de la République en cas de violation de ses obligations prévues par l’article 49 de  la Constitution, ne peut être initié que par le vote du Parlement, composé de représentants du peuple élus au suffrage universel direct ou indirect , par analogie à la procédure d’empêchement  prévue par les articles 50 et 51 de la Constitution».
Il est « conforme à l’esprit de la Constitution et dans le respect de la démocratie et de la souveraineté populaire, de laisser à des élus de sanctionner un autre élu en cas de manquement de celui-ci à ses devoirs », considère la HCC dans sa décision.
La HCC déclare en revanche, et logiquement, recevable la demande des Pierre Lenoble Navony et consorts de se prononcer sur la conformité à la Constitution de la déclaration de la présidente de l’Assemblée nationale et de la déclaration des membres du bureau permanent de l’Assemblée nationale, toutes deux en date du 8 décembre 2022. En effet, la HCC considère que « la recevabilité de la motion est subordonnée à l’existence d’une autorité qui est tenue de vérifier  le nombre de signatures et surtout leurs authenticités.
Ambohidahy estime par ailleurs « qu’à la lecture de l’article 195 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, cette obligation de vérification incombe au président de l’Assemblée nationale ; que la mise en jeu de la responsabilité du Gouvernement exige que les signataires soient clairement identifiables ; que dans le cas d’espèce, la présidente de l’Assemblée nationale, à la suite de ladite vérification, a estimé que les conditions de recevabilité de la motion de censure ne sont pas remplies, ce qui a été confirmé par le bureau permanent suivant déclaration du 08 décembre 2022 ».
Bon nombre d’observateurs considèrent la requête du HCDDED comme un « dernier baroud d’honneur ». En effet, le mandat de cet organe prend fin au plus tard à la fin de ce mois de mars. Ce dernier baroud d’honneur aura été raté pour la bande à Pierre Lenoble dont certains sont connus pour leur propension à s’opposer au régime actuel. Cette dernière saisine n’est pas la première du genre. Est-il en effet utile de rappeler une requête en date du 12 décembre 2022, dans laquelle des députés ont déjà saisi le HCDDED pour demander l’avis de la HCC sur l’immixtion du Président de la République dans les affaires de l’Assemblée nationale. Cette première saisine a été déclarée irrecevable par la HCC.
La rédaction

LA UNE DU 10 MARS 2023

Publié le jeudi, 09 mars 2023

Tout Madagascar de la natation sera au rendez-vous le 11 et 12 mars prochains à la piscine de l'Esca Antanimena pour la 11ème  édition de Vive l'Avenir, organisée par l’Association sportive de natation du Collège Saint-Michel. Près de 300 nageurs issus des quatre ligues sont attendus cette année avec une nouvelle formule au  programme. Car cette année, la compétition prendra une autre tournure avec une course nocturne. Et dans la foulée, elle aura une allure festive. Pas moins de 12 clubs, venant de  quatre ligues à savoir, Analamanga, Vakinankaratra, Boeny, Atsinanana ont mentionné leur engagement dans cette course. 

« Entrepreneuriat, un choix de vie ». Tel est le thème adopté pour la onzième édition de l’espace jeune entrepreneur (EJE), lequel se fera ce jour et demain au Carlton Anosy. Cet évènement vise à donner un espace où les jeunes pourront découvrir le monde entrepreneurial et apprendre à travers l’expérience d’entrepreneures et professionnels chevronnés. L’EJE a vu le jour au Carrefour des entrepreneurs avec les débuts du CEERE (Club entrepreneurs étudiants du rendez-vous des entrepreneurs) en 2012. Pour la 11ème  édition, cette activité promet une expérience unique, enrichie et palpable en termes d’entrepreneuriat pour les participants. Outre le réseautage, ces derniers sortiront gagnants en « mindset », en pratique et en connaissance. Les femmes entrepreneures ne seront pas en reste puisque leur autonomisation économique fera partie des sujets abordés durant les 2 jours. 

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Editorial

  • D’utilité publique
     Est reconnu « Service d’utilité publique » (SUP) par l’Etat tout organisme (ONG), une entité qui se met au service des intérêts basiques quotidiens des gens. Exemples : le service de la voirie, les caisses de la Trésorerie publique, les banques, les Postes et Télécommunications (téléphonie mobile), les transports en commun, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, etc. Leurs manquements répétés créent des désagréments notables voire fâcheux au bon déroulement du train-train de la vie des usagers, en particulier, de la population en général. L’Etat veille au bon fonctionnement des services reconnus d’utilité publique.Vingt inspecteurs et contrôleurs semenciers émargés au sein du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE) ont prêté serment près du Tribunal de première instance (TPI) à Anosy le week-end dernier. Issus des sept Régions dont Alaotra-Mangoro, Analanjirofo, Atsimo-Andrefana, Vakinankaratra, Boeny, SAVA et DIANA, les nouveaux sortants œuvreront tout droit à l’amélioration de la production des semences…

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