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L’intersectorialité et la coopération entre les différentes parties prenantes sont les seules garanties d’une meilleure application des lois. Dans le cadre du projet SOS Lemurs, financé par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), une trentaine d’officiers et d’officiers supérieurs de la Police judiciaire, de journalistes et de gestionnaires d’aires protégées de la Région de DIANA ont bénéficié la semaine dernière d’un renforcement des capacités sur l’application des lois à travers le système judiciaire, et cela afin de protéger au mieux les ressources naturelles de la Région, plus particulièrement les lémuriens. « Nous formons les parties prenantes afin de les responsabiliser dans les actions de conservation des ressources du pays. En effet, une connaissance plus étendue des enjeux mais surtout du système judiciaire mis en place leur permettra de mieux agir. C’est également une occasion de renforcer la coopération entre ces différents acteurs pour que leurs actions aient plus d’impacts », soutient l’Alliance Voahary Gasy (AVG), membre du consortium du projet SOS Lemurs, en association avec le Groupe d'étude et de recherche sur les primates de Madagascar (GERP), ainsi que les gestionnaires des aires protégées concernées, à savoir l’ONG Service d’appui à la gestion de l’environnement (SAGE) pour l’aire protégée de Montagne des Français, l’ONG Fanamby pour l’aire protégée d’Andrafiamena-Andavakoera et l'Organisme Madagascar National Parks (MNP) pour la réserve spéciale d’Analamerana. « Cette rencontre est bénéfique dans la mesure où la collaboration avec les éléments de la Police judiciaire est renforcée, ce qui va permettre de punir tout individu détruisant nos ressources et le dissuader de recommencer », déclare l'un des participants.  
Outre la partie juridique, des sujets comme la transaction, le transport et la mise en vente des produits saisis, le « Dina » et le Code des aires protégées de Madagascar (COAP) ont été soulevés et débattus entre les participants. Les actions doivent être multipliées, surtout que la situation des lémuriens de Madagascar est particulièrement critique actuellement.
Rova Randria

Confiscation du permis de conduire ou de la carte grise, mise en fourrière des véhicules. Bien que le Président de la République, Andry Rajoelina, ait décrété la fin de l’état d’urgence sanitaire dans le pays, la vigilance est toujours de mise. Certes, Madagascar est déjà hors de danger, mais une éventuelle deuxième vague du coronavirus serait encore possible comme c’est déjà le cas dans les autres pays. Et cette deuxième vague sera encore plus forte qu’auparavant, selon les estimations des experts.

Cependant, bon nombre d’entre les citoyens et notamment les transporteurs dans la zone urbaine et suburbaine baissent la garde. Face à cette situation, une réunion d’urgence s’est tenue la semaine dernière entre les responsables des transports dans la Capitale et l’Agence des transports terrestres (ATT). A l’issue de cette réunion, il a été donc décidé le retour et le renforcement du contrôle routier. Les contrevenants aux règles établies seront sanctionnés à travers la confiscation du permis de conduire et des papiers du véhicule, allant jusqu’à la mise en fourrière de ce dernier. « Aucune tolérance n’est permise à tous ceux qui ne respectent pas les mesures mises en place dans le cadre de la lutte contre le coronavirus dans les transports en commun », avance le responsable.

Depuis ces dernières semaines, l’utilisation des strapontins est devenue un phénomène courant dans les bus, outre les mi-parcours que les usagers ont l’habitude de subir. Effectivement, nombreux « taxis-be » ne travaillent plus au-delà de 18h 30. Pourtant, la plupart des travailleurs dans les entreprises comme les zones franches ne rentrent qu’à des heures tardives. Sur ce, ils n’ont d’autres choix que de se plier aux exigences des chauffeurs et leurs aides, c’est-à-dire l’utilisation des strapontins. Ceux qui osent hausser le ton reçoivent des insultes et sont menacés de descendre du véhicule. « Avec la situation actuelle dans la ville, les consommateurs ne sont plus rois. Les transporteurs ne font qu’abuser de leur pouvoir, notamment à travers le non respect des primus et terminus, sans parler des mi-parcours », avance une mère de famille habitant à Ambohimanarina.

Anatra R.

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La une du 02 novembre 2020

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La une du 31 octobre 2020


Les derniers de la liste. Vu la situation actuelle en France mais aussi en Europe, avec la recrudescence de la pandémie de coronavirus, le Président de la République, Andry Rajoelina a annoncé le dernier vol de rapatriement pour demain. Pour ce dernier vol, Air Madagascar transportera entre 250 à 270 passagers, en provenance de Paris. « Ces chiffres ne sont pas encore précis parce que tout dépendra de l’arrivée de demain, mais surtout de l’exécution du protocole sanitaire mis en place par les autorités malagasy, notamment avec la réalisation des tests PCR à leur arrivée à Ivato. Des personnes pourraient en effet choisir de ne pas débarquer. Dans tous les cas, ce qui est sûr c’est que l’avion est rempli », explique un responsable au niveau de la compagnie aérienne nationale, hier, contacté au téléphone. Il faut noter que la suspension des vols est une mesure de sécurité afin que Madagascar ne subisse une seconde vague de la pandémie de coronavirus. Notre compagnie aérienne se retrouvera de nouveau en difficulté, une fois cette suspension effective, sachant que les activités d'Air Madagascar sont particulièrement limitées depuis la propagation du coronavirus à Madagascar et dans le monde entier.
En tout, la compagnie aura donc transporté entre 2 000 à 2 500 passagers, sur plus d’une quinzaine de vols de rapatriement. Pour rappel, exécutés par Air Madagascar en collaboration avec le ministère des Affaires étrangères, ces vols ont débuté à partir du mois d’août dernier, suite à la déclaration faite par le Chef de l’Etat, le 9 août dernier pour répondre aux demandes de milliers de ressortissants restés bloqués à l’étranger depuis le début de la crise sanitaire et la suspension de tous les vols commerciaux entrants et sortants du pays. Pour les deux premiers mois, les passagers ont dû se soumettre à des critères de sélection pour définir les personnes prioritaires. Cette sélection a été allégée au fur et à mesure pour permettre à tous les ressortissants de rentrer au pays.   
En tout cas, après ce dernier vol, les frontières aériennes de Madagascar seront de nouveau fermées pour une durée indéterminée, sauf pour l'aéroport de Nosy Be qui continue d’accueillir des touristes en provenance de différents pays, excepté ceux qui sont dans la liste rouge publiée par l’Aviation civile de Madagascar. Une liste qui pourrait changer au vu de l’évolution de la situation sanitaire dans le monde.
Rova Randria


Offrir un environnement adéquat aux élèves malagasy afin qu’ils puissent se concentrer à leurs études et être assidus. Tel est l’objectif du Président de la République du Madagascar, Andry Rajoelina concernant l’éducation. Pour cette année scolaire 2020-2021, 14 établissements « Manarapenitra » composés de 10 écoles primaires publiques ( EPP), à savoir celle de Soamandrakizay, Mahajanga I, Fenoarivo-Atsinanana, Ambilobe, Betafo, Ambositra, Ifanadiana, Farafangana, Toliara et Ambatondrazaka ainsi que 4 lycées, notamment celui de Toliara, Antsiranana, Antananarivo-Atsimondrano et Toamasina  ont officiellement ouvert leurs portes. Chaque établissement peut accueillir en tout 600 élèves et dispose d’une médiathèque équipée, une infirmerie, une cantine avec cuisine, une salle pour le personnel administratif. Les enfants ont déjà ainsi bénéficié de nouveaux kits scolaires, des livres d’apprentissage ainsi que des dictionnaires.
Dans le cadre du « Velirano », 1 100 nouvelles salles de classe seront construites sur tout le territoire national, dont 4 salles équipées par District - soit 476 salles et à la demande des élus dans les 119 Districts, 30 EPP à 12 salles, 8 Collège d’enseignement général (CEG) à 24 salles, 6 Lycées « Manarapenitra » à 12 salles. L’éducation est l’affaire de tous et l’Etat malagasy s’y engage afin de promouvoir son équité et sa qualité. D’ailleurs, la construction de ces infrastructures aux normes à travers le pays témoigne sa volonté et son engagement à offrir une éducation de qualité pour la jeunesse.
En rappel, une somme de 16 milliards d’ariary a été retirée du budget de chaque ministère pour financer le projet « Caisse-école ». Ceci dans l'objectif d'assurer la gratuité de l'éducation et d'alléger ainsi les difficultés subies par les parents d'élèves.
Anatra R.



« Ce matin, j’ai été testé positif au Covid-19. J’ai des légers symptômes, mais je vais bien ». C’est le tweet lancé par le président de la Confédération africaine de football (CAF) hier depuis l’Egypte où il se trouve après un séjour au Maroc. A l’isolement et pour au moins 14 jours, Ahmad affirme avoir informé toutes les personnes qui étaient en contact avec lui de sa situation sanitaire. « Prenez soin de vous et des vôtres », conseille le président de la CAF en guise de conclusion du tweet largement partagé non seulement par les médias mais également par des simples citoyens.
D’après les informations, non encore officielles, il se pourrait que c’est durant son séjour à Casablanca (Maroc) pour assister à la finale de la Coupe de la Confédération que le numéro un du ballon rond africain a contracté ce virus qui fait fureur actuellement en Europe. Injoignable au téléphone hier, c’est une des employées de la CAF qui a confirmé que Ahmad est en consultation. « Il est un peu fatigué mais il n’y a rien à craindre », précise notre interlocutrice.
C’est à son arrivée au Caire mercredi, que le président de la CAF a présenté des symptômes grippaux. Il s’est soumis au protocole sanitaire avant de passer le test qui a révélé dans la matinée d’hier sa positivité à la Covid-19.
Mardi dernier, la FIFA, à travers un communiqué, a elle aussi annoncé que le président Infantino est atteint du coronavirus et placé de suite en quarantaine de 10 jours.
Pour rappel, c’est en début de cette de semaine que le président Ahmad a déposé sa candidature à sa propre succession à la tête de la CAF. Elu en 2017, il ambitionne de diriger pour les quatre années à venir l’instance suprême du football africain et ce suite au soutien obtenu auprès de 46 présidents de fédération sur les 54 membres votants. Un soutien massif ressenti comme une douche froide pour ceux qui envisagent de se présenter contre lui au mois de mars prochain au Maroc à l’assemblée générale élective de la CAF. De ces 46 engagements en faveur du président actuel, celui-ci pourrait être le candidat unique à cette élection. Cette issue ne plaît pas à ses détracteurs, dont certaine presse internationale, qui quelques heures seulement après cette annonce de la candidature d’Ahmad, ont fait véhiculer l’information comme quoi, il risque d’une suspension du comité d’éthique de la FIFA. Le but inavoué à travers cette information, qui s’apparente plutôt à un harcèlement, est de pousser les autres candidats à ne pas reculer devant cette défaite plus que certaine. Plus d’un observateur se demande en effet la raison pour laquelle le comité d’éthique de la FIFA n’a pas sanctionné Ahmad depuis, si faute il y a, mais le ferait une fois seulement que ce dernier a annoncé son intention de rempiler pour un second mandat…
La Rédaction

Moins de 100 contaminations dans les prisons. Le directeur général de l’administration pénitentiaire a récemment rapporté une information relatant plus de 80 détenus testés positifs au coronavirus à Madagascar, enregistrés à Toamasina, Arivonimamo et Antanimora. Pour cette dernière prison, le bilan fait état de 12 prisonniers testés positifs sur plus de 600 tests PCR effectués. « Sur ces 12 cas positifs figurent 4 hommes, dont un séropositif. Avec son état, celui-ci s’est affaibli, d’où son évacuation dans un hôpital pour y suivre un traitement adéquat. Il va mieux maintenant, tout comme les autres détenus testés positifs déjà guéris de la Covid-19 », fait part le Dr Holisoa Razafimahefa, médecin traitant au sein de la maison centrale d’Antanimora. « Contrairement aux craintes de la population, l’on peut dire que les risques de propagation de la pandémie dans les prisons ont été maîtrisés. L’isolement pendant 14 jours des nouveaux détenus, notamment ceux considérés comme des cas suspects et ceux testés positifs au coronavirus, a largement contribué à cette maîtrise », indique le Dr Manitra Rakotoarivony, directeur de la Promotion de la santé auprès du ministère de tutelle.
Application stricte des mesures sanitaires
Reprise de la visite des détenus depuis la mi-octobre. Cela a été suspendu depuis plus de 5 mois, avec l’état d’urgence sanitaire. Cette mesure implique l’application stricte, voire le renforcement des mesures sanitaires dans les prisons. Le lavage fréquent des mains, le port de masque obligatoire ou encore la distanciation sociale et le nombre limité des visiteurs en font partie. A cela s’ajoutent la poursuite du contrôle régulier de la température des prisonniers et des agents pénitentiaires, ainsi que la désinfection des cellules de détention et des salles de visite. D’un autre côté, l’isolement des nouveaux détenus reste maintenu, malgré les problèmes d’infrastructures liés à la surpopulation carcérale. « La construction de nouvelles prisons constitue une solution pour améliorer les conditions carcérales et le respect des droits des détenus », suggère notre source.
La prévention et la prise en charge des détenus face à la Covid-19 en milieu carcéral fait partie des thèmes abordés lors du lancement officiel du projet « Lutte contre la détention préventive abusive - Phase II à Madagascar », hier au Carlton, Anosy. Une occasion pour l’Association des chrétiens pour l'abolition de la torture (ACAT Madagascar) et les acteurs de discuter en ce qui concerne les rôles des agents de santé dans la maîtrise des risques de propagation de la pandémie dans les prisons, entre autres.
Patricia Ramavonirina


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Avec ou sans … !

L’absentéisme. C’est le mode opératoire opté des sénateurs de l’Opposition pour exprimer leur… colère. En effet, Thierry Raveloson, Andriamandavy Riana, Olga Ramalason et compagnie, les sénateurs HVM et TIM, boudent. Ils désertent les séances de la Session ordinaire (la dernière du genre) de leur institution. Un manquement flagrant envers le devoir sacré qu’ils sont censés assumer en tant qu’élus. Et ils sont payés pour ! En droit de leur réclamer des comptes, les contribuables suivent de près la situation. A moins que ces « têtes brûlées » du Palais de verre renoncent à toucher leurs indemnités et avantages divers. C’est à voir !
Arrivé en fin de parcours, le mandat des sénateurs se termine mal pour ne pas dire en queue de poisson. En tout cas, les sénateurs de l’Opposition doivent s’attendre à une telle mésaventure. En 2018, au tout début de la campagne électorale, le candidat Rajoelina annonçait déjà la couleur. Sans ambages, le poulain du MAPAR jugeait inopportune, du moins en l’état actuel de la situation du pays, l’existence du Sénat. L’Assemblée nationale peut, à elle seule, assumer pleinement la tâche dévolue au Parlement. L’esprit du texte de la Constitution de la IVème République n’en contredit pas. Rajoelina d’ajouter que cette institution, de trop, engloutit trop d’argent. Jugé budgétivore, le Sénat n’a plus sa raison d’être dans le processus de redressement du pays. Sa suppression permet à l’Etat de financer d’autres projets plus utiles et plus urgents. Ou encore d’apporter les secours nécessaires auprès des populations en situation de détresse ou de précarité. Ainsi, c’est une promesse présidentielle !
L’opinion reçoit avec enthousiasme la déclaration, urbi obi, du candidat à l’époque. Observateurs et simples citoyens ne voient pas tellement la nécessité d’avoir une deuxième Chambre au Parlement. Il s’agit tout simplement d’une occasion de caser les amis et les proches en guise de reconnaissance d’un service rendu ou autres. Dans les pays riches, l’existence du Sénat aux côtés de l’Assemblée nationale ne pose pas trop de problèmes. Il est parfois même utile en tant que contre-pied vis-à-vis du régime en place. En France, les sénateurs jouent pleinement leur rôle.
Il se peut que nos sénateurs n’aient pas pris au sérieux l’annonce de Rajoelina. Ils la considéraient comme de vulgaires promesses qu’ils ont l’habitude d’entendre en pareille circonstance. En effet, trop habitués à tromper sinon à mentir au peuple, les sénateurs HVM ou TIM, ne croient point à ce fait que Rajoelina, en cas de victoire, osera toucher à leur Temple.
La victoire acquise, Rajoelina Andry en homme de parole tient à honorer ses engagements. Rares sont en Afrique les hommes politiques fidèles à leur parole. Zandry Kely compte, à travers les treize axes du « Velirano », concrétiser ses promesses. La suppression du Sénat du moins la réduction du nombre de ses membres, entre dans le cadre global de la mise en œuvre de ses engagements. Le pays se réjouit d’avoir, pour la première fois, un Président qui tient sa parole.
Avec ou sans les sénateurs de l’Opposition, les travaux à Anosikely ne devraient en souffrir. Avec ou sans la bande à Raveloson Thierry, la vie continue au Sénat. De toute manière, avec ou sans le Sénat, les activités parlementaires continuent bel et bien leur bonhomme de chemin.
Ndrianaivo

Les éléments du commissariat de Soavinandriana Itasy ont arrêté un chef de famille de 57 ans pour inceste. En effet, il est soupçonné d’avoir imposé une relation charnelle avec sa fille de 16 ans. Pire, cette dernière serait actuellement enceinte, du moins ce que l’enquête de la Police a révélé.  De plus, un constat médical le confirme. Et pourtant, la victime s’est toujours efforcée de cacher la situation à son entourage. A propos, il y a un témoin à l’affaire. Et ce dernier aurait été aidé par une organisation des droits de la femme et des enfants. Cette dernière le conseille alors d’en parler à la Police, histoire de protéger la victime.
Le père de famille en cause a profité du fait que son épouse soit actuellement absente du foyer, cette dernière étant obligée de suivre un traitement à Antsirabe, dans le Vakinankaratra, pour commettre l’infamie.
Parallèlement à cela, une fillette de 7 ans aurait également subi un viol, un fait survenu cette fois à Anosibe.  Ce drame scandalise l’opinion du fait que l’auteur du crime n’a toujours pas pu être démasqué. Et pourtant, l’affaire date depuis une semaine déjà, sans que l’enquête en cours n’ait permis d’identifier le coupable.
Les images montrant la petite victime, que des internautes ont partagées sur les réseaux, sont intenables. Une source auprès de ce canal d’information a précisé qu’il faudra une intervention chirurgicale pour la victime, vu la gravité du mal, sinon de la conséquence de cette infamie dont la petite innocente a subie.
Le viol est un fléau qui ronge notre société actuelle. Malheureusement, ce sont toujours les plus faibles, ceux qui n’ont pas les moyens de se défendre des instincts bestiaux de ces monstres sans nom et lâches, ces faibles qui payent le plus lourd tribut. Pas plus tard que mercredi dernier, l’opinion se remmémore encore du sort réservé à un jeune mendiant de 14 ans d’Anosiala Ambohidratrimo. Le malheureux a succombé des suites de viols répétitifs dont il était l’objet. Pour l’heure, aucun suspect n’a été également arrêté.
Franck R.

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Editorial

  • Come back historique
    Donald Trump revient ! Retour en zone en puissance. Le 47 ème Président des Etats-Unis d’Amérique a solennellement prêté ce lundi 20 janvier dans la Salle d’honneur de la Capitole devant un parterre de personnalités dont les anciens locataires de la Maison Blanche, certains multimilliardaires et des sympathisants triés au volet et entièrement acquis à la cause. Cette Nation étoilée, traditionnellement reconnue comme la première puissance du monde, ne cesse de nous épater, de nous éblouir et parfois même de nous bousculer. Dans un discours fleuve apparemment non écrit, Donald Trump, l’ancien-nouveau locataire de la Maison Blanche, étale de long en large son fameux leitmotiv « American first », les « Américains d’abord », dans une rhétorique qui envoûte l’Amérique. D’un ton parfois provocateur et incisif, Donald Trump reprend sa revanche et du haut de son piédestal de Président des Etats-Unis d’Amérique investi officiellement. Il tire à boulets rouges ses…

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