Publié dans Culture

Institut français de Madagascar - Huit films pour démarrer l’année 2023 

Publié le lundi, 02 janvier 2023

L’année 2023 vient de commencer et ce sont les cinéphiles qui seront les premiers à être servis. Effectivement, une programmation cinématographique dédiée au public se profile à l’Institut français de Madagascar (IFM) afin de bien commencer le nouvel an en fanfare. Ainsi, les responsables des lieux concoctent à présent, plus précisément à partir de 14 janvier jusqu’au 2 février 2023, des affiches alléchantes pour satisfaire les cinéphiles de la Capitale.

Pour ce faire, huit films portant le thème « Tisseuse de vies » seront à la disposition du public dès la matinée du 14 janvier à partir de 10h 30. Au menu, il y aura la projection du long-métrage « La maman et la putain », « Mommy », « Bonne mère » - sorti en juillet 2021, « Room », « Petite maman », « Les Triplettes de Belleville », « Maman colonelle » et enfin le film « Tokyo Shaking » qui fera son retour en salle.

Ces affiches feront le bonheur des jeunes cinéphiles, accompagnés de leurs amis. De plus, les restrictions sanitaires sont désormais levées. A cet effet, les salles de cinéma vont pouvoir rouvrir à 100 % de leur capacité. Il s’agit de partager les émotions en visionnant des films ensemble, notamment avec l'expérience inégalable du grand écran. Ainsi, à vos agendas et à partir du 14 janvier, direction IFM Analakely pour se divertir en visionnant des films dans une salle obscure. Pour d’autres précisions, les locaux de l’IFM Analakely sont à la disposition du public à partir du 3 janvier. D’autres informations sont également visibles sur la page Facebook « Cinéma de l’IFM ».  

 

Si.R

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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