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Dans la soirée de jeudi dernier, des manifestants, plusieurs centaines, ont bloqué la route empêchant ainsi le personnel de QMM de rentrer chez soi à Taolagnaro. Mais depuis, l’affaire a dégénéré. Aux dernières nouvelles, des membres des Forces de sécurité ont été dépêchés sur les lieux dont la mission était justement de tenter d’enlever les barrages. Mais c’était sans compter la détermination des manifestants pour camper sur leur position. Résultat, la vive tension qui a régné sur place a viré à une escalade, qui s’est traduite par des échauffourées. Cinq membres de ces Forces ont été alors blessés tandis que certains de leurs collègues ont été retenus en otage par les manifestants.
Selon des sources concordantes, les Forces de défense ont dû alors faire profil bas par pur souci de leurs éléments qui se trouveraient entre les mains des contestataires. Une source d’information émanant des autorités locales cherche à rassurer. “On ne peut pas vraiment dire une prise d’otages, concernant ces éléments des Forces anti-émeute. A preuve, ces derniers partagent tranquillement le repas avec ces manifestants et les premiers sont libres de tout mouvement. En revanche, les contestataires les empêchent simplement de quitter la zone de la manifestation”, indique cette source des autorités locales.
Jusque dans la soirée, hier, les pourparlers avec les protestataires, en vue de relâcher les membres des Forces de l’ordre, devaient encore se poursuivre. De leur côté, les dirigeants de QMM affirment avoir déjà pris une décision radicale pour la sécurité de son personnel et de ses installations. Aux dernières nouvelles, les agents séquestrés ont été relâchés à l’issue des négociations.
F.R


La grande toile (Internet) et en particulier les réseaux sociaux constituent un support facile à la propagation des fausses informations (fake news). Pour faire face à la désinformation, la meilleure solution est donc la vérification des faits ou « fact – checking ». Une option qui apparaît comme salutaire pour les professionnels des médias mais également les simples citoyens qui utilisent les supports en ligne. La 2ème et dernière journée de colloque sur la désinformation, tenue hier à la bibliothèque nationale à Anosy, a justement été marquée par un atelier portant sur les outils de vérification d’informations en ligne. Durant son intervention, un membre de la plateforme « Factivistes » a attiré l’attention de l’assistance sur l’importance de se poser des questions avant de partager une information sur les réseaux sociaux. Lesdites questions doivent notamment porter sur l’origine et la source de l’information, la date du partage ou encore la raison qui motive son partage. Il a également exposé divers outils permettant de vérifier des faits, des images, des informations ou des vidéos dont la véracité est douteuse. Parmi les outils figurent notamment des moteurs de recherche tels que Yandex, TinEye ou Baidu. Il existe également d’autres moyens mis à disposition par des médias étrangers pour vérifier des informations.
Cette journée a aussi été marquée par l’intervention de Loïc Hervouet (Action Médias Francohpones) lors d’une conférence – débat durant laquelle il a mis en avant l’importance de « se méfier de soi – même et vérifier son cerveau » pour lutter contre la désinformation. En réponse aux questions des jeunes étudiants en journalisme, cet expert a apporté des éclaircissements sur la manière de réagir face à des complotistes, adeptes de la désinformation.  Selon lui, le risque de désinformation est plus élevé pendant les périodes électorales, en période de guerre ou en période de crise. Autant de facteurs qui doivent être pris en compte par les journalistes pour éviter de tomber dans le piège de la publication d’informations biaisées.



