Publié dans Culture

Bibliothèque nationale Anosy - Reste ouverte pendant les vacances

Publié le mercredi, 27 juillet 2022


Les vacances sont là. Ceux qui n’ont pas la chance de partir en vacances ou ceux qui en reviennent, les portes de la Bibliothèque nationale (BNM) sise à Anosy leur restent ouvertes. De quoi occuper le temps puisque lire, c’est voyager dans le monde tout en restant chez soi.  Aussi, les responsables au sein de la BNM invitent le public, particulièrement les jeunes, à venir visiter le lieu pour mieux connaître ses richesses, tout en sollicitant chacun à adhérer comme membre du club de lecture. En adhérant à la BNM, chaque membre contribue aux missions de -préserver et enrichir le patrimoine de la Bibliothèque nationale. « C’est surtout durant ces périodes de vacances qu’il faut profiter pour en devenir membre.  En tant qu’adhérent, vous bénéficiez d'un certain nombre de privilèges : découverte des trésors de la BNM et de ses différents départements en présence de conservateurs, des auteurs, invitation à des différentes sortes d’animations culturelles autour de la lecture. Quant aux adultes, ils peuvent se distraire à travers les romans et les livres de documentaires», encourage le directeur général Njaka Raonison. En outre, les visiteurs non adhérents pourront toujours y accéder simplement avec une carte d’étudiant ou d’une carte d’identité nationale. Une invitation dans le but de favoriser la lecture chez les jeunes pendant les vacances et à les encourager à visiter la bibliothèque publique.
Des avantages
 Les visiteurs trouveront un large choix de livres malagasy, des romans, des BD, des documentaires, revues et littérature jeunesse. Sans oublier les différentes animations culturelles avec des auteurs locaux.  A mentionner que la BNM dispose plus de 500000 documents actuellement, y compris les livres, musiques, documents numériques. Encore, pour mieux inciter le public de la nouvelle génération à s’accaparer des lieux, les collaborateurs de la Bibliothèque nationale ont mis à leur disposition une bibliothèque virtuelle qui intègre des milliers d’ouvrages et des supports électroniques sur l’Histoire de Madagascar et d’autres sujets aussi intéressants. Récemment, L’Ambassade de France à Madagascar a principalement offert des abonnements à la Culturethèque, disposant de 230 000 documents en ligne dont des magazines, auto-formations et livres « jeunesse ». Pour les lecteurs fans des nouvelles technologies, une dizaine de postes d’ordinateur, d’écoute et tablettes donnant accès à des albums numériques, avec plus de  600 photos intégrées évoquant des thèmes portant sur l’Histoire, des paysages,  portraits et autres, leur sont également proposés. Et tout cela gratuitement.
Sitraka Rakotobe

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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