Publié dans Culture

« Chansons sans Frontières » - La 18ème édition du concours démarre 

Publié le mardi, 25 juillet 2023

Un événement dédié aux passionnés d’écriture d’un texte de chanson en français. L’inscription à la 18ème édition du concours international «  Chansons sans Frontières » vient de démarrer lundi dernier. Il s’agit d’une manifestation entièrement gratuite, organisée par l’Association Fusaca et Accord Production, parrainée par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). 

Comme à l’accoutumée, les auteurs francophiles malagasy sont à nouveau invités à participer à cet événement d’envergure internationale. Pour ce faire, les participants doivent écrire une chanson de trois couplets et un refrain sous le thème « Escalader le ciel ». A travers ce thème, les participants vont concourir et ils auront jusqu’au 19 novembre pour transmettre leurs textes. Pour obtenir davantage d’informations concernant ce thème, les participants sont invités à visiter le site Internet « www.chansons-sans-frontieres.fr/le-concours » ou sur la page Facebook  « Chansons sans Frontières-Le Concours ».  Comme lors des précédentes éditions, le texte gagnant sera mis en musique par les artistes de « Chansons sans Frontières ». Deux jurys seront constitués pour délibérer et sélectionner les six prix internationaux. 

« Chansons sans Frontières » est un concours qui a pour principal objectif de permettre aux participants de s’exprimer librement dans une dynamique de partage, de respect et d’ouverture, tout cela à travers l’écriture d’un texte de chanson en français. Notons que durant la précédente édition, un écrivain malagasy a été retenu parmi les participants. Il s’agit notamment de Fanomezantsoa Rakotondrabary, âgé de 26 ans. Ce candidat a reçu le deuxième prix de la catégorie « Français - langue maternelle » avec son texte intitulé « Les passagers du temps ».

Valeur

Lancé en 2005 sur le principe très simple de l’écriture d’une chanson en français, ce concours, gratuit et ouvert à tous, arrive à sa 18ème édition.  La compétition voit la participation de 130 pays dans le monde, à l’exception des personnes résidant en France. L’idée générale du texte doit être axée sur les droits de l’Homme et la liberté d’expression. Pour chaque édition, un thème différent est proposé en lien avec le concept « Dis-moi dix mots ». Le concours est ouvert à tous. Cet événement culturel reflète une aventure culturelle moderne, éthique, pédagogique et festive et qui a pour vocation de favoriser les échanges et le dialogue interculturel à travers des actions artistiques et des événements ouverts sur le monde, et ce, depuis son ancrage en Basse-Normandie. A travers un langage commun, la musique et une langue partagée qui est le français, 

cette compétition offre un espace de libre expression, d’échanges, de solidarité et de diversité culturelle. Le lauréat du concours gagnera un séjour en France pour deux personnes, tous frais payés, tandis que les 5 autres gagnants recevront respectivement une somme de 500, 400, 200, 150 et 100 euros.

 

Si.R

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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