Dix mois. Telle est la durée de la première phase des travaux de réhabilitation ou de construction d’infrastructures, au profit de la ville d’Antananarivo et de ses Communes périphériques. Le coup d’envoi de ces travaux urbains s’est tenu dans la matinée du 19 mai dernier à Anosizato-Andrefana, Bemasoandro et Andranonahoatra. « Les travaux se feront en court terme, à raison de 40 infrastructures construites ou réhabilitées en un mois. L’envergure de tels travaux sera constatée d’ici un ou 2 ans, avec de multiples infrastructures d’utilité publique bâties », s’enthousiasme Holder Ramaholimasy, ministre de l’Aménagement du territoire et des Services fonciers, lors du lancement de la première phase. Au total, 206 infrastructures communautaires et sanitaires ainsi que celles de mobilité en seront concernées. Il s’agit entre autres de bibliothèques, terrain de basket, mur de soutènement, lavoirs et bornes-fontaines ou encore des ruelles, voies carrossables, escaliers et passerelles en béton armé. L’entreprise Sinohydro se charge des travaux y afférents, sur un financement de la Banque mondiale. Le but étant d’améliorer les conditions de vie des habitants des zones fortement peuplées.
Pour la Commune urbaine d’Antananarivo, le premier Arrondissement bénéficiera de 75 infrastructures de mobilité, 1 sanitaire et 5 communautaires. Le quatrième Arrondissement recevra 80 infrastructures de mobilité et 2 sanitaires. 20 infrastructures de mobilité, 1 sanitaire et 5 communautaires seront construites ou réhabilitées dans la Commune de Bemasoandro, contre 9 de mobilité et 1 communautaire pour la Commune d’Andranonahoatra-Itaosy. Quant à la Commune d’Anosizato-Andrefana, 8 infrastructures de mobilité et 1 sanitaire y seront dédiées.
Pour rappel, le Projet de développement urbain intégré et de résilience du grand Antananarivo (PRODUIR) vise à améliorer les conditions de vie des citadins d’une part et la résilience aux inondations des habitants des bas-quartiers de ses Communes d’intervention, de l’autre. Ce projet financé par la Banque mondiale ambitionne également d’améliorer les capacités des acteurs à répondre rapidement et efficacement à une situation d’urgence ou de crise. Diverses activités sont prévues pour y arriver, dont celles liées à la protection contre les inondations ou encore à la résolution des problèmes afférents au développement urbain. La construction d’infrastructures sanitaires et communautaires ainsi que celles de mobilité en font partie.
Recueillis par Patricia Ramavonirina


Une zone habitée se trouvant dans le secteur du marché de Besarety a été le théâtre d’un incendie dévastateur, jeudi dernier. Dévastateur car le bilan parle de lui-même : neuf maisons partent en flammes et tous les mobiliers se trouvant à l’intérieur avec. Par ailleurs, l’on ne déplore aucune victime. Le comble, c’est que le sinistre a éclaté à un moment où les locataires étaient justement absents des lieux, ayant tous été retenus par leur travail.
Il a fallu les informer sur le drame. Inutile d’en dire davantage sur l’émotion de ces familles qui, en voyant la triste réalité qui les attendait sur place, n’en croyaient pas à leurs yeux ! “Ces familles ont tout perdu dans cet incendie. Le feu n’a rien épargné dont meubles et appareils électroménagers. Pour certains habitants, ce sont leurs économies. Pour d’autres, ce sont leurs dossiers, cartes d’identité incluses”, explique un témoin.
Pour l’heure, l’hypothèse d’un court-circuit serait à l’origine de cet incendie. Il aurait dû se produire dans l’une de ces maisons. Les flammes, à défaut d’être mâtées spontanément, se sont propagées à une vitesse impressionnante avant de s’étendre sur les maisons voisines. Dès que le sinistre a éclaté, des riverains ont informé rapidement les pompiers et la Police. Même si les sapeurs sont intervenus assez rapidement, cela n’a pas empêché les flammes de continuer leurs œuvres destructrices. Une enquête est ouverte.
En une semaine, la Capitale a vu se produire deux incendies assez importants, toujours du fait d’un court-circuit. Le premier du genre est survenu à Mahamasina où deux habitations voisines ont été complètement détruites, tous les mobiliers avec. Là aussi, les pompiers ont beau travailler d’arrache-pied pour tenter de circonscrire les flammes qui ont tout dévasté.
Franck R.


Airtel Madagascar confirme son alliance avec le Service des renseignements financiers (SAMIFIN). Cette fois-ci, le Comité de direction ainsi que les employés de cet opérateur et ceux de son service « Airtel Money » ont récemment bénéficié de deux jours de formation dispensée par les agents dudit service, axée sur les fondamentaux en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. « L’argent mobile représente un instrument puissant de développement. Il doit être un outil sûr et source de stabilité pour le secteur financier. Chez Airtel Money Madagascar, nous œuvrons à asseoir l’intégrité de nos services pour protéger nos utilisateurs et écarter tout risque d’utilisation frauduleuse et illicite. Pour cela, nous veillons à établir un cadre bien règlementé avec une équipe dotée d’expérience et de connaissances nécessaires pour garantir la fiabilité de nos produits et services. C’est le but de ce renforcement des capacités avec le SAMIFIN », a indiqué Eddy Kapuku, directeur général du réseau des Smartphones. « Les participants se sont familiarisés sur les faits, les risques, les sanctions applicables en cas de coopération allant dans le sens de blanchiment d’argent (…) », a fait savoir Anna Ratsimbarison, responsable communication auprès d’Airtel. Les bénéficiaires ont marqué leur engagement et leur volonté dans cette lutte à travers une participation active.
P.R.





La « Vérité » de la semaine

Publié le vendredi, 20 mai 2022

•    Les mésaventures d’une ancienne ministre et également ex-députée ont fait la une des journaux et des réseaux sociaux. Arrêtée à son domicile par la Police très tôt dans la matinée de mardi, elle est accusée d’émission de chèque sans provision de 24 millions Ar. Déféré au Parquet dans la journée même, ce membre du Gouvernement de Mahafaly Solonandrasana a encore obtenu la liberté provisoire en attendant son procès. Ce n’est ni son premier ni son dernier coup bas…D’autres victimes de l’ancienne ministre vont se manifester pour déposer plainte.

 •    Format virtuel l’année dernière, Covid oblige, la Foire Internationale de Madagascar (FIM) revient en force et se déroule depuis jeudi jusqu’à dimanche à la zone Forello Expo Tanjombato. Une centaine d’exposants de diverses activités participent à cet événement économique annuel de la Grande île, orphelin de son père fondateur, Michel Domenichini Ramiaramanana qui a tiré sa révérence au mois de décembre dernier. La tenue de la FIM est associée par les optimistes à la reprise économique après deux années de crise sanitaire. Croisons les doigts.

 •    Un grand monsieur de la communication est décédé en début de semaine. Il s’agit de Daniel Ramaromisa très connu en étant un des animateurs phare de la Radio nationale malagasy avec ses jeux radiophoniques. Les habitants de la Cité d’Ampefiloha et même de la ville d’Antananarivo, se souviennent certainement de ce dirigeant de Fokontany innovateur en plaçant des mégaphones géants sur les toits des immeubles du quartier pour faire passer les messages urgents. Il entré dans le domaine politique en créant son parti « Vahoaka Vonona Sahy Vanona » et devenait par la suite membre des institutions de la transition et également ministre des Transports.

•    Après Edith Cresson, Elisabeth Borne est la seconde femme à occuper le poste de Premier ministre en France. Ancienne ministre du travail de Jean Castex, elle a été désignée par Emmanuel Macron pour diriger le premier gouvernement de son second et dernier mandat présidentiel.



Une grande nouvelle pour les usagers de la RN13. Après plusieurs jours d’attente, la Banque européenne d’investissement (BEI) a mis fin au suspense hier.  « La BEI est très heureuse d’annoncer qu’en adéquation avec ses procédures internes, les avis de non-objection nécessaires pour l’avancement de la supervision des travaux de la RN13 entre le port de Taolagnaro (Fort-Dauphin) et Ambovombe ont été bien émis, et que le prochain décaissement des fonds est en cours de préparation avec l’Agence Routière », peut – on lire dans un communiqué émanant de l’Union européenne. La Banque européenne d’investissement (BEI), dont les actionnaires sont les Etats membres de l’Union européenne (UE), est l’institution de financement à long terme de l’Union européenne. Elle met à disposition des financements à long terme destinés à appuyer des investissements de qualité afin de contribuer à la réalisation des grands objectifs de l’UE. Le même communiqué ne manque pas de souligner que le  secteur  routier  à  Madagascar  est  un  secteur  stratégique  pour  la  Banque  européenne dont l’impact sur le développement inclusif et durable du pays n’est plus à démontrer. C’est également pour cette raison que la Banque et la Délégation de l’Union européenne ont tenu à maximiser leur intervention et soutenir le pays dans sa croissance. 
A son retour d’un déplacement à Washington, le Président Andry Rajoelina a réitéré – au  cours d’un point de presse tenu au palais d’Iavoloha – ses engagements envers la population du Grand Sud. Il a particulièrement évoqué son « Velirano » pour la réhabilitation de la RN13 reliant Ambovombe à Taolagnaro. Le Chef de l'Etat avait alors annoncé que le démarrage des travaux n’attend que l'avis de non-objection de l'Union européenne. Pour rappel, des enquêtes supplémentaires ont été jugées nécessaires par Bruxelles concernant la société Colas qui a obtenu le marché suite à l'appel d'offres pour la réalisation des travaux de construction de cet axe. La société française qui est sous le coup de sanctions infligées par la Banque mondiale. Après cette bonne nouvelle, les ouvrages pourront ainsi débuter incessamment.
S.R.


Les préparatifs sont fin prêts pour le championnat de Madagascar Telma semi-marathon que la Ville de Taolagnaro abritera pour la première fois dans l'histoire de l'athlétisme malagasy. Le rendez-vous est donné le 28 mai prochain. Raherison Dominique, le président de la Fédération malagasy d'athlétisme, a annoncé la nouvelle au Campus Telma hier. L'événement sera sponsorisé par le premier partenaire du sport malagasy, Telma Madagascar. Ce dernier offrira des goodies à tous les participants et des téléphones à tous les médaillés de la compétition. Et cerise sur le cadeau, les champions respectivement homme et dame auront le sésame pour le meeting de La Réunion qui aura lieu à Saint-Denis le 10 juillet prochain.
Pas moins de 63 athlètes issus de toutes les régions de Madagascar participeront à la compétition. La bataille sera rude car le ghotha de l'athlétisme malagasy sera en lice pour décrocher les billets d'avion.
Parmi les favoris Ralisinirina du 3FB, Emma du CosPN chez les dames et Mampitoatse, tenant du titre et le vieux loup de la discipline, Fulgence, de l'Athletic Club Crown Vakinankaratra, vont défendre leur statut.  Mais les jeunes Patrick, Tsima du Cosfa aussi seront sur la grille de départ pour donner du fil à retordre à ceux cités plus haut.
Une course relais inter-Fokontany marquera l'événement. Au moins 11 Fokontany ont déjà confirmé leur participation. Rappelons que cela entre dans la politique de vulgarisation de la discipline dans tout Madagascar. En effet, dans une course relais 4x4 inter-établissement, dix écoles seront de la partie. Le lendemain, 29 mai, les dames seront à l’honneur sur une course de 3km.A noter que le handisport aussi figurera dans le programme.
Elias Fanomezantsoa



La une du 20 mai 2022

Publié le jeudi, 19 mai 2022


Outils de propagation de fausses nouvelles. Des informations partagées hier dans le cadre d’un colloque face à la désinformation ont indiqué que sur 28 millions d’habitants, 6,43 millions utilisent l’Internet sur le territoire national, soit 22,3 % de la population malagasy. Il a été également mentionné qu’il existe quelque 3,05 millions d’utilisateurs qui ont accès librement à Facebook à Madagascar. Pourtant, la liberté d’expression sur les réseaux sociaux contribue à la propagation de fausses nouvelles. Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo, ministre de la Communication et de la Culture, l’a bien souligné hier lors de l’ouverture dudit colloque à la Bibliothèque nationale située à Anosy. « Le numérique, plus précisément le réseau social Facebook, favorise la désinformation. Nous accordons plus d’importance aux premières informations publiées et aux contenus que partagent les membres les plus actifs sur Facebook. Et nous n’hésitons pas à les partager. C’est là que les journalistes devraient réagir pour y remédier. Il faut toujours se rappeler de la déontologie qui consiste à recouper et vérifier les informations pour stopper la désinformation », a-t-elle souligné. Effectivement, toutes les différentes informations qui circulent sur Facebook ne sont pas toutes vraies. Le fait de les partager sans modération est ainsi désastreux pour la population. On se souvient que le sujet portant sur le journalisme sous l'emprise du numérique a été déjà évoqué lors de la Journée mondiale de la liberté de presse, célébrée le 3 mai dernier. C’est pour dire que le « Fake news » à l'ère du numérique prend actuellement le dessus.

Un enjeu de taille
En jugeant très utile voire urgent d’en parler, l’association Actions Médias Francophones (AMF), le Groupement des éditeurs de presse d'information à Madagascar (GEPIM) et le ministère de la Communication et de la Culture réunissent pendant deux jours différents acteurs des médias et de l’information pour débattre autour du thème de la désinformation. Depuis hier jusqu’à cet après-midi, des discussions sur la nécessité de lutter contre la désinformation et des initiatives en cours ou à prendre contre ce phénomène constituent le programme. Lors de la première journée de réunion, Lova Rabary et Loïc Hervouet de l’association AMF ont surtout évoqué le sens même de la désinformation et les médias de la guerre. Les interventions de Laurent Bigot de l’Ecole supérieure de journalisme de Tours et de l’ONG Ilontsera ont mis en exergue les rôles des médias.  Pour cette deuxième et dernière journée, journalistes, étudiants en information et communication et d’autres invités présents assisteront encore à des échanges et partages s’y rapportant.
K.R.


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Editorial

  • Flamme éternelle !
    « Feux de l’amour », une série américaine créée par les Bell (William Joseph et Lee Phillip) dont la première diffusion du premier épisode datait du 26 mars 1973, doit fêter avant-hier son cinquantième plus un anniversaire. Du 26 mars 1973 jusqu’à ce jour, les « Feux de l’amour » continue d’accrocher des milliers sinon des centaines de férus à travers le monde. « FA » avec ses 12 500 épisodes jouit d’un record de longévité que rares sont les feuilletons capables de le défier. « Dallas », un autre feuilleton américain le talonne de près. Créé par Larry Hagman et consorts, Dallas dont la diffusion du premier épisode datait de 2 avril 1978 pour se terminer le 3 mai 1991 continue aussi de fasciner jusqu’à aujourd’hui.

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