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Ils étaient si fiers et surtout trop arrogants ! Ils, ce sont ces six jeunes hommes ayant posté une vidéo les montrant dans un geste turbulent et en train de proférer des menaces de mort, le tout arrosé d’une guirlande de gros mots à l’endroit d’un gang ennemi, selon des sources. Hier, les concernés dont le chef est surnommé Badoda ont été déférés au Parquet d’Anosy. Le verdict tombe : quatre d’entre eux ont été placés sous mandat de dépôt à la maison centrale d’Antanimora pour justement menace de mort et insulte en public. Seuls deux autres ont alors obtenu une liberté provisoire. En cause : ces derniers sont encore mineurs, selon une source policière.
Cette vidéo a été largement partagée sur Facebook au cours de la semaine dernière, et même avant. L’affaire n’a pas échappé au service de la cybercriminalité de la Police à Anosy. Il s’est ensuivi alors un appel à témoins, relayé par le public mais surtout aussi les internautes, histoire de retrouver les traces des concernés. Mercredi dernier, les hommes du Service de l’information, de contact et des relations avec les institutions (SICRI) d’Anosy ont finalement réussi à remonter la filière du côté d’Itaosy.
Ainsi, les membres de cette bande ont été alors arrêtés les uns après les autres et ce, jusque dans leurs foyers respectifs à travers la vaste localité d’Itaosy, alors que les concernés auraient crû n’être nullement inquiétés. Si leur sort a été donc fixé, celui de Marc Tatandraza, le prédicateur supposé, et qui venait de faire le même objet de poursuite est encore incertain. Frappé d’un mandat d’arrêt également pour menace de mort, comme le public a pu le voir récemment sur la page Facebook de la Gendarmerie nationale, Marc Tatandraza court toujours.
Récemment, il s’est publiquement exprimé sur Facebook sur ce point. Et comme dans une sorte de clin d’œil aux Forces de l’ordre, comme quoi il est innocent et qu’il rejoindra aussitôt le ciel, si jamais celles-ci vont parvenir à l’épingler. L’homme, dans ses excuses, se défendait comme quoi cette vidéo est déjà vieille de 4 ans, donc n’est plus d’actualité. Mais on ignore justement comment cette même vidéo a été de nouveau relancée pour être postée sur les réseaux sociaux, il y a à peine trois jours de cela et dans laquelle on peut voir M. Tatandraza, un grand sabre à la main, s’adresser avec véhémence et d’un ton menaçant à une personnalité de la place.
F.R

Délicat et risqué !

Publié le vendredi, 17 juin 2022

Le pire serait-il à venir ? Telle l’épée tranchante de Damoclès, l’éventuelle révision des prix à la pompe plombe sur la tête du peuple malagasy.
La rumeur sur la probabilité de l’augmentation des prix du carburant s’intensifie au fil du jour. La pression des Institutions de Bretton Woods pour « réajuster » sinon pour appliquer la « vérité des prix » ne laisserait, semble-t-il, aucune autre marge de manœuvre aux dirigeants d’Etat que de revoir à la hausse les prix du carburant. Des bruits fous sur les futurs prix inondent la toile et les Facebookers de mauvaise foi s’adonnent pour attiser le stress et le « téléphone arabe » va bon train. On parle du prix du Super à 9000 Ar ! La Banque mondiale aurait imposé une hausse de 50% ?  Et la panique envahit les esprits ! La crainte d’une inflation intenable hante les esprits et du côté du pouvoir et auprès de l’opinion. Une angoisse légitime et compréhensible !
Il ne faut pas croire et faire admettre que les citoyens malagasy se laissent faire sinon encaissent sans réagir à toutes les conditions qui prévalent. C’est faux ! Peut-être qu’ils sont lents à réagir mais quand le phénomène atteint le ras-le-bol ou franchit son point de non-retour, c’est l’explosion … sociale ! Toute l’Histoire politique et sociale du pays illustre ce comportement tant redouté.
Depuis des temps reculés, de l’époque des rois jusqu’à nos jours, on se méfie sérieusement des mouvements de réaction des malagasy face à des situations qu’ils jugent inadmissibles et inacceptables. Le célèbre adage populaire « Aleo halan’Andriana toy zay alam-bahoaka » (Il vaut mieux être banni par le roi que d’être rejeté par le peuple) en témoigne suffisamment. Les souverains successifs prenaient toujours garde de ce sursaut populaire. La période coloniale en savait particulièrement quelque chose. Pour ne rien citer que les « rébellions de 1947 ». Et les six décennies du retour à l’indépendance de Madagasikara, jalonnées par des crises cycliques montrent à quel point le citoyen lambda rejette toute situation invivable, injuste et oppressante. Ainsi, tous les tenants des régimes précédents, sauf exception du celui du HVM, ont été chassés en cours de route du pouvoir. Ils ont terminé tous en catastrophe leur mandat. Des Chefs d’Etat déchus, le pays en a connu assez ! Une légende particulière que Madagasikara en possède le secret ! Le drame dans tout cela, les dirigeants en place, presque dans sa totalité, n’ont pas su tirer les leçons du passé.
Ecartelés par le calvaire de l’inflation et l’enfer des délestages, les concitoyens se trouvent au bord de l’explosion. Il y a de l’électricité dans l’air ! Et le drame encore, la situation ira de mal en pis ! En effet, c’est dans ce contexte électrique que plane la menace de la hausse des prix du carburant. Les Compagnies pétrolières n’en peuvent plus. Les négociations avec les autorités publiques ont très peu de chance d’aboutir. Et le pire ne se trouve plus donc au stade d’une simple menace. Du côté de la JIRAMA, les abonnés n’accordent plus de crédit aux promesses !
Et c’est dans ce contexte délicat et risqué que les détenteurs du pouvoir sont appelés à prendre les dispositions qui conviennent.




Un agenda chargé pour la semaine prochaine. Dans le cadre de la célébration du 62e anniversaire du retour de l’Indépendance de Madagascar, plusieurs animations seront organisées dans la Capitale, du 19 au 25 juin prochains. Et la traditionnelle parade militaire va clôturer ces animations le 26 juin. Afin d’assurer le bon déroulement des fêtes, des routes seront coupées aux alentours de Mahamasina et Anosy, tout au long de l’évènement.

Dans la journée de demain, de 9h jusqu'à la fin du « concert pour la paix », les rues devant le Stade Barea Mahamasina jusqu’au CEG Antanimbarinandriana, et celle face au Commissariat du 5e Arrondissement seront fermées à la circulation des véhicules comme celle des piétons. A partir du lundi 20 jusqu’au samedi 25 juin où se tiendront un grand podium à Anosy et Mahamasina, la voie sera fermée sur la rue Ranaivo Jules devant l'Hôtel Carlton jusqu'au rond-point Sénat, de 15h jusqu'à la fin de la manifestation. Tous les véhicules sans exception sont concernés par cette organisation, mais pas seulement ceux du transport en commun.
 
 Le vendredi 24 juin, les rues Mahtma Gandhi, devant le Palais des sports, menant vers Ramanankirahina (Sainte Famille), Pascal (CEG Antanimbarinandriana), Rakotobe (Commissariat du 5e Arrondissement), Andriba Mahamasina (Gerbor) jusqu’à la rue Mohamed V (Saint-Michel), seront fermées à tous véhicules et piétons entre 6 et 12 heures.  En effet, les  militaires  effectueront une répétition générale dans le cadre du traditionnel défilé.
Enfin, dans la journée du 26 juin, la circulation aux alentours du Stade Barea Mahamasina jusqu'à Anosy et Antsahamanitra sera totalement fermée jusqu'à la fin de la cérémonie. De même pour la rue Ramboatiana entre Ankaditapaka et Andafiavaratra, et la rue Venance Manifatra reliant le Jardin, Cathédrale Andohalo et Imarivolanitra.

 Outre ces évènements à Mahamasina et Anosy, une grande festivité culturelle sera organisée à Betongolo. Intitulée «  Kermès des Forces de défense et de la sécurité », elle rassemble, pour la première fois, l’Armée, la Police et la Gendarmerie nationale.


Anatra R.





« Les menaces à notre égard s’enchaînent, même après la mort de notre père ». Harry Rakotoarisoa, le fils aîné du défenseur des ressources naturelles qui a été retrouvé assassiné à Andriatsihazo Andramasina, nous l’a confié. « Ma femme qui est enseignante subit presque quotidiennement des intimidations. En fait, nous sommes considérés comme des complices de notre défunt père dans le fait qu’il voulait assainir la gestion et l’exploitation de la zone forestière à Ankazondandy Beparasy, District de Moramanga », ajoute notre source. « Nous vivons dans la peur et ce en permanence. Si les auteurs du meurtre de notre père seraient relaxés par la Justice, la situation risquera de s’empirer. Ils devront être punis, non seulement pour l’assassinat mais aussi pour les exploitations illicites qu’ils ont commises depuis plusieurs années. Notre père a dénoncé à maintes reprise ces actes, au point d’être emprisonné en septembre 2021 puis assassiné, quelques mois après », révèle Andry Rakotoarison, le fils benjamin du défunt. Selon les témoignages de ses fils, Henri Rakotoarisoa a toujours eu des différends avec les trafiquants de bois de la zone forestière d’Ankazondandy à cause des dénonciations. « Mon mari était un homme intègre. Il ne s’est jamais laissé corrompre malgré les tentatives des exploitants. Maintenant qu’il est mort, ces derniers ainsi que les familles des personnes inculpées dans cette affaire nous font subir des pressions », nous confie Esther Rasoarinoro, la veuve du défunt, qui était à la tête du « Vondron’olona ifotony » (VOI) ou communauté de base « MIALO ».
Poursuite des actions
« Nous allons poursuivre les actions entreprises par notre père, malgré les intimidations à notre égard. Il a fait des dénonciations face aux exploitations illicites pour préserver les ressources naturelles, un héritage des générations futures d’après ses dires », avance le fils aîné du défunt. D’après la veuve, des bois précieux de cette zone forestière disparaissent, une fois saisis par les autorités locales, d’où les sonnettes d’alarmes lancées par le militant écologiste âgé de 70 ans. A cela s’ajoutent la coupe abusive d’arbres, entre autres pour la fabrication de charbon ou encore pour l’aménagement de surfaces cultivables. « La situation laisse croire que des trafiquants sont protégés par des autorités, vu que les exploitations illicites s’intensifient. Mais nous n'allons pas rester les bras croisés (…) », confirme l’épouse du défunt.
Après le déferrement des 35 personnes qui se sont rendues aux autorités suite au meurtre du président de la communauté de base « MIALO », le 7 juin dernier à Ambatolampy, 7 d’entre elles ont été placées sous mandat de dépôt, tandis que les 28 autres ont bénéficié d’une liberté provisoire. Pendant que les investigations sont en cours, le procès de ce crime se fera au Tribunal d’Ambatolampy, le 20 juin prochain. Une affaire suivie de près, non seulement dans le pays mais aussi au niveau international. Diverses institutions et organisations, à l’exemple du Système des Nations unies et l’Union européenne, ont déjà manifesté leur condamnation de ce meurtre, en demandant justice…
Patricia Ramavonirina




RN13 - Les travaux démarrent en trombe !

Publié le vendredi, 17 juin 2022


Une nouvelle page d’histoire est désormais ouverte. L’enclavement fera désormais partie du passé pour les régions du Sud. Le coup d’envoi des travaux de réhabilitation de la fameuse RN13 a été donné hier. Une étape qui ouvre la voie vers le développement pour cette zone souvent oubliée. Le Président Andry Rajoelina, en personne, a fait le déplacement à Ambovombe, lieu de démarrage des travaux, avant de rallier Taolagnaro pour cette occasion. « Cela fait longtemps que j’attends ce moment et je pense qu’il en est de même de votre côté », a déclaré, d’emblée, le Président. Au cours d’un meeting avec la population d’Ambovombe, le Chef de l’Etat a rappelé que la réhabilitation de cette route, dont le mauvais état constitue un vrai calvaire pour les usagers, s’inscrit parmi les principaux « Velirano » présidentiels à l’endroit de la population du Sud.
« Avant même d’être élu Président de la République, j’ai fait le déplacement dans le Sud et au lendemain de mon élection, le Sud a été la première région que j’ai visité », a déclaré Andry Rajoelina. Par ses propos, il fait part de son grand attachement à la population du Sud. Le numéro un de l’Exécutif a rappelé ses propos, il y a deux ans de cela à Taolagnaro, et dans lesquels il avait explicitement déclaré que « j’arrêterais la politique si jamais les travaux de réfection de cette route ne débutent ». Un rappel comme pour montrer qu’il honore ses engagements. Le Président a annoncé que cet axe sera baptisé route « Firaisan – kina » car permettra de rétablir les liens entre les Districts.
Changement historique
La société française Colas est en charge de l’exécution des travaux dont une partie est financée par la Banque européenne d’investissement (BEI) tandis que l’autre partie  sera aux frais de l’Etat. Durant la série de discours, les autorités locales n’ont pas caché avoir eu un doute à l’annonce de la réhabilitation effective de cet axe à l’instar du député Milavonjy Philobert. Pour cause, la multitude de promesses faites par les prédécesseurs du Président actuel sont restées des paroles en l’air. Aujourd’hui, ce parlementaire affirme « tirer son chapeau » au Président de la République qui est sur le point de réaliser un véritable exploit. « Nombreux sont les dirigeants qui avaient annoncé leur intention de réhabiliter cet axe, mais c’est vous qui a été élu pour le concrétiser », a déclaré le ministre des Travaux Publics, Jerry Hatrefindrazana à l’attention du Chef de l’Etat.
Le grand Sud qui est souvent associé à divers fléaux comme la famine, la sècheresse ou encore la pauvreté assiste donc à un changement historique. Ces travaux ne profiteront pas uniquement aux habitants d’Ambovombe mais également les autres natifs du grand Sud. D’ailleurs, les membres d’association originaires de cette région ont, d’ores et déjà, témoigné leur reconnaissance en envoyant des messages de remerciement au Président de la République. Les multitudes d’heures voire de jours passés sur la route seront bientôt réduits en une heure et quelques minutes. Outre le lancement des ouvrages sur la RN13, le Président a inauguré plusieurs infrastructures à Ambovombe. Il poursuivra son déplacement à Taolagnaro ce jour.
S. R.

Etre sensibilisés et convaincus par les jeunes. Les enfants ne sont pas considérés comme des cibles, mais des créateurs et des médiateurs en puissance. Ils ont la capacité de bouger des lignes, d'accélérer le changement des mentalités et des comportements et de susciter le passage à l'acte. Leurs idées sont souvent négligées. Cependant, ils sont des acteurs clés du développement. Et d'ailleurs, la vérité sort de leur bouche. Selon Pierre Beccu, initiateur de projets et réalisateur du film « Graines d'espoir », il est grand temps de permettre à la jeunesse de co-construire son propre avenir, en prenant en main d'une façon très active les outils numériques.

48 heures après sa disparition où elle a donné son dernier signe de vie, le corps de Sannie (21 ans) avait été finalement retrouvé enterré dans la cour de la propriété de son ex-petit ami de 24 ans dans le quartier d’Ambohitsimpo à Anjiro, sur la RN2. Lors d’un constat, la victime avait été dénudée et des bleus, sans doute des traces de coups, sont observés sur son visage. C’est ce jeune homme en cause qui a indiqué l’endroit où il a enterré le cadavre, et il est d’ailleurs le suspect principal dans l’affaire. Et pourtant, il a déclaré avoir rompu avec Sannie. Cette première enquête au niveau de la Gendarmerie a découlé d’une plainte de la mère de la victime. Une audition, à l’issue de laquelle, les gendarmes l’ont ensuite relâché.

Ils sont actuellement 9.000 individus à pratiquer officiellement la médecine traditionnelle à Madagascar. Au cours de ces deux années d'épidémie liée au coronavirus, leurs conseils et leurs produits ont sauvé des vies et ont considérablement contribué aux effets de riposte de la Covid-19. Chargée d'assurer la promotion et le développement de la médecine traditionnelle, l'Association nationale des tradipraticiens de Madagascar (ANTM) s'investit et s'engage dans les campagnes de vaccination au côté du ministère de la Santé publique.

Accès des enfants à la justice. Tel est le principal droit de l’enfant évoqué dans le 3è protocole facultatif de la CIDE (Convention internationale des droits de l’enfant). Il s’agit de donner la parole aux enfants ou le groupement des victimes de non-droit, ainsi qu’à leurs familles et proches ou encore aux organismes et institutions. « Ce protocole permet le recours international en cas de violation des droits de l’enfant. Ceci à travers la saisine du Comité international des droits de l’enfant.

Défi vital !

Publié le jeudi, 16 juin 2022

La seconde vague de concertation nationale axée sur l'agriculture, en vue de l'autosuffisance alimentaire, a ouvert ses portes dans la journée d'hier mercredi 15 juin au CCI Ivato. Elle durera deux jours au cours de laquelle, les représentants et les délégués débattront les voies et les moyens afin d'atteindre l'objet fixé. L'initiative de la conférence revient au principal responsable du pays, Rajoelina Andry.

Fil infos

  • Ministre des Affaires étrangères du Japon - En visite à Toamasina ce week-end
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Editorial

  • Une Opposition éreintée !
    L’Opposition politique que le pays a l’honneur ou le malheur de disposer aurait-elle les reins solides ? Apparemment non !En un quart de siècle d’existence, le « Tiako i Madagasikara » (TIM) montre déjà des signes d’usure, de faiblesse. Des rides avant l’heure trahissent le visage de ce parti fondé et présidé, d’une main de fer, par l’ex- magnat du lait, l’ancien Chef d’Etat Marc Ravalomanana dont l’empire économique s’effrite au fil des ans. Visiblement, le poids de l’âge pèse trop sur les épaules de « Ramose ». A soixante-quatorze ans, Ravalomanana peine à suivre le rythme mais il persiste à tenir la barre du parti. Ses lieutenants s’irritent de son entêtement. Mais on n’y peut rien ! Dada est intraitable. Et le déclin semble irréversible.Ibidem pour le « Rodoben’ny mpanohitra ho an’ny demokrasia eto Madagasikara » (RMDM), une plate-forme de l’Opposition concoctée par le pasteur Tsarahame et acolytes et…

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