Publié dans Economie

Bancarisation des fonctionnaires - Le ministère de la Jeunesse et des Sports s’associe à la BNI Madagascar

Publié le dimanche, 13 décembre 2020


En début du mois , le ministère de la Jeunesse et des Sports a conclu un accord de partenariat avec la BNI Madagascar, dans le but de bancariser ses collaborateurs. Cet accord vise alors à proposer une offre de services bancaires et adaptés aux besoins des fonctionnaires ainsi que les bénéficiaires des allocations de l’Etat. « Nous nous engageons ainsi à fournir au ministère et à ses organismes rattachés les meilleurs services bancaires par le biais d’une Direction dédiée aux institutions. Ce partenariat est également une opportunité pour BNI Madagascar de donner un coup de pouce aux nouveaux fonctionnaires de ce département en matière d’ouverture de compte et de demande de crédit d’installation », a soutenu Denis Bareau, directeur général adjoint de BNI Madagascar. Pour le secrétaire général du ministère de la Jeunesse et des Sports, « cette convention constitue un exemple parfait de partenariat public-privé. Pour que Madagascar devienne une grande Nation sportive émergente, le ministère, à travers ses actions, s’occupe de la préparation de la relève, de l’appui aux fédérations sportives et de la construction des infrastructures sportives proches des athlètes. Pour la jeunesse, le département met aussi en place un système de protection et de réinsertion socio-économique des jeunes qui soutiendront une forte participation citoyenne dans la lutte contre la pauvreté au niveau des villages. Et avoir l’appui du secteur privé comme la banque le fait contribuera sans aucun doute à l’atteinte de ces ambitieux objectifs ».
Il faut noter que la bancarisation est importante actuellement, pour que les citoyens malagasy puissent bénéficier des services financiers disponibles sur le marché. Cette convention tend alors en ce sens.
Rova Randria

Fil infos

  • Revendications de la jeunesse - La Gen Z Madagascar a besoin d'une jeunesse souveraine
  • Crise institutionnelle à Madagascar - L’ONU condamne, la SADC déploie une mission technique en urgence
  • Assemblée nationale - Siteny Randrianasoloniaiko au perchoir
  • Crise institutionnelle - Madagascar suspendu par l'Union africaine.
  • Pillages à Antananarivo - La longue facture du chaos
  • Une mission du Panel des Sages de la SADC pour restaurer la paix et la gouvernance démocratique
  • Sortie de crise à Madagascar - Une situation à donner le tournis
  • Crise administrative - Des défaillances de facturation reconnues par la JIRAMA
  • Andry Rajoelina - « J’ai dû rejoindre un lieu sécurisé »
  • Présidence du Sénat - Jean André Ndremanjary assure l’intérim

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Règles générales prioritaires
    En ce début de cycle nouveau, il importe de rappeler certains principes de base qui figurent comme étant des lignes directrices à respecter, des balises pour éviter les dérapages ou toutes formes d’abus. Quelques règles inévitables s’imposent. Règle numéro un : respect de l’Etat de droit. Concept de fond qui garantit la crédibilité d’un régime en place, le respect de l’Etat de droit dans toutes ses composantes incarne l’identité d’une Nation digne de respect et de reconnaissance. Un Etat de droit signifie un pays qui respecte la loi en vigueur, les Institutions républicaines et place la dignité humaine au centre des intérêts comme étant une priorité cardinale. Personne n’est au-dessus de la loi ! Un Etat de droit entend la mise en œuvre de façon stricte de la bonne gouvernance, ce qui présuppose la priorité accordée à la transparence. De fait, une gestion saine des ressources publiques et de la…

A bout portant

AutoDiff