Publié dans Economie

Transfert d'argent - MVola s'approvisionne à l'international

Publié le jeudi, 25 mars 2021

Le service de mobile money de TELMA continue son extension dans le monde entier. Depuis l'année dernière, MVola est accepté dans le monde entier grâce à sa nouvelle carte VISA. Aujourd'hui, elle se démarque encore en lançant un nouveau service : l'approvisionnement international. « Nous développons chaque jour des solutions pour simplifier le quotidien de nos clients. C'est dans cette optique que nous proposons alors une nouvelle solution pour approvisionner un compte MVola.

A partir de maintenant, chaque abonné pourra approvisionner son compte depuis sa carte bancaire VISA ou MasterCard ou celui d'une autre personne. Ce service s'adresse à tous, qu'il soit à Madagascar ou à l'étranger. C'est pour cette raison que nous parlons alors d'approvisionnement à l'international. Ce service n'est pas limité par les frontières du pays », expliquent les responsables au niveau de MVola.

Ce nouveau service sera ainsi à la fois simple, sécurisé mais surtout instantané.

« Rien de plus facile que d'approvisionner un compte MVola en ligne à partir d'une carte. Il suffit de se rendre sur notre site www.mvola.mg et de cliquer sur l'onglet CB to MVola. Après l'inscription, le client peut directement passer à l'envoi. La réception est instantanée, aucun besoin de code ni de se rendre auprès d'une agence pour retirer l'argent. Le destinataire reçoit un SMS lui confirmant le montant et l'identité de l'émetteur de l'argent », détaillent-ils. L'argent reçu pourra alors être immédiatement utilisé autant dans le paiement de différentes factures ou achats en tout genre.

Avec ce service, MVola entend surtout rapprocher les familles où qu'elles soient dans le monde entier. C'est une manière de faciliter aussi l'envoi d'argent à l'international et l'inclusion financière de la population, sachant que le mobile money est le service financier le plus accessible et le plus choisi par la population malagasy actuellement.

Il pourra également contribuer au développement de la collaboration des opérateurs économiques et ceux de l'étranger.

Rova Randria

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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