Publié dans Economie

Mamy Ravatomanga, récipiendaire de la dignité de Grand-Croix de 2ème classe

Publié le jeudi, 10 décembre 2020

Le grand patron du groupe SODIAT a été décoré Grand-Croix de 2ème classe, lors de la cérémonie de célébration du centenaire de la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Antananarivo.

 

Une récompense pour 30 années de performance

« Le groupe de la Performance », voilà le slogan de ce groupe dirigé par Maminiaina Ravatomanga, dit Mamy. Un slogan bien choisi, oserait-on dire, quand on fait un throwback sur les réalisations de ce groupe, et surtout si l’on regarde son point de départ.

En trente années d’existence, Mamy Ravatomanga s’est lancé dans des secteurs très variés comme la santé, la presse audiovisuelle, la maintenance pétrolière et le BTP, l’hôtellerie et bien d’autres encore.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette élévation à la dignité de Grand-Croix de 2ème classe est une récompense parfaitement appropriée pour cet industriel, parti de rien et qui constitue pourtant un pilier de l’économie à Madagascar.

Une célébration sous le signe de l’humilité

Ayant vu le jour en 1990, le groupe SODIAT en est à sa trentième année d’existence. Quel patron ne serait pas fier de se voir décerner une dignité comme le Grand-Croix de 2ème classe ?

Pourtant, les premiers mots du numéro 1 du groupe SODIAT ont été adressés à ses collaborateurs, qui selon lui, y sont pour beaucoup dans la pérennité de son aventure entrepreneuriale.

Une preuve d’humilité qui, sans nul doute, contribue également de manière importante à la réussite de ce groupe.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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