Nos archives web
Super User

Super User

Dans l’optique d’une société vivant en harmonie, la paix et la sécurité sont le pilier de tout épanouissement et développement. Ainsi, une « Course pour la paix » sera organisée dimanche prochain à Antananarivo. Devant l’insécurité grandissante, les vols, viols et autres formes de violence, ce genre d’initiative est nécessaire. Il est organisé par le centre Arrupe Madagascar (CA MDG), établissement catholique, rattaché à la Compagnie de Jésus de. Cette fois-ci, « Cet évènement sportif est organisé afin de sensibiliser de manière ludique tous les acteurs œuvrant dans le domaine des élections, les politiciens et tous les citoyens », selon le CAMDG.
Tout le monde est invité à l’évènement pour la solidarité, contre l’insécurité vu que c’est un problème commun à tous. Le départ de la course sera donné à 8 h jusqu’à midi. Il partira de l’école Saint-Joseph Bourbon Analamahitsy pour rejoindre l’ESCA Antanimena. D’une longueur de 6km, la course passera par le stade Alarobia, Ankorondrano, et se terminer à Antanimena.
L’inscription, gratuite, peut être faite au niveau du centre Arrupe avant le 21 septembre. Porter une tenue haute de couleur blanche est requise afin de marquer la solidarité entre les participants.
En outre, le centre vise également à l’apaisement des tensions en cette période d’élection. « Œuvrons ensemble pour la justice sociale, œuvrons ensemble pour la paix », indiqua le message diffusé le CAMDG à travers son programme Participation citoyenne et efficacité économique (PCE).
La course vise ainsi à aplanir les tensions entre les acteurs politiques et mettre de côté les rivalités politiques, mais également les tensions sociales. Il s’agit également d’installer un esprit de cohésion, de fraternité et de fair-play entre les acteurs.
La « Course pour la paix » c’est également la promotion de la culture d’éthique, de droits et de dialogue dans la tranquillité.
Selon les organisateurs, il n’y aura pas de premier ou de dernier durant la « Course pour la paix ». Elle est surtout un « symbole de fraternité » et restera comme une sensibilisation de la paix. Néanmoins, des « goodies » seront distribués aux participants le jour J et ce, en souvenir. A part cette course, des animations Zumba et autres sont également au programme ce dimanche.
Nikki Razaf

%PM, %19 %928 %2023 %21:%Sep

LA UNE DU 20 SEPTEMBRE 2023

L’insécurité règne dans la Capitale. Outre les marchés, les arrêts-bus, les couloirs, les pickpockets agissent actuellement dans les taxis-be et les véhicules particuliers. Dans la matinée du dimanche, un couple a été dépouillé dans un bus au moment de prendre le bus pour aller à l’église. Le sac à main de la femme contenant la Bible et l'argent avait disparu. Un ressortissant étranger et son époux ont également été cambriolés dans leur voiture, samedi soir dernier. Ces deux incidents ont eu lieu à Ampasampito. 

La période sèche n'est qu'à son début. Cependant, les feux commencent à prendre de l'ampleur dans le pays. En ce qui concerne la Capitale, un incendie par jour est enregistré, et ce depuis lundi. Dans tous les cas, aucun bien n'a été sauvé. Lundi, quelques cases d'habitation sont parties en fumée à Antohomadinika. Tandis qu'hier, des locaux servant à la fabrication et la vente de meubles en bois, ainsi que des fleurs ont été incendiés à Ankadiefajoro, Ambohimangakely, tandis qu'une autre maison a brûlé à Andohatapenaka.

La période des retournements des morts ou « Famadihana » touche à sa fin. Avec les nombreux retours des familles chez eux et le départ des retardataires, les gares routières sont submergées. Ainsi, en plus des lignes normales, l'obtention des permis spéciaux pour transporter des familles a été assouplie par l'Agence des transports terrestres (ATT).

Dorénavant, du 21 au 23 septembre, la distribution dudit document peut être effectuée au niveau de la gare routière du Fasan'ny Karana, si cela devait se faire à l'ATT.

%PM, %19 %926 %2023 %21:%Sep

Aux portes de la relance !

Quand le tourisme va, la relance va ! Veuillez nous excuser d’avoir rompu au chantier battu comme quoi « quand le bâtiment va, le pays va ! » Dans un pays comme le nôtre, l’industrie touristique est appelée à tenir un rôle plus qu’important. Et quand elle se relève, on a toutes les chances de parvenir, enfin, aux portes de la relance. Il en va de même quand l’exploitation des richesses du sous-sol va, le pays entier va ! Quand la production de notre trésor sous-marin va, l’économie souffle. Et ainsi de suite pour nos vastes espaces terriens qui n’attendent que des mains sinon des machines pour les mettre en valeur. Etc.

Madagascar se trouve actuellement à un tournant crucial en matière de sûreté de l'aviation civile, avec la visite d'experts de la Commission africaine de l'aviation civile (CAFAC). Ces experts collaborent étroitement avec l'Aviation civile de Madagascar (ACM) pour préparer l'audit de sûreté qui aura lieu au premier trimestre de l'année prochaine. Cette initiative, qui s'inscrit dans le cadre du programme de coopération entre experts en matière de sûreté et de facilitation pour l'Afrique et l'océan Indien (AFI-CES), vise à renforcer la sécurité et l'efficacité des opérations aériennes à Madagascar. L'audit de sûreté aérienne est un processus essentiel pour prévenir les actes de malveillance visant les aéronefs, leurs passagers et les membres de l'équipage. Pour Madagascar, en tant que membre de la CAFAC, la réussite de cet audit revêt une importance capitale pour garantir la sûreté de l'aviation dans la région.

La Grande île regorge de nombreux jeunes talents et de stars en éclosion. Aujourd’hui, la Rédaction vous dresse le portrait d’un jeune chanteur qui est tombé dans la musique depuis son enfance. Johasina a voulu sortir de sa bulle depuis ses 13 ans. En effet, il s’est très vite passionné par la musique, et plus particulièrement le chant. Quoi de plus normal pour un homme qui a grandi dans une famille de musiciens.

L'Union européenne, la Grande-Bretagne, les États-Unis, l'Allemagne, la France, la Suisse, le Japon et l'Organisation internationale de la Francophonie sortent de leur silence pour s’exprimer sur le processus électoral en cours dans la Grande île. Dans un communiqué publié hier mardi dans la matinée, ils réitèrent « l'importance du respect de la Constitution et du calendrier électoral ». Une affirmation qui sonne comme un camouflet pour certains opposants qui multiplient les manœuvres dilatoires pour tenter de reporter l’élection présidentielle.

Enième éclaircissement ! Une fois de plus, la Haute Cour constitutionnelle (HCC) s’est exprimée face à la tension politique qui prévaut dans le pays dans une déclaration publiée sur son site officiel, hier. Ainsi, les hauts magistrats d’Ambohidahy reviennent sur le transfert de fonctions de Chef de l’Etat par intérim à un Gouvernement collégial, indiqué dans la décision n°12-HCC/D3 du 9 septembre 2023.

Fil infos

  • Infrastructures dans le Sud - La RN10 lancée demain
  • Actu-brèves
  • Corruption - 13 hauts fonctionnaires de l’Etat en prison
  • Pr Lily-Arison René de Roland - Lauréat du Prix Indianapolis 2025
  • Au lendemain de mai 1972 - Madagascar au rendez-vous des actes manqués
  • Antananarivo - Un concours de propreté pour les 192 Fokontany
  • Maminiaina Ravatomanga - « Nous répondons à nos détracteurs par nos valeurs »
  • Maison de force de Tsiafahy - Le meurtrier de Nanah déclaré évadé
  • Lac Iarivo et Village Artisanal - Deux projets phares pour transformer Ivato et Antananarivo
  • ACTU-BREVES

La Une

Recherche par date

« May 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
Pub droite 1

Editorial

  • Poreux !
    On ne cesse de dénoncer. A l’allure où vont les choses, ce ne sera pas demain la veille où l’on s’arrêtera d’interpeler. Le Chef de l’Etat, Rajoelina Andry Nirina, patron des patrons du régime Orange, plus d’une fois, tape sur la table devant certains faits qu’il juge inadmissibles compromettant l’avenir du pays. Homme ou femme politique proche du régime ou à l’opposé du pouvoir monte au créneau et tire la sonnette d’alarme sur la persistance de certains cas troublants qui frisent la gabegie dans le pays. Société civile, simples citoyens et certains prélats d’église n’ont de cesse d’attirer l’attention de tous en particulier les dirigeants du pays sur le risque d’une dégénérescence incontrôlée. La majorité silencieuse, comme son nom l’indique observe dans le silence. En réalité, préoccupée par les actes quotidiens de survie, la grande majorité de la population n’a pas le temps de voir autour d’elle.

A bout portant

AutoDiff