Publié dans Culture

« Big Bounce » au Cask PK0 Antanimena - Une soirée de la Saint-Sylvestre réussie

Publié le lundi, 01 janvier 2024
Les jeunes publics ont été bien servis durant la soirée « Big Bounce » Les jeunes publics ont été bien servis durant la soirée « Big Bounce »

La fête du 31 décembre est devenue une tradition à ne pas manquer dans la Grande île. Chez les jeunes branchés et fêtards de la place, c’est un moment sérieux mais en même temps festif. De nombreux jeunes ont voulu célébrer cette fête dans un contexte bien explosif et inoubliable. Parmi les rendez-vous de réveillon 2024, ce fut encore une fois un véritable succès pour la soirée « Big Bounce » qui ne cesse d’étonner de nombreux jeunes. Et ceux qui ont assisté à cet évènement organisé par l’agence Dix Zéro Neuf ont été bien servis.
Malgré quelques retards des artistes invités, la soirée s’est déroulée dans une ambiance survoltée et faisait partie de celle que les jeunes n’oublieront pas de sitôt. Vers 19h, une foule a commencé à faire la queue pour avoir le sésame d’entrée. Tandis qu’à l’intérieur, des jeunes fêtards ont déjà envahi la salle du Cask PK0 Antanimena pour assister à ce concert rarissime. Certainement, c’est un grand privilège d’assister à un show réunissant des artistes les plus populaires de la musique urbaine. Avant l’arrivée des artistes, les quatre ambianceurs, à l’instar de Dj Gouty, Dj Cyemci et Dj MbintsJmsh commençaient à chauffer la piste de danse. Ce n’était que vers 20h que les prestations des artistes ont débuté. Agrad, Ceasar, Raouto, Ortegah, l’interprète du « Mode Voay » nommé Johan Blouts, le duo phénoménal Wada & Yoongs,  ainsi que Tsanta - la seule artiste féminine invitée à cette soirée - ont rendu le public heureux.
Dès les premières notes de musique, le public s’est mis tout de suite dans l’ambiance. Les chansons ont été fredonnées à tue-tête par des jeunes totalement en transe. Les fêtards, assoiffés d’ambiance et venus en masse, ont été bien servis. Le show a duré jusqu’au petit matin avec diverses animations. A minuit pile, le compte à rebours passé, les DJ, du haut de leurs pupitres, continuent de mettre en œuvre pour faire monter la température et chauffer à bloc l’assistance. Sur scène, ils ont lancé des bombes les unes après les autres, incitant les jeunes à danser dans une ambiance ultra positive. Et le public ne pouvait être que satisfait. Nombreux sont les jeunes fêtards qui ont assisté à cette fête dont l’appréciation se résume en sensations insensées et une ambiance volcanique remplie de surprise. Bref, la soirée « Big Bounce » était un bon moyen de clore en beauté l’année 2023 et de fêter dignement 2024 qui s'ouvre…
Si.R

Fil infos

  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
  • Assemblée nationale - Une séance d’interpellation dominée par les doléances locales
  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff