Publié dans Culture

Chansons sans frontières - Les inscriptions prolongées jusqu’en  2024

Publié le lundi, 20 novembre 2023

Il reste encore plus de six semaines aux retardataires pour écrire et envoyer leurs textes. Selon le communiqué inscrit dans la page Facebook « Chansons sans Frontières-Le Concours », les inscriptions en vue de la 18ème édition de ce concours, lancées depuis le 24 juillet dernier, sont prolongées jusqu’au 14 janvier 2024. Ceci dit, les amateurs de littérature francophone auront encore du temps pour transmettre leurs textes. Ce concours est organisé par l’association Fusaca et Accord Production, parrainé par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). 

Comme à l’accoutumée, les auteurs francophiles sont toujours invités à participer à cet événement d’envergure internationale. Il s’agit d’envoyer gratuitement un texte de chanson en français. Pour ce faire, les participants doivent écrire une chanson comprenant trois couplets et un refrain sous le thème « Escalader le ciel ». Pour obtenir davantage d’informations concernant ce thème, les participants sont invités à visiter le site Internet www.chansons-sans-frontieres.fr/le-concours ou sur la page Facebook « Chansons sans Frontières-Le Concours. Comme à chaque édition, le texte gagnant sera mis en musique par les artistes de Chansons sans Frontières. Deux jurys seront constitués pour délibérer et sélectionner les six prix internationaux. 

« Chansons sans Frontières » est un concours dont le principal objectif est de permettre aux participants de s’exprimer librement dans une dynamique de partage, de respect et d’ouverture, tout cela à travers l’écriture d’un texte de chanson en français. 

Ampleur

Notons que lors des 16e et 17e éditions, deux écrivains malagasy ont été primés parmi les participants. Il s’agit notamment d’Irma Marie Orelysse Raharinantenaina, âgée de 38 ans, qui a reçu la mention spéciale du grand jury grâce à son texte intitulé « L’odyssée de l’espoir », ainsi que du jeune Fanomezantsoa Rakotondrabary, âgé de 26 ans, qui a obtenu le deuxième prix dans la catégorie « Français, langue maternelle » avec son œuvre « Les passagers du temps ». 

Lancé en 2005 sur le principe très simple de l’écriture d’une chanson en français, ce concours, gratuit et ouvert à tous, hormis des personnes résidant en France, arrive à sa 18e édition. Il s’agit d’une compétition internationale. Elle se déroule dans 130 pays dans le monde. Le thème du concours tourne autour des droits de l’Homme et de la liberté d’expression. Les participants sont confrontés à une aventure culturelle moderne, éthique, pédagogique et festive depuis son ancrage en Basse-Normandie (France), laquelle a pour vocation de favoriser les échanges et le dialogue interculturel à travers des actions artistiques et des événements ouverts sur le monde. 

A travers un langage commun, la musique et une langue partagée, à savoir le français, le concours « Chansons sans Frontières » offre un espace de libre expression, d’échanges, de solidarité et de diversité culturelle. Le gagnant du premier prix gagnera un séjour en France pour deux personnes - tous frais payés, tandis que les 5 autres gagnants recevront respectivement la somme de 500, 400, 200, 150 et 100 euros. Alors, à vos plumes !

 

Si.R

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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