Cependant, au trois cent soixante-cinquième jour de l'année, le citoyen du monde n'en finit pas de se désoler. L'épidémie du coronavirus, SARS-Covid-2, qui partait de la Chine en novembre-décembre 2019 devait être, selon les estimations des scientifiques, quelque « chose de passager ». En cette fin d'année, le virus résiste. Il perdure. Au contraire, il redouble d'intensité et dans certains cas, se mue en une nouvelle souche ou variante présentant des caractéristiques encore plus dangereuses. Et le monde n'est pas sorti de l'auberge !
En Angleterre, l'épicentre de la nouvelle souche du Covid-19, la panique atteint son comble. Acculé et pris en tenaille, le Gouvernement se trouve dans l'obligation de recourir aux fatidiques mesures sanitaires malgré la crise de nerf que cela risque de provoquer au sein des sujets de la Reine.
En France, en Espagne et partout ailleurs en Europe, la seconde vague sème la terreur. Panique à bord ! Français ou Espagnols se révoltent et s'en prennent à leurs dirigeants. C'est une « casse-tête » pour les membres du Gouvernement. Le nombre des contaminés ne cesse de croître et celui des décès ne baisse point. Riches ou pauvres, Covid-19 ne fait pas dans le détail.
En Afrique, en dépit de quelque accalmie favorisée par un environnement climatique général dominé par la chaleur, le sale virus rode toujours dans les parages. Dans certains pays comme l'Afrique du Sud, il reprend du « service » tout en se métamorphosantainsi en une nouvelle variante. Et c'est la panique générale !
L'économie mondiale en pâtit. Le confinement, cette option universelle appliquée pour endiguer la pandémie, attaque de plein fouet les bases stratégiques du système économique de la planète Terre. De ce fait, il sape le fondement même du moral des gens.
Le tourisme mondial en particulier s'agenouille sinon à terre ! Etant le secteur le plus frappé, le tourisme meurt à petit feu. La fermeture presque générale des frontières cloue au sol des dizaines de milliers d'avions. Les grandes compagnies aériennes tout comme les petites et moyennes tailles souffrent à mourir. Ibidem pour les autres secteurs. On végète jusqu'au point où chacun attend impuissamment son sort. Et personne n'est en mesure de déterminer à quand le monde parviendra-t-il à boutde cet invisible et terrible ennemi ?
Que nenni ! Au final, 2020 aura été une année de désolation. Quel avenir la nouvelle année 2021 qui pointe son nez va-t-elle réserver pour les humains ?
Ndrianaivo