Publié dans Dossier

Le Président sud-africain désavoue les séparatistes du polisario

Publié le mardi, 08 décembre 2020

Rabat - Le Président sud-africain et président en exercice de l’Union africaine (UA), Cyril Ramaphosa, a désavoué, dimanche, les séparatistes du polisario, en réaffirmant la pertinence de la décision 693 du sommet africain, tenu en juillet 2018 à Nouakchott, en Mauritanie.

 

Ramaphosa, qui s’exprimait à l’issue du 14ème sommet extraordinaire de l’UA sur « Faire Taire les Armes », a souligné, au grand dam des adversaires du Maroc, que les amendements à la décision 693 proposés lors de ce sommet ne font que confirmer les dispositions de ladite décision.

La décision 693, pour rappel, consacre l’exclusivité de l’ONU en tant que cadre pour la recherche d’une solution au conflit régional créé autour de la question du Sahara marocain, tout en établissant le mécanisme de la Troïka pour appuyer les efforts des Nations-Unies pour le règlement de ce différend artificiel.

L’affirmation du chef d’État sud-africain représente un nouveau succès du Maroc face aux tentatives et manœuvres sournoises des ennemies de l’intégrité territoriale du Royaume qui s’activent à semer les divisions au sein du continent.

Le Maroc, pour sa part, poursuit, en totale confiance, sa contribution précieuse aux efforts visant à faciliter l’émergence d’une Afrique capable de prendre son avenir en main.

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Editorial

  • Sous-pression !
    Soixante jours ! Telle est la durée de la consigne (militaire) donnée au Gouvernement nouvellement installé par le Chef de l’Etat, le colonel Michaël Randrianirina, assurément avec le consentement des quatre officiers supérieurs avec rang de Président, Hauts conseillers de la République, le colonel Lucien Rabearimanana, le médecin – colonel Manantenasoa Marcellin Zafitasondry Manuelson, le colonel Solofoniaina Rampanarivo et le lieutenant - colonel Gervais Andriamiarisoa. Aujourd’hui, on entame les trente derniers jours. Dans l’Armée, « on obéit d’abord, on discute après ». Et Dieu seul le sait si on aura le temps de discuter après ! Sous la menace de l’épée de Damoclès, sur leur tête, les ministres risquent fort de travailler et d’agir sous pression. Pour un membre de Gouvernement nouvellement nommé, qu’est-ce qu’on peut réaliser en soixante jours ? La tradition républicaine universellement admise, du moins dans les pays ayant un solide ancrage de la démocratie, on se…

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