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Cela fait déjà un mois ou presque qu’un agent de sécurité, au service d'un organisme international sis dans l'immeuble Assist à Ivandry, avait été assassiné sur son lieu de travail. Le drame est survenu un samedi matin. Mais depuis, l’enquête sur cette affaire semble traîner en longueur et aucun suspect n’a été toujours épinglé. Et pourtant, l’équipement hi-tech que possède le local est censé faciliter la tâche des enquêteurs. En effet, le bâtiment est truffé de caméras de surveillance. D'autant plus que la scène s'est déroulée dans le bureau d'un puissant organisme international.
D'après un recoupement, l'assassinat est survenu vers 9h du matin, le samedi du drame. Normalement, l'agent était censé se trouver à l'intérieur du bureau pour le surveiller.
Ce qui laisse supposer que le tueur devrait bien connaître le gardien victime, et vice-versa, pour que ce dernier ait été conduit à ouvrir la porte et laisser entrer l'intrus. A partir de ce détail, toute une zone d'ombre plane toujours sur la suite de l'affaire, du moins pour tenter d'avoir une idée sur la circonstance de l'agression mortelle de l'agent.
Mais il existe une certitude. Les caméras de surveillance ont quand même pu filmer l'image d’un inconnu sortir au pied de l'immeuble, un carton à la main, et avant que le concerné n'ait hélé un taxi. Et là aussi, des bribes d'information glanées auprès d'une source ont permis de savoir que le but de l'assassin serait notamment de voler un fonds placé dans un coffre dudit organisme. Si cela est plausible, l'autre problème en lien avec le meurtre de ce gardien, c'est qu'on ignore le montant volé, s'il devait s'en agir d'une somme d'argent. Car le tueur a détruit le cahier de renseignement ou carnet de bord utilisé par la victime pour brouiller sa piste. Affaire à suivre.
Franck R.


Quelques jours après l’officialisation de sa nomination à la tête des Barea, Romuald Felix Rakotondrabe dévoile sa liste contre les Black Stars de Ghana, qui aura lieu le 18 juin prochain au stade Barea  Mahamasina, pour la 5eme journée de la qualification de la Coupe d’Afrique des Nations en Côte d’Ivoire en 2023.
La liste a été dévoilée par la fédération, comme d’habitude, via Facebook, tard dans la soirée du vendredi, loin des regards espiègles des médias pour limiter les polémiques ? En tout cas, le nouveau sélectionneur a sa raison sur ses choix. Au vu de sa liste, coach Rôrô mise sur les joueurs qu'il connaît mieux et les locaux. Sur les 26 joueurs de sa liste figurent onze joueurs qui ont évolué au CHAN et cinq expatriés de La Réunion avec le retour de Fabien Boyer de JS St Pierroise. Ce dernier figure dans la sélection réunionnaise pour les Jeux de l’océan Indien. Toujours dans la charnière, il a fait appel à Romain Metanire pour ses expériences.  « Il a toujours servi de modèle aux jeunes dans son comportement. Il est très attentionné et sa présence est vitale pour l’équipe. J’aime bien sa mentalité », apprécie  le sélectionneur.
Le nouveau sélectionneur national a ajouté dans son effectif les deux meilleurs buteurs du championnat national,  Toky Rakotondraibe du Cosfa avec 8 buts et l’attaquant de Fosa Junior Boeny , Tokiniaina Randriatsiferana avec 9 réalisations.Il a également fait appel au service du gardien U23 des Barea de Madagascar,  Allant Rakotovazaha.
En ce qui concerne Rayan Raveloson, pour des raisons familiales, il n’honorera pas ce rendez-vous. En effet, sa femme attend son premier enfant durant cette période de fenêtre FIFA. Comme il fallait s’y attendre,  Loic Lapoussin n'est pas de la liste d’après ce qui se passait dernièrement, écarté par Dupuis pour son comportement inadapté. Même sort pour Thomas Fontaine qui a refusé à son dernier appel à la sélection pour des raisons non explicites.
En quelque sorte, les deux matchs restants n’auront aucun enjeu pour l’équipe nationale déjà éliminée de la course mais les joueurs vont servir, par contre, d’expérience de préparation pour les jeunes locaux qui vont défendre les couleurs nationales aux Jeux des îles de l’océan Indien à domicile dont leur principale mission sera de garder l’or au pays.
Elias Fanomezantsoa

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Acte fondamental


Juin pointe son nez ! Le mois le plus beau de l’année débarque. Si le mois de mai est perçu ici comme ailleurs comme le joli mois, le mois de juin en est comme le plus beau avec les deux plus belles fêtes de l’année (fête des mères le 4 juin et fête des pères le 18 juin) et aussi et surtout marquant l’étape cruciale (26 juin) pour la Grande île vers la dignité et la souveraineté. Chaque année, le pays réserve un moment de grande fête nationale pour célébrer dans la liesse la date fondamentale du 26 juin.
Le couple présidentiel tenait à marquer cette fois-ci d’une pierre blanche le lancement officiel de la célébration du 63 ème anniversaire du retour à l’indépendance de Madagasikara par une cérémonie haute en couleurs sur le parvis de l’Hôtel de ville, à Analakely. A l’occasion, Rajoelina Andry, Président de la République rappelait solennellement aux citoyens, dignes de l’être, du devoir sinon l’acte citoyen fondamental qui consiste à pavoiser chaque maison de chaque citoyen du drapeau national aux couleurs nationales « Fotsy, mena, maitso », durant ce mois de juin.
Bref rappel historique de la création du drapeau national « blanc, rouge et vert ». Trois personnalités différentes se trouvaient à l’origine. Ranaivoson Andrianome, un agent de l’Institut géographique national (IGN) est le père fondateur. Dr Rasakaiza soulignait le bien- fondé du  « blanc » et du « rouge » tandis que Barinia Tsara, membre du bureau de l’Assemblée nationale constituante, rapportait la nécessité de la présence du « rouge ». En somme, le « blanc » incarne la propreté, la netteté, la justice et la vérité. Le « rouge », le sang versé par nos aînés, la souveraineté et la liberté. Et le « vert », l’espoir pour le salut de la patrie. Le drapeau national voté à l’Assemblée nationale constituante a été hissé pour la première fois le 21 octobre 1958. A l’issue du vote de l’admission de la République malagasy à l’ONU le 20 septembre 1960, le drapeau national malagasy a été hissé pour la première fois au siège de l’ONU à New-York.
Une grande première dans les annales de la République, le Chef de l’Etat, en personne accompagné de son épouse, lance solennellement et publiquement le début de la célébration de la fête nationale au cours de laquelle il conviait chaque citoyen de hisser les couleurs nationales sur le devant de sa maison. C’est un acte fondamental dans la mesure où il (drapeau national) symbolise la souveraineté du pays dans le concert des Nations. Le fait de lever le drapeau sur sa propre maison illustre la fierté de chacun d’être citoyen à part entière de la République ou d’un Etat indépendant. Rajoelina a grandement raison, en sa qualité de premier citoyen de la République, il invite cordialement ses pairs à honorer de leur geste hautement symbolique le drapeau national. Doit-on signifier qu’inutile de fêter ou célébrer l’anniversaire de l’indépendance sans avoir eu l’initiative avec un minimum de sacrifice à dresser le « blanc, rouge et vert » devant soi. Cet acte fondamental relève d’un symbole identitaire qui traduit le patriotisme de chacun.
Opposants ou proches du régime, qu’à cela ne tienne. On est tous Malagasy, fiers de notre Nation souveraine.
Ndrianaivo

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LA UNE DU 03 JUIN 2023

Fin de parcours en phase de poule pour l’équipe représentante de l’Afrique au Championnat du monde de Basketball FIBA 3 x 3 à Vienne, Autriche. En effet, Madagascar a fini quatrième de sa poule derrière la France à l'issue de la compétition. Les Ankoay terminent sur trois défaites et une victoire contre la France. Cette dernière se qualifie pourtant pour la phase finale en devançant Madagascar au décompte de points avec trois points d'avance, 63 contre 66. Par ailleurs,  si Livio et sa bande n’ont pas été battus sur un grand écart de score par la Serbie, au premier match, ils se qualifieraient pour les phases finales. En tout cas, les Ankoay ont tenu en haleine ces pays habitués du rendez-vous malgré leur statut de novice.

Le cycle menstruel est un cycle biologique naturel. Pourtant, il est encore considéré comme un sujet tabou dans de nombreux pays, en particulier Madagascar. La survenue des règles provoque même le fait que les jeunes filles sèchent les cours ou abandonnent même leurs études, et ce pour diverses raisons : d'abord la honte, puis la méconnaissance et le non-accès aux produits d'hygiène menstruelle et aux structures sanitaires adaptées. 

Une initiative saluée par le Président de la République Andry Rajoelina. La seconde édition de la caravane de santé de cette année 2023 a été lancée officiellement hier au stade Barea, Mahamasina par le couple présidentiel, en présence de diverses autorités et de représentants des partenaires. Depuis sa tenue en 2019, cette caravane médicale propose de multiples prestations sanitaires gratuites pendant des jours. Plusieurs milliers de bénéficiaires en sont enregistrés à chaque édition. Durant la dernière caravane « Sarobidy ny aiko » en date du 27 février au 8 mars dernier dans la Région d’Analamanga, notamment dans la Capitale, 48.188 patients ont été servis. 

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Mais quel affront !

De qui se moque-t-on ! Madagasikara serait-il sous tutelle européen encore plus sous contrôle onusien ? Tel un pays en pleine crise en interne où les armes font parler de leur puissance ou en situation de fragilité ou d’instabilité extrême qu’il faudrait recourir à une administration internationale pour maintenir l’ordre dans la mesure où les dirigeants en place sont incapables de faire régner l’ordre ou totalement déconnectés. Il fallait donc assurer sinon prendre soin de la sécurité dans tous les états de la population. En Haïti où les gangs organisés font la loi, la situation intenable nécessite l’assistance efficace des organismes internationaux genre ONU pour accompagner le pouvoir local presque inexistant et ce afin d’assurer la sécurité des haïtiens qui souffrent profondément. En République démocratique du Congo (RDA), les guerres civiles font rage. Les populations sont en perpétuel déplacement pour fuir les guerres. La situation exigeait nécessairement la présence d’un représentant spécial de l’ONU pour assister le pouvoir en place qui est en fait impuissant pour faire cesser les conflits. Il en existe ailleurs d’autres cas similaires pour ne pas citer que le cas de Soudan. 

Les aléas des saisons comme prétexte. C'est de cette manière que la JIRAMA vient d'annoncer hier le fait que les coupures de courant intempestives puissent s'intensifier dans les jours et mois à venir. En effet, ces dix dernières années, les coupures d'électricité sont devenues monnaie courante dans le pays. La vétusté des matériels, le manque d'entretien et surtout la mauvaise gestion sont, entre autres, les raisons évoquées depuis. En saison des pluies comme lors de la période sèche, la compagnie nationale d'eau et d'électricité connait toujours des problèmes qui mettent à mal les usagers. 

Le meilleur pour la fin. Le chanteur Erick Manana est de retour au pays depuis dimanche dernier pour célébrer la 15ème année de Miritsoka Production à travers l’événement « Feo sy Gitara » au Coliseum d’Antsonjombe. Cependant, l’artiste est aussi dans les parages afin d’achever sa tournée mondiale « 2023 Tour ». Ainsi, après avoir arpenté les scènes européennes, le chanteur  n’a pas oublié de visiter sa terre natale pour offrir un sésame pour le public malagasy. Une annonce qu’il a faite depuis le mois de mars sur sa page Facebook personnelle. 

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Editorial

  • Initiative exemplaire
    Jovena, compagnie pétrolière du groupe Axian, entreprit la semaine passée une formation à l’intention des chauffeurs de taxi-brousse et des conducteurs de marchandises sur la RN 2. Un exemple d’initiative à rééditer sinon à encourager ! Vendredi 24 janvier, 549 chauffeurs ont reçu des certificats suite à une formation organisée par Jovena Madagasikara. Ces chauffeurs, issus des coopératives de transport de voyageurs et de marchandises, ont suivi une formation de deux jours comportant sur 11 modules. L’initiative exemplaire de Jovena Madagasikara s’inscrit dans le cadre des efforts de sécurisation de la Route nationale 2. Un louable engagement d’une entreprise privée que le ministre de tutelle, Valéry Ramonjavelo , a apprécié chaleureusement. Vu le considérable trafic sur cet axe reliant Antananarivo – Toamasina, le nombre sans cesse croissant des accidents mettant en péril des vies humaines et la décadence avancée de la route, une telle initiative est formellement à encourager. L’objectif…

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