Publié dans Culture

Musique tropicale - Black Nadia revient à Ivato

Publié le lundi, 12 décembre 2022


Ses fans résidant du côté de Talatamaty et Ivato pourront enfin se consoler. Après avoir annulé son concert prévu le 2 décembre dernier, pour une raison de santé, Black Nadia est aujourd’hui au top de sa forme. La reine du « Coupé Décalé » est prête à enivrer, séduire et ravir les abonnés du restaurant Les Cygnes sis à  Mandrosoa-Ivato, le vendredi 16 décembre  à partir de 21h. Ce sera la première occasion pour elle de souhaiter une bonne fête de fin d’année à ses fans. Toujours à l’écoute du public, bien évidemment, elle interprétera les extraits de ses albums lors de ce vendredi « joli ». Les noctambules vont sûrement bien danser et s’amuser en cette veille de fêtes de fin d’année et du Nouvel an.
Comme à chaque show animé par Black Nadia, tout le monde aura sa part de plaisir puisque la séduisante chanteuse interprétera des chansons de couleurs différentes. Un peu de slow avec « Tsy anjara », du coupé décalé  avec « Je m’en fous », ou encore «  K.O. K.O » - de la musique tropicale combinée avec de l’afrobeats,… A rappeler qu’après de nombreuses années d’expérience, il est tout à fait normal que Black Nadia et son équipe restent fortement sollicitées partout. En occupant la place qu'ils méritent dans le showbiz, Black Nadia et son groupe sont dotés d'un potentiel particulier basé sur la cohérence, la détermination et la persévérance. Ils parviennent toujours à se classer parmi les meilleurs. Ne s’affichant jamais qu’aux côtés de ses complices, Black Nadia sera accompagnée de ses danseurs et musiciens. Une ambiance chaleureuse sera certainement au rendez-vous !
Si.R

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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