Après huit mois de préparation et de mise en place, l’Institut de malagasy de leadership (IML) ouvrira officiellement sa première année académique au début de l’année prochaine. Plus précisément, les inscriptions commenceront le 19 janvier, jour de lancement officiel. La première promotion débutera la formation le 5 mars 2019. Ce nouvel établissement aura pour mission majeure d’insuffler les acteurs de haut niveau du secteur privé mais aussi du secteur public à s’approprier d’une culture de leadership axée sur le sens des valeurs incluant la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et orientée vers l’esprit d’innovation et de performance. Selon le directeur pédagogique, « cette culture a été maintes fois observée auprès des grands leaders de ce monde et étudiée par des organisations de recherche telles que Gallupp ou Talent + comme la différence essentielle des dirigeants qui réussissent au 21e siècle auprès de la société ».
L’Institut malagasy de leadership est issu d’un partenariat entre l’Institut d’étude politique (IEP), du Centre d’études diplomatiques et stratégiques (CEDS Madagascar) et des dirigeants formateurs en leadership d’une entreprise globale présente à Madagascar, à savoir DHL International.
Le partenariat a pour objectif d’offrir une formation de haute qualité alliant approche kinesthésique, mode collaborative et simulations immersives. La formation se déroule sur trois mois, répartis sur 25 % d’approche théorique (trois semaines) et 75 % d’accompagnement de projets en équipe (dix semaines).

Publié dans Economie

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